Le Portugal, avec une dette publique de 126 milliards soit 88% du PIB, ou l’Italie avec une dette d’environ 1800 milliards d’euros, soit près de 120% de son PIB viennent tout de suite derrière, avec, dans le cas de la Péninsule, le facteur aggravant de l’inefficacité des services publics illustrée, sur tous les écrans de télévision du monde, par la gabegie de la collecte d’ordures à Naples.
Le cas de l’Espagne, notons-le d’emblée, est de ce point de vue différent puisque les autorités de Madrid sont avant tout confrontées à une spirale de l’endettement privé comparable à celle de l’Irlande, où le sauvetage de l’UE vise à remettre à flot le secteur bancaire. La dette publique espagnole, à 680 milliards d’euros, représente environ 64% du PIB du pays… contre 1 650 milliards pour la France, soit 84% du PIB de l’Hexagone, que les agences de notation ont dans leur collimateur. Lire la suite sur presseurop.eu...
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