Connaissez-vous la scorpionite ? C’est une nouvelle maladie découverte par Monsieur Fillon. Elle se manifeste, a expliqué notre Premier ministre lors de ses vœux de Nouvel An, par une volonté constante du malade de tout dénigrer, au risque de s’empoisonner. Le docteur Fillon pensait bien sûr aux socialistes et à Monsieur Hollande. Mais la campagne des derniers jours montre que l’épidémie de scorpionite se répand vite chez nos politiques : ils n’en meurent pas tous, mais tous sont frappés, et se dénigrent à qui mieux mieux. Sale mec ! dit l’un. Honte nationale, jette l’autre. Homme dangereux, jure l’une, aussi néfaste qu’une guerre, complète son compère… S’ils devaient tous persister ainsi durant les cent jours qui nous restent avant le scrutin, nul doute que la scorpionite ferait bien des victimes. À commencer par nous, les ânes de la fable, dindons de cette triste farce.
vendredi 13 janvier 2012
Cent
Connaissez-vous la scorpionite ? C’est une nouvelle maladie découverte par Monsieur Fillon. Elle se manifeste, a expliqué notre Premier ministre lors de ses vœux de Nouvel An, par une volonté constante du malade de tout dénigrer, au risque de s’empoisonner. Le docteur Fillon pensait bien sûr aux socialistes et à Monsieur Hollande. Mais la campagne des derniers jours montre que l’épidémie de scorpionite se répand vite chez nos politiques : ils n’en meurent pas tous, mais tous sont frappés, et se dénigrent à qui mieux mieux. Sale mec ! dit l’un. Honte nationale, jette l’autre. Homme dangereux, jure l’une, aussi néfaste qu’une guerre, complète son compère… S’ils devaient tous persister ainsi durant les cent jours qui nous restent avant le scrutin, nul doute que la scorpionite ferait bien des victimes. À commencer par nous, les ânes de la fable, dindons de cette triste farce.
Connaissez-vous la scorpionite ? C’est une nouvelle maladie découverte par Monsieur Fillon. Elle se manifeste, a expliqué notre Premier ministre lors de ses vœux de Nouvel An, par une volonté constante du malade de tout dénigrer, au risque de s’empoisonner. Le docteur Fillon pensait bien sûr aux socialistes et à Monsieur Hollande. Mais la campagne des derniers jours montre que l’épidémie de scorpionite se répand vite chez nos politiques : ils n’en meurent pas tous, mais tous sont frappés, et se dénigrent à qui mieux mieux. Sale mec ! dit l’un. Honte nationale, jette l’autre. Homme dangereux, jure l’une, aussi néfaste qu’une guerre, complète son compère… S’ils devaient tous persister ainsi durant les cent jours qui nous restent avant le scrutin, nul doute que la scorpionite ferait bien des victimes. À commencer par nous, les ânes de la fable, dindons de cette triste farce.
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