Cette semaine, les journalistes grecs ont fait part de leur espérance en François Hollande
et de leur volonté de le voir élu président de la France. Étant donnée
la situation de la Grèce, a-t-on vraiment envie de suivre les conseils
de ce pays ?
Trois grands quotidiens grecs (Ethnos, Ta Nea, Elefteros Typos) ont
salué cette semaine la candidature de François Hollande et ont fait part
de leur soutien au candidat socialiste. Au lieu de se cacher de ce
soutien, qui confirme que les incompétents ruinés trouvent le programme
de Hollande à leur goût, le candidat socialiste se vante de cet amour
des Grecs. Il fait le tour des plateaux de télévision, tout fier, pour
raconter que les Grecs croient en lui.
En conséquence, le chômage est de plus de 19% cette année, dans ce pays fan de François Hollande. Les Grecs ont du concéder une baisse de 22% du salaire minimum. Le pays est ruiné et ses habitants subissent la misère. En suivant la vision poltitico-économique de parasites de leurs dirigeants socialistes, les Grecs en sont arrivés là. Ils voudraient maintenant que la France suive leurs pas.
D’ailleurs, l’économiste Nouriel Roubini nous explique cette semaine que la récession européenne ne fait que commencer et que l’élection de François Hollande empirerait l’économie européenne. « La France élira peut-être un président dont la politique peut effrayer les marchés obligataires », explique-t-il.
Que François Hollande essaye de faire croire que le soutien des Grecs n’est pas une mauvaise nouvelle pour lui, est dans la logique du jeux politique. Que l’ensemble des journalistes considèrent publiquement qu’il s’agit d’une force pour la candidat socialiste est une honte.
Les journalistes lisent-ils les informations qu’ils commentent ? Ne savent-ils pas que la Grèce ne saurait être un exemple de bonne gouvernance. Le fait que les journalistes grecs soutiennent Hollande prouve seulement que son programme ridicule plait aux plus incompétents d’Europe en terme d’économie et de gestion des fonds publics.
C’est ainsi que les médias français, aveuglés par leur militantisme, nous font passer cette information pour une force dans la campagne de Hollande. Quelqu’un peut-il réveiller les élites médiatico-culturelles parisiennes et leur ouvrir les yeux sur ce qu’est la Grève, l’Europe, le monde ?
Bien planqués dans les tours de Canal + et de France télévision, ces journaleux ne craignent pas la désindustrialisation de la France, la crise de l’agriculture ou l’insécurité. En Grèce comme en France, les journalistes sont les derniers touchés par les dégâts économiques causés par leur idéologie socialiste.
L’assistanat oui !! Tel est le message des journalistes Grecs, qui sont surtout heureux de ne bientôt plus être les seuls européens dans le pétrin.
Que François Hollande aille donc gouverner la Grèce, tout le monde sera content. Il n’y a plus rien à détruire là bas…ses camarades socialistes sont déjà passés au pouvoir !
On ne combat pas le chômage par l’assistanat mais par la compétitivité.
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