La France vient de publier sa liste officielle des vilains
petits canards aux yeux du fisc. Une liste qui, au-delà de son aspect
touristique, n’est pas complètement anodine.
- Le Sultanat de Brunei,
- Les Iles Marshall,
- Montserrat,
- L’île de Nauru,
- L’île de Niue,
- Les Philippines,
- Le Botswana
Rappelons que les critères (cumulatifs) qui valent à ces pays de figurer sur cette liste propre à Bercy (l’OCDE publie pour sa part une autre liste établie sur d’autres critères) sont :
- Ne pas appartenir à l’UE (cela évite à coup sûr à l’Irlande, le Luxembourg, Monaco, Andorre ou la Lituanie… d’y figurer).
- Avoir signé moins de 12 accords internationaux d’assistance administrative — rappelons pour mémoire que tous les États ont le même poids, ce qui relativise les accords passés entre pays qui l’un comme l’autre pratiquent la totale opacité tant capitalistique (anonymat complet des sociétés) que financière (comptes anonymes à N°).
- Ne pas avoir d’accord avec la France.
- Figurer sur la liste grise de l’OCDE.
Parmi les pays qui, cette année, sont sortis de la liste, citons :
- Anguilla,
- Le Belize (sic),
- Costa Rica,
- La Dominique,
- L’île de Grenade,
- Les Iles Cook,
- Les Iles Turques-et-Caïques,
- Le Liberia,
- Le sultanat d’Oman,
- Panama,
- Saint-Vincent-et-les-Grenadines.
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