Ce qu'il y a de bien, dans les vacances, c'est qu'on en cause avant, pendant et après. Et si vous alignez les vacances d'été et celles d'hiver, vous pouvez tenir l'année sur le même sujet. Surtout en France, d'ailleurs, royaume de l'art du bien vivre à ne rien faire longtemps, et à en parler longuement. On en oublierait presque, dans l'heureuse fièvre des grands départs, que ce bonheur n'est pas donné à tout le monde. Car la crise a fait fondre le nombre des vacanciers: en quelques années, nous sommes tombés de deux Français sur trois à un peu plus d'un sur deux qui partent en vacances. Mais comment expliquer alors qu'on ne parle que de cela ? C'est le miracle des vacances, qui métamorphosent les rues de nos communes, notre télévision et nos voisins, qui nous font changer d'air, que l'on parte ou que l'on reste. Alors, à tous, à ceux qui partent et à ceux qui restent: bonnes vacances.
samedi 17 juillet 2010
Vacances
Ce qu'il y a de bien, dans les vacances, c'est qu'on en cause avant, pendant et après. Et si vous alignez les vacances d'été et celles d'hiver, vous pouvez tenir l'année sur le même sujet. Surtout en France, d'ailleurs, royaume de l'art du bien vivre à ne rien faire longtemps, et à en parler longuement. On en oublierait presque, dans l'heureuse fièvre des grands départs, que ce bonheur n'est pas donné à tout le monde. Car la crise a fait fondre le nombre des vacanciers: en quelques années, nous sommes tombés de deux Français sur trois à un peu plus d'un sur deux qui partent en vacances. Mais comment expliquer alors qu'on ne parle que de cela ? C'est le miracle des vacances, qui métamorphosent les rues de nos communes, notre télévision et nos voisins, qui nous font changer d'air, que l'on parte ou que l'on reste. Alors, à tous, à ceux qui partent et à ceux qui restent: bonnes vacances.
Ce qu'il y a de bien, dans les vacances, c'est qu'on en cause avant, pendant et après. Et si vous alignez les vacances d'été et celles d'hiver, vous pouvez tenir l'année sur le même sujet. Surtout en France, d'ailleurs, royaume de l'art du bien vivre à ne rien faire longtemps, et à en parler longuement. On en oublierait presque, dans l'heureuse fièvre des grands départs, que ce bonheur n'est pas donné à tout le monde. Car la crise a fait fondre le nombre des vacanciers: en quelques années, nous sommes tombés de deux Français sur trois à un peu plus d'un sur deux qui partent en vacances. Mais comment expliquer alors qu'on ne parle que de cela ? C'est le miracle des vacances, qui métamorphosent les rues de nos communes, notre télévision et nos voisins, qui nous font changer d'air, que l'on parte ou que l'on reste. Alors, à tous, à ceux qui partent et à ceux qui restent: bonnes vacances.
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