Ce samedi, plusieurs ministres du gouvernement sont attendus à Toulouse à
commencer par le premier d'entre eux: Jean-Marc Ayrault
11 h 52 : Manuel Valls est à la tribune: "Nous sommes à un moment de vérité. Nous devons agir et nous allons démontrer que la gauche française va transformer ce pays."
11 h 30: à l'applaudimètre, Gérard Filoche remporte tous les suffrages. Son discours sans concession sur les banquiers a fait mouche. "Le travail, ce n'est pas un coup, c'est une richesse. En Espagne, le coût du travail est plus bas et il y a plus de chômeurs..." Sur les banques, il ajoute : "Une taxe de 500 millions quand elles se mettent 18 milliards dans la poche, mais il faut prendre plus."
11 h 29 : Gérard Filoche : "Notre priorité n'est pas de rembourser les banquiers, notre priorité, c'est de faire baisser le chômage. Pour lutter contre le chômage, il faut prendre l'argent où il est, il ne faut pas céder au chantage des banques. Il faut la relance pas l'austérité. Je suis partisans de la hausse des salaires, les minimas sociaux sont trop bas."
Chemise d'ouvrier, mais doigt de bureaucrate |
11 h 21 : Elisabeth Guigou : " Nous devrons soutenir le Président et le gouvernement. François Hollande a changé les règles du jeu en Europe. Il a réussi à reposer la construction européenne sur de nouvelles bases. Mais rien n'est gagné."
11 h 20 : Elisabeth Guigou a insisté sur un point : "Tapons sans relâche sur le bilan de Sarkozy. Les dix ans de droite et les cinq de Sarkozy, ce sont 750 000 emplois industriels détruits. C'est ce que les Français ont voulu changer".
11 h 18 : Elisabeth Guigou a succédé à Benoît Hamon à la tribune.
11 h 15 : Enfin Benoît Hamon a appelé le PS à tenir son rôle: "Maintenant tout commence pour toi Harlem.
11 h 10 : Hamon revient sur les critiques du moment : le procès en amateurisme instruit par la droite. Une attaque à laquelle Benoît Hamon a répondu par l'ironie raillant: "la belle bande de professionnels qui nous a laissé 600 milliards d'euros de dette, ce concentré d'intelligence qui nous a fait un million de chômeurs en plus..."
11 h 08 : Hamon défend le droit des vote des étrangers. "L'engagement du Premier ministre et du président sur le droit de vote des étrangers c'est un engagement politique et cet engagement n'est pas ouvert à la négociation."
11 h 07 : Hamon étrille Patrick Buisson, le "nouveau gourou de la droite". "Nos concitoyens ont voulu une autre politique et nous leur devons une autre politique et et c'est ainsi que nous combattrons les Buisson, Copé et quelques autres".
11 h 05 : Benoît Hamon a pris la parole : "En rentrant dans cette salle, j'ai croisé quelques journalistes qui ont déjà signé des articles sur ce congrès chagrin, d'ennui. Ils me disaient à Toulouse, il ne se passe rien. Mais si rien ce n'est pas de disputes, pas d'orages, alors oui de ce point de vue là, il ne se passera rien."
11 heures : c'est une journée dense qui attend les militants. Au programme : Benoît Hamon, Gérard Collomb, Manuel Valls, Marie-Noël Lienemann, Anne Hidalgo, Claude Bartolone et Pierre Moscovici doivent intervenir à la tribune ce matin.
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