mardi 14 janvier 2014
Les caleçonnades de Hollande
Les caleçonnades de Hollande
Après la quenelle, il fallait un plat léger. Les Français pensaient le président de leur pays en crise accaparé par ses fonctions et ses charges, obnubilé par le sort de la France et des Français, le chômage, les licenciements, les hausses d’impôts, la pauvreté, consacrant toute son énergie et chaque minute à redresser le pays et à corriger ses catastrophiques résultats. Pensez-vous ! Ils apprennent que François Hollande pense tout à fait à autre chose, a suffisamment de temps libre pour se consacrer à sa « love affair » avec une actrice, gérer un vaudeville familial et le gros coup de mou de Valérie Trierweiler qu’il a imposée comme la première dame de France. Cette dernière a été hospitalisée trois jours pour « une chute de tension ». Selon certaines sources, ce serait une surdose de médicaments. On est reparti dans le psychodrame de soap-opera présidentiel. C’était bien la peine de critiquer Sarkozy et d’affirmer qu’il fallait « mener sa vie privée à l’abri des médias ».
Quand on apprend en plus que l’appartement dans lequel le président retrouve Julie Gayet (ne cherchez pas, la filmographie de cette jeune gauchiste contrairement à sa vie privée, est totalement confidentielle) a selon Médiapart, était prêté par un bandit corse (dont la compagne est une amie de Julie Gayet), il y a un certain nombre d’implications qui se posent quand même sur la sécurité du chef de l’Etat lors de ses escapades à scooter. Qu’en dit Manuel Valls ?
Frais de la princesse
Valérie Trierweiler est-elle toujours première dame de France ? Est-il normal qu’elle reste désormais à l’Elysée aux frais du contribuable avec ses quatre collaborateurs affectés à son service pour une rémunération mensuelle de plus de 20 000 euros, sans parler de tous les voyages, séjours, avantages acquis et frais divers, prélevés sur les finances de l’Etat ? De même est-il normal que l’appartement personnel de Hollande et Trierweiler qu’ils n’occupent plus depuis des semaines et pour cause, soit gardé en permanence par deux plantons aux frais de la République ?
Est-ce que les contribuables doivent maintenant entretenir aussi Julie Gayet sur le même pied ? Jusqu’à quand la République doit-elle assurer tous les défraiements de la romance présidentielle comme ces rendez-vous galants encadrés de gardes du corps (qui apportent les croissants au petit-déjeuner selon Closer) rémunérés sur les fonds publics ? Pendant ce temps vous et moi payons la dette du pays…
Si cela peut un peu consoler Valérie, les Français ont un point commun avec elle. Celui d’avoir été cocufiés pendant deux ans. Il y aura du monde à Paris le 26.
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