TOUT EST DIT

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dimanche 14 juillet 2013

La France a contracté le virus de la révolution soviétique


La France est prise d’assaut par les immigrés qui déferlent tel un torrent à la vitesse grand V dans nos plaines et nos vallées. Et comme ils sont déjà bel et bien installés dans nos chaumières, il s’agit de faire régner la paix sociale avec eux en ménageant leurs intérêts respectifs. Alors le comportement de la France qui peut paraître un brin schizofrénique, ne l’est point si on tient compte de mon hypothèse de travail. Pour que la société française demeure en paix et quiétude, il faut absolument et coûte que coûte faire ami-ami et essayer de se fondre en une nouvelle communauté qui puisse s’appeler le nouveau peuple de France. Souvenons-nous : il y a 20 ans, il y avait des pancartes dans les rues. On y lisait : « Ni blanc, ni black, ni jaune… » C’est un peu dans ce sens-là et au nom d’une démographie moribonde que les socialistes ont multiplié leurs efforts allant dans le sens du déblaiement du terrain. L’ennui est que les grands points de cette théorie étaient vides de sens au moment même où ils étaient annoncés, à savoir : même si la démographie française n’est pas au beau fixe, le nombre de citoyens peut très bien décroître sans que l’économie en pâtisse. A l’époque des robots industriels, le bien-être d’un État ne dépend plus de la croissance mécanique de sa population mais plutôt de la qualité de cette dernière. Autrement dit il ne s’agit pas de faire naître les gens mais plutôt de leur inculquer les bonnes manières, leur faire apprendre les sciences et reproduire dans les nouvelles générations les idéaux de la République Française telle qu’elle est connue à travers le monde.
Le problème qui se dresse devant nous n’est pas un problème de religions mais de l’idéologie générale de ceux qui gouvernent la société. Les gens aux commandes sont mus par des idées et ils veulent façonner la vie réelle à l’image du monde idéal qui les hante. Ces idées, puisées très souvent chez les maçons, insistent sur la nécessité de fusionner les populations les transformant en masse mécanique sans mémoire historique et religion, parlant de préférence une version simplifiée de l’anglais.
L’ennui est que le pays, en l’occurrence la France, perçoit cela comme contamination d’un corps biologique avec un virus étranger. Et que se passe-t-il avec un malade qui ait contracté le virus ? La température monte, le corps résiste, vainc l’intrus ou meurt. Vous avez bien compris : l’individu ne peut inclure le virus dans son corps et se transformer en un être d’une nouvelle espèce. Il ne peut que vaincre la maladie ou décéder. Comme disaient les curés, tertium non datur ! Or, les nouveaux idéologues français qui ressemblent beaucoup aux Bolchéviks d’antan, cherchent à créer un nouvel homme, digne « des avenirs qui chantent ». Si quelqu’un n’arrive pas à entrer dans le creuset, il se voit châtié. C’est le cas de Nicolas Bernard-Buss et de bien d’autres jeunes gens limogés lors de la Manif pour tous. Il y en a eu, en tout, plus de 350 personnes sans compter la province. Les dépositions ont fait le corpus d’un rapport d’avocats préparé par le Centre Européen de la loi et de la justice. Il est à savoir d’ailleurs que Bruxelles a classé la France comme le pire pays du point de vue du respect de la liberté d’expression : ensemble avec la Turquie !
Ainsi donc j’affirme haut et fort que la France vient de contracter un virus social pareil à un virus informatique qui, il y a cent ans, a frappé de plein fouet la Russie. Il se peut bien qu’il s’agisse du même type de virus ce qui est fort inquiétant parce que la Russie a fini par sombrer dans le chaos indescriptible qui dégénéra en guerre civile et internationale.
Considérons bien tous les tenants et les aboutissants. La Russie de l’époque de Lénine, tsariste, traditionnelle et mono-culturelle s’est vu imposer la nouvelle doctrine venue de l’Ouest et générée par les cercles maçonniques qui ont donné naissance à la révolution française. On ne connaît que trop bien l’antienne « Liberté ! Egalité ! Fraternité ! » Mais on se souvient très bien des cordées des gens emmenées à la guillotine parce que non conformes avec la nouvelle idéologie. D’ailleurs les Russes blancs du début vingtième se sont fait appeler blancs en mémoire des armées royalistes françaises et de la Vendée qui choisirent le blanc comme couleur de la Vierge et le Sacré-Cœur comme son symbole. Staline, lui, bien que bête d’Apocalypse, a mis fin aux idées trotskistes et transforma la Russie en un Empire du type antique avec esclaves et aristocratie militaire.
Et voilà que cent ans après la révolution d’octobre dans l’Empire russe, on voit les mêmes idées destructrices rebondir en France : liberté pour tous de faire ce qu’ils veulent en France (souvenez-vous : « Nique la France ! »), égalité des nouveaux venus avec les citoyens de souche, fraternité de tous sans religion et frontières... Franchement je peux très bien m’abstenir de combattre cette idéologie parce qu’elle est vouée à l’échec. Les nouveaux venus ne veulent fusionner avec les Français en renonçant à leur langue, culture et religion. Les Français, eux, quoique flasques ces dernières décennies, finiront bien par se réveiller et prendre conscience du danger qui les guette. Les autres peuples européens, enfin, ne se laisseront pas faire et écraseront la nouvelle grande « œuvre au noir ». La seule chose qui, du point de vue d’un sociologue, me tracasse est le délai de la réaction. Plus les Français attendent, plus lourde sera la période de purification et plus sanglante la bataille. Il vaut mieux se dire tout de suite que la France s’est heurtée non pas à un tour de mauvaise gestion, mais à une application froide et calculatrice d’une idéologie qui a déjà parlé sous la Révolution de 1789 et en Russie. Chaque fois cela a dégénéré en un bain de sang. Il est grand temps de se réveiller et commencer à reconstruire le pays au lieu de penser que tout se tassera tout seul et sans coup férir.

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