mercredi 10 juillet 2013
Et si on arrêtait de nous vendre un islam bisounours ?
Et si on arrêtait de nous vendre un islam bisounours ?
Cette question, je me la suis posée récemment au détour d’un “ drame familial ” sordide : à Saint-Paul-les-Trois-Châteaux, Abdelkrim el-Kardaoui a tué sa femme – 47 coups de couteau, pas moins – et ses trois enfants âgés de 2 à 8 ans. De tels actes ne sont bien évidemment pas l’apanage d’une catégorie sociale, raciale, religieuse.
Mais ce qui mérite qu’on s’arrête à ce tragique fait divers, c’est une réflexion de Habiba Kabdani, mère et grand-mère des victimes. On lui a pris sa fille et ses petits-enfants. Elle a droit à toute notre compassion. Mais on ne peut que broncher quand, à la question d’un journaliste du Parisien : “ Redoutiez-vous que votre gendre tue vos petits-enfants ? ”, elle répond : “ Je me suis dit qu’il allait peut-être les épargner. Chez les musulmans, on ne touche pas aux enfants ! ”
Une assertion pour le moins aventurée, mais qui ne fait pas réagir (même par le biais d’une note dubitative) l’intervieweur. “ Chez les musulmans, on ne touche pas aux enfants ” ? Depuis quand ? Je sais bien qu’à chaque fois que des islamo-terroristes se livrent à des abominations on a droit aux médias dhimmis qui nous font le coup du “ pas d’amalgame ” et qui ouvrent leurs ondes et leurs colonnes à des imams qui expliquent – sans jamais être contredits – que l’islam est une religion d’amour, de paix et de tolérance. Une religion dont les adeptes ne touchent pas aux enfants…
Récemment, nous relations le martyre d’un jeune Syrien, âgé de 15 ans, abattu en public de deux balles dans la tête pour avoir fait une blague jugée blasphématoire par des islamistes ne se réclamant de rien d’autre que de l’islam.
Je ne voudrais pas remonter aux calendes, mais j’invite les chantres d’un islam bisounours à se reporter à mon livre, Torture, vous avez dit torture ? (Editions BS/Atelier Fol’Fer, 2001), où j’énumère – photos difficiles à l’appui – les massacres d’enfants – de toutes origines – pendant les événements d’Algérie. Des femmes enceintes éventrées pour leur arracher les bébés à naître. Des nouveaux nés le crâne fracassé contre des murs. Des petits enfants (2 mois, 1 an, 3 ans, 5 ans, 7 ans) égorgés d’une oreille à l’autre.
On me dira : “ C’était hier ”. Eh bien, parlons d’aujourd’hui. Un livre entier ne suffirait pas à énumérer toutes les petites victimes d’islamistes à qui l’on n’a sans doute pas expliqué que “ chez les musulmans, on ne touche pas aux enfants ”… Et je tiens à la disposition des chantres du “ pas d’amalgame ” des dizaines de vidéos – mais il faut avoir le cœur bien accroché pour les visionner – qui montrent de quoi sont capables les fous d’Allah.
Une gamine décapitée par un musulman en Inde (avril 2013). Trois écolières chrétiennes décapitées par des musulmans en Indonésie (octobre 2005). Des enfants chrétiens brûlés vifs par des islamistes dans le nord du Nigeria. Mohamed Merah assassinant de sang-froid des bambins. Un jeune Tunisien converti au christianisme égorgé puis décapité par des islamistes. Des fillettes lapidées au nom de la charia. Etc. “ Chez les musulmans, on ne touche pas aux enfants ” ?
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