L’élection présidentielle est, dit-on, la rencontre d’un peuple avec un homme – ou une femme. Un moment exceptionnel d’accordance des désirs, parfois d’ailleurs sans lendemain… L’échéance approche. Hier, Jean-Louis Borloo et Ségolène Royal nous ont confirmé leur désir d’avenir. Cette semaine, les socialistes ouvrent leur parade amoureuse, les écolos choisissent leur prétendant, et notre Président joue le mari sortant qui entend bien le rester. Déjà les gazettes, ces marieuses trop pressées, nous content le succès de tel ou telle, et impriment les bans. Mais ne nous y trompons pas : le temps des épousailles est loin. Les travaux d’approche sont à peine entamés, les préliminaires encore une rêverie sans objet. Les désirs s’expriment, mais le peuple n’est pas prêt pour la rencontre : il regarde, il observe. Lui sait l’affaire trop grave (cinq ans, c’est long) pour précipiter son choix.
lundi 27 juin 2011
Préliminaires
L’élection présidentielle est, dit-on, la rencontre d’un peuple avec un homme – ou une femme. Un moment exceptionnel d’accordance des désirs, parfois d’ailleurs sans lendemain… L’échéance approche. Hier, Jean-Louis Borloo et Ségolène Royal nous ont confirmé leur désir d’avenir. Cette semaine, les socialistes ouvrent leur parade amoureuse, les écolos choisissent leur prétendant, et notre Président joue le mari sortant qui entend bien le rester. Déjà les gazettes, ces marieuses trop pressées, nous content le succès de tel ou telle, et impriment les bans. Mais ne nous y trompons pas : le temps des épousailles est loin. Les travaux d’approche sont à peine entamés, les préliminaires encore une rêverie sans objet. Les désirs s’expriment, mais le peuple n’est pas prêt pour la rencontre : il regarde, il observe. Lui sait l’affaire trop grave (cinq ans, c’est long) pour précipiter son choix.
L’élection présidentielle est, dit-on, la rencontre d’un peuple avec un homme – ou une femme. Un moment exceptionnel d’accordance des désirs, parfois d’ailleurs sans lendemain… L’échéance approche. Hier, Jean-Louis Borloo et Ségolène Royal nous ont confirmé leur désir d’avenir. Cette semaine, les socialistes ouvrent leur parade amoureuse, les écolos choisissent leur prétendant, et notre Président joue le mari sortant qui entend bien le rester. Déjà les gazettes, ces marieuses trop pressées, nous content le succès de tel ou telle, et impriment les bans. Mais ne nous y trompons pas : le temps des épousailles est loin. Les travaux d’approche sont à peine entamés, les préliminaires encore une rêverie sans objet. Les désirs s’expriment, mais le peuple n’est pas prêt pour la rencontre : il regarde, il observe. Lui sait l’affaire trop grave (cinq ans, c’est long) pour précipiter son choix.
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