Comme tous les enfants de célébrités à qui on a toujours tout accordé, Nicolas Bedos est mal élevé. Omniprésent dans les médias, alors qu’il n’a pas la moindre once de talent, l’adolescent capricieux doit à son père et à ses amis d’exister médiatiquement. Ce qui est déjà une honte, compte tenu du niveau intellectuel du jeune homme.
Du coup, comme tous les enfants gâtés, il se montre mal élevé, grossier, et il dépasse les limites du débat démocratique en insultant systématiquement les invités qui ne sont pas d’accord avec son credo de gauche réchauffé (merci papa).
D’ailleurs, pour justifier sa position supérieure et expliquer que lui, il sait la vérité, il n’hésite pas a expliquer qu’il a des amis en commun avec Carla Bruni. Argument d’autorité : je suis intégré dans les milieux mondains, donc je sais.
Par ailleurs, les propos pitoyables du fils de Guy reflètent le mépris socialiste envers les artistes populaires. Il y a deux poids deux mesures. Des acteurs par dizaines soutiennent officiellement le PS et s’affichent dans la campagne de François Hollande, sans que la moindre remarque leur soit adressée. Quand un artiste exprime sa sympathie au candidat de droite, c’est la curée, il en prend pour son grade. Il faut être drogué pour soutenir Sarkozy, comme l’explique le petit Nicolas B.
On ressent tous le mépris du petit peuple et l’élitisme de la gauche française. Une gauche qui estime représenter l’intelligence et la culture contre les beaufs et les crétins du peuple qui aiment TF1, Plus belle la vie et Johnny. Dès lors qu’un artiste « marche », qu’il est populaire, les élites de gauche le considèrent avec mépris comme « commercial » et ne l’estiment plus digne d’intérêt, que pour les masses, pour le peuple français débile et incapable de reconnaitre un œuvre de qualité.
Johnny, Sardou et Florent Pagny vont-ils être interdits d’antenne par le prochain président de la république ?
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire