Ce matin, Jean-Marc Ayrault a déclaré dans un entretien au journal « La Croix » que la théorie du genre ne serait pas enseignée à l’école. Il ne s’agit, selon lui, que de lutter contre « les stéréotypes de genre ».
Mensonge !
Depuis plusieurs semaines, des exemples précis de documents faisant l’apologie de la théorie du genre nous remontent des établissements scolaires. Les défenseurs de cette théorie prétendent que notre identité sexuelle, le fait d’être un homme ou une femme, serait totalement indépendante de notre anatomie.
Ainsi, le 4 janvier 2013, Vincent Peillon écrivait à l’ensemble des recteurs pour leur demander de « s’appuyer sur la jeunesse pour changer les mentalités », notamment sur la question liée à l’identité de genre. Il les incitait à s’appuyer sur les supports pédagogiques proposés par la « Ligne Azur » qui affirme, par exemple, que l’identité de genre « c’est le sentiment d’être un homme ou une femme. Pour certains, le sexe biologique coïncide avec ce ressenti. Pour d’autres, sexe génital et identité de genre ne correspondront pas ». Plus récemment, Michel Teychenné, fondateur de l’association « Homosexualité et socialisme » a rendu un rapport officiel au ministre de l’Éducation nationale l’incitant à s’appuyer sur les fédérations LGBT (Lesbiennes, Gays, Bisexuels, Transsexuels) pour animer certains cours dans les établissements scolaires. Pour lui, également, il convient de rappeler aux enfants que « l’identité de genre est une expérience intime et personnelle de son genre vécue par chacun qu’elle corresponde ou non au sexe assigné à la naissance ». On voit bien qu’il ne s’agit pas d’une simple politique en faveur de plus d’égalité entre hommes et femmes, mais bien d’un projet plus subversif consistant à prétendre que chacun peut choisir, indépendamment de son anatomie et de son corps, de devenir un homme, une femme, ou même un être de sexe indéterminé. Est-ce réellement cela que nous voulons apprendre à nos enfants ?
De plus si nous laissons faire les militants favorables à cette théorie, des pans entiers de notre enseignement et de notre culture seront jetés à terre.
Ils demandent déjà de remplacer les classiques de la littérature enfantine par des livres « non genrés », comme « Papa porte une robe » ou « je veux un zizi ».
Ils militent également pour imposer une vaste réforme de la grammaire française. Ils l’accusent d’être sexiste et d’être un instrument visant à assurer « l’hégémonie hétérosexuelle ». Sic ! Face à la désinformation du gouvernement et à la détermination des hérauts de la théorie du genre, nous ne devons pas baisser la garde. Pou cela, nous avons besoin de vous ! Afin de nous aider à faire connaître les dangers de la théorie du genre à tous les parents et grands-parents d’élèves et d’être en capacité de réagir établissement par établissement aux attaques des partisans de cette théorie, nous devons nous poursuivre notre structuration sur le terrain.
Pour cela, nous vous invitons, si ce n'est pas déjà fait, à devenir correspondant de l’observatoire de la théorie du genre dans votre ville. Mais aussi à faire connaître notre site véritable antidote contre la désinformation du gouvernement.
Par ailleurs, si vous le pouvez, merci de nous adresser un don, même modeste, pour nous aider à financer nos actions (édition de tracts, envoie de courrier, organisation de conférences) et le développement de l'observatoire. Nous ne disposons d'aucune aide, si ce n'est la vôtre.
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