Samedi soir à Lyon, quatre jeunes de 18 à 21 ans ont roué de coups un homme, puis lui ont roulé dessus avec leur voiture, le laissant entre la vie et la mort. La querelle avait éclaté parce que les jeunes avaient « branché », comme ils disent, la compagne de leur victime. Une ou deux injures échangées, et puis ce déchaînement de violence sans limite. Totale, bestiale… Dimanche en début de soirée, juste après l’intervention de notre Président à l’Élysée, la télévision publique diffusait « Le Serpent ». Un film avec Clovis Cornillac et Yvan Attal, d’une violence sans borne, à la fois montrée et suggérée. Coups de couteau dans les chairs, filmés de près. Suffocation d’une femme et ses deux enfants enfermés dans un congélateur. Ce « Serpent » était juste déconseillé aux moins de 12 ans… Le rapport entre le fait-divers et le film ? Aucun, sinon la violence sans limite de notre monde.
mardi 31 janvier 2012
Limite
Samedi soir à Lyon, quatre jeunes de 18 à 21 ans ont roué de coups un homme, puis lui ont roulé dessus avec leur voiture, le laissant entre la vie et la mort. La querelle avait éclaté parce que les jeunes avaient « branché », comme ils disent, la compagne de leur victime. Une ou deux injures échangées, et puis ce déchaînement de violence sans limite. Totale, bestiale… Dimanche en début de soirée, juste après l’intervention de notre Président à l’Élysée, la télévision publique diffusait « Le Serpent ». Un film avec Clovis Cornillac et Yvan Attal, d’une violence sans borne, à la fois montrée et suggérée. Coups de couteau dans les chairs, filmés de près. Suffocation d’une femme et ses deux enfants enfermés dans un congélateur. Ce « Serpent » était juste déconseillé aux moins de 12 ans… Le rapport entre le fait-divers et le film ? Aucun, sinon la violence sans limite de notre monde.
Samedi soir à Lyon, quatre jeunes de 18 à 21 ans ont roué de coups un homme, puis lui ont roulé dessus avec leur voiture, le laissant entre la vie et la mort. La querelle avait éclaté parce que les jeunes avaient « branché », comme ils disent, la compagne de leur victime. Une ou deux injures échangées, et puis ce déchaînement de violence sans limite. Totale, bestiale… Dimanche en début de soirée, juste après l’intervention de notre Président à l’Élysée, la télévision publique diffusait « Le Serpent ». Un film avec Clovis Cornillac et Yvan Attal, d’une violence sans borne, à la fois montrée et suggérée. Coups de couteau dans les chairs, filmés de près. Suffocation d’une femme et ses deux enfants enfermés dans un congélateur. Ce « Serpent » était juste déconseillé aux moins de 12 ans… Le rapport entre le fait-divers et le film ? Aucun, sinon la violence sans limite de notre monde.
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