Les réactions des politiques sur la circulaire Taubira, envoyée vendredi aux tribunaux, ont été vives ce mercredi, en particulier à droite. Si le gouvernement se positionne clairement contre la Gestation pour Autrui (GPA), la circulaire demande "de faire droit" aux demandes de certificats de nationalité pour des enfants nés à l'étranger de mère porteuse. "Cette circulaire ouvre la voie à la Gestation pour Autrui, à la marchandisation des corps", affirmait ce mercredi le député UMP Bruno le maire, pour qui "à partir du moment où on fait sortir une circulaire, et où il y a le débat, les masques tombent". Le ministre des Relations avec le Parlement, Alain Vidalies, a tenté de justifier l'utilité de cette circulaire ce mercredi. Les enfants "ont droit à ce minimum, de savoir quelle est leur nationalité, c'est tout" a t-il déclaré sur France Inter, rappelant que "les juridictions y répondaient de manière totalement disparate". Et alors que Jean-Pierre Raffarin, député de l'Eure, dénonce "une technique" politicienne pour faire diversion, Claude Bartolone affirme qu'elle traite simplement "un problème humain et social qu'il fallait régler".
mercredi 30 janvier 2013
Circulaire Taubira : pour Bruno Le Maire "avec le débat, les masques tombent"
Les réactions des politiques sur la circulaire Taubira, envoyée vendredi aux tribunaux, ont été vives ce mercredi, en particulier à droite. Si le gouvernement se positionne clairement contre la Gestation pour Autrui (GPA), la circulaire demande "de faire droit" aux demandes de certificats de nationalité pour des enfants nés à l'étranger de mère porteuse. "Cette circulaire ouvre la voie à la Gestation pour Autrui, à la marchandisation des corps", affirmait ce mercredi le député UMP Bruno le maire, pour qui "à partir du moment où on fait sortir une circulaire, et où il y a le débat, les masques tombent". Le ministre des Relations avec le Parlement, Alain Vidalies, a tenté de justifier l'utilité de cette circulaire ce mercredi. Les enfants "ont droit à ce minimum, de savoir quelle est leur nationalité, c'est tout" a t-il déclaré sur France Inter, rappelant que "les juridictions y répondaient de manière totalement disparate". Et alors que Jean-Pierre Raffarin, député de l'Eure, dénonce "une technique" politicienne pour faire diversion, Claude Bartolone affirme qu'elle traite simplement "un problème humain et social qu'il fallait régler".
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