Dans un article consacré au débat présidentiel français, le journal américain New
York Times s’étonne des mauvaises manières de François Hollande, qui
n’a cessé de couper la parole à Nicolas Sarkozy et qui a fait preuve de
« mépris ». On est loin de l’analyse des journalistes socialistes de Libé, de Mediapart et du Nouvel Obs…
Contrairement aux journalistes français, aveuglés par leur
militantisme, les observateurs américains ont vu un enfant mal élevé
agresser un président de la république et lui manquer de respect.
De l’agressivité mal placée, un refus de débattre des vraies questions, des attaques à répétition pour éviter d’aborder son propre bilan catastrophique et le mépris socialiste de ceux qui se pensent meilleurs et qui ont déjà gagné. Voilà les ingrédients du débat retenus par les observateurs extérieurs.
Le New York Times revient ensuite sur le fond du débat et explique comment Sarkozy a mouché François Hollande sur la dette. L’article reprend la phrase du président « c’est une erreur de 100 millions que vous faites. Cela montre votre incompétence ». Pour les journalistes du New York Times, « le débat a continué, mais monsieur Sarkozy avait raison ». On ne peut être plus clair ! Pour rappelle, le New York Times est un journal plutôt démocrate (de gauche), dont le sérieux et la rigueur journalistique (contrairement à la presse française) sont salués sur l’ensemble de la planète !
On voit donc bien que François Hollande s’est couvert de ridicule à l’international et a prouvé qu’il n’avait pas les compétences requises pour un débat sous tension. On voit surtout l’écart incommensurable, que l’on constate depuis le début de la campagne, entre le traitement engagé, presque militant, des journalistes français en faveur de François Hollande, et la vérité décrite par les analystes extérieurs qui ont un peu de recul !
Français, soyez prêts à vivre 5 longues années de propagande officielle sur l’ensemble des médias de notre pays.
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