TOUT EST DIT

TOUT EST DIT
ǝʇêʇ ɐן ɹns ǝɥɔɹɐɯ ǝɔuɐɹɟ ɐן ʇuǝɯɯoɔ ùO

vendredi 19 décembre 2008

RAS LE BOL DES FENÊTRES INTRUSES.


ON NE LIT MÊME PLUS LES TEXTES , SI TANT EST QU'IL SONT INTELLIGENTS PARFOIS !

jeudi 18 décembre 2008

RTL

Les bôfs de RTL ont donc voté pour les personnalités les plus marquantes de l'année.
Obama est le premier, les français continuent de penser que c'est le président qui va sauver le monde.
Et Dany Boon ? On est mal barré !!!!!!!

mercredi 17 décembre 2008

IL A LA TROUILLE !!!

Boutih au gouvernement ? "C'est complètement faux", assure l'intéressé
Alors que Nicolas Sarkozy doit dévoiler mercredi après-midi plusieurs mesures pour faciliter l'accès aux grandes écoles et à la haute administration aux jeunes issus de la diversité, le socialiste Malek Boutih serait pressenti pour entrer au gouvernement, affirme ce matin Le Figaro . Il ne resterait plus qu'à préciser son titre et sa fonction, souligne le quotidien qui croit savoir que l'ancien président de SOS-Racisme pourrait même se voir conférer "une place à part dans l'organigramme gouvernemental" comme "délégué interministériel" chargé de la diversité. L'intéressé a, lui-même, démenti la nouvelle dans la foulée. "C'est hors de propos, c'est complètement faux", a lâché ce proche de Julien Dray, qui s'étonne que Le Figaro n'ait pas jugé bon de l'appeler pour vérifier l'information.

"Le PS ne m'a pas fait de cadeau"

"Je suis très honoré qu'on pense à moi" pour participer au gouvernement "alors que dans mon propre parti (...) on ne m'a fait aucun cadeau, ni à moi ni à tous ceux qui me ressemblent", a toutefois lâché Malek Boutih, un peu plus tard sur France Inter, soulignant que Nicolas Sarkozy "casse des tabous" en intégrant des femmes issues de la diversité dans son équipe. "Pour moi, sur un sujet comme ça, ce serait honorable et extrêmement intéressant de travailler" même "s'il y a plein de points avec lesquels je suis en désaccord" avec le gouvernement, a-t-il dit.

"Quand vous vous engagez en politique, vous ne vous engagez pas pour servir une boutique, mais pour servir votre pays", a-t-il ajouté, estimant que pour la personne qui va accepter un poste au gouvernement "ce n'est pas une honte", mais "un honneur". "Elle peut compter sur le soutien de gens comme moi", mais, "pour ma part, a-t-il précisé, je mènerai mon action plutôt dans la gauche". Malek Boutih affirme par ailleurs "ne rien attendre de la direction" du PS et annonce qu'il va "lancer un appel à l'ensemble des gens issus de la diversité qui sont dans ce parti pour faire une initiative dans les jours à venir et obliger la gauche comme les autres partis politiques à changer".

jeudi 11 décembre 2008

LEON

Fils légitime d'une journaliste ratée et d'un manchot.

mercredi 10 décembre 2008

ENTENDU CE MATIN

J'ai entendu ce matin Nonce Paoli parler chez RTL; quelle belle voix de PD c'est un vrai régal d'entendre cet voix de petit merdeux dire que Laurence Ferrari est là pour vingt ans, C'est certainement qu'il se la fait, il ne peut que se coltiner des dinde ; qu'il en profite c'est Noel.

mardi 9 décembre 2008

JESUS


SDF connu, de parents qui le furent moins.

Alimentation: les Français plus que jamais attentifs aux prix

Les consommateurs font de plus en plus leurs achats alimentaires en fonction du prix et sont plus nombreux à aller dans les magasins de hard discount, selon le baromètre annuel de l'alimentation du Credoc, réalisé pour le ministère de l'Agriculture.
Pour les fêtes de fin d'année les ménages vont faire leurs courses dans les HD, pour manger plus à moindre coût, c'est normal ; le médecin est remboursé par la sécu, lui.

lundi 8 décembre 2008

MARINI OU MARTINI ?

Mr Marini, 58 ans nous pond un amendement sur les bourses !!!!
Déduire les pertes en bourse de l'impôt sur le revenu, donc la communauté devrait payer pour l'imprudence d'un trader en herbe ?
Et si ce trader gagne de l'argent.....par hasard va-t-il le redistribuer aux autres ?
Marini a du abuser du Martini.
L'alcool à son âge rend idiot.

samedi 6 décembre 2008

LA CRISE ?


Cette photo d'Eugène Smith, les suites de Nagazaki, poignante et inoubliable est un exemple de ce que l'homme BLANC est capable de faire, réfléchissons un peu sur notre état de surprédation, de suradaptation, nous sommes des rats. Nous allons tout détruire.

jeudi 27 novembre 2008

L'AUTOSATISFACTION D'UN MÉDIOCRE.

Michel Drucker a récemment connu un beau succès de librairie en publiant son autobiographie, intitulée Mais qu'est-ce qu'on va faire de toi ? L'histoire d'un gamin qui rêve de télé malgré un milieu familial à mille lieues du show-biz, et qui va devenir une figure incontournable du PAF.
Selon les informations du Parisien, l'animateur travaille à l'adaptation en documentaire de son livre. Celui-ci devrait être diffusé sur France 3, avant la fin de l'année ou début 2009.

vendredi 21 novembre 2008

Bayrou: "mon vote a été détourné"

Le président du MoDem François Bayrou "dément absolument" avoir approuvé le projet de budget Sécu pour 2009, qui comporte une disposition permettant un départ à la retraite jusqu'à 70 ans, alors qu'il a été comptabilisé dans les votes "pour".

"J'ai appris aujourd'hui avec stupéfaction que mon vote, lors du débat sur le PLFSS incluant la possibilité de départ à la retraite à 70 ans aurait été détourné, alors que je n'étais pas présent à l'Assemblée nationale au moment de ce vote", a expliqué le député des Pyrénées-Atlantiques.

"Je participais au Foro de Biarritz, une rencontre de responsables politiques d'Amérique latine et d'Europe sur les conséquences de la crise financière", un engagement "pris de longue date", a-t-il encore déclaré.

"Je n'ai donc pas pu être présent pour ce scrutin public dans l'hémicycle", a ajouté M. Bayrou, qui affirme ne pas avoir donné de délégation pour ce vote.

"De deux choses l'une, ou bien c'est une erreur humaine difficilement compréhensible ou bien c'est une malveillance, auquel cas j'envisage de porter plainte", a-t-il déclaré.

"Toutes les séances sont filmées j'espère donc que l'on pourra précisément établir les circonstances" de ce vote, a-t-il conclu, affirmant qu'une enquête interne à l'Assemblée est en cours.

Interrogés par l'AFP, les services de l'Assemblée ont précisé qu'il n'y avait que deux possibilités pour expliquer que M. Bayrou apparaisse, bien qu'absent, comme ayant voté pour le texte. "Soit il a donné délégation à quelqu'un, soit quelqu'un a voté à sa place sans y être autorisé, ce qui est techniquement possible".

En ne donnant pas de délégation de vote, M. Bayrou ne pouvait, en tout état de cause, pas voter contre le texte.

CET HOMME N'ARRÈTE PAS DE SE DÉCRÉDIBILISER. QU'IL ARRÉTE DONC DE FAIRE DE LA POLITIQUE.
CE SERAIT UNE MERDE EN MOINS DANS LE PAYSAGE.

jeudi 20 novembre 2008

Darcos : "Il y a à l'Éducation nationale une culture de la grève"#

"Toutes les communes de droite y arrivent et certaines communes de gauche disent qu'elles n'y arrivent pas ? Tout ça est une blague !" Xavier Darcos n'a pas mâché ses mots, jeudi matin, au moment de s'exprimer sur la forte mobilisation des enseignants du primaire et du secondaire prévue aujourd'hui . Le ministre de l'Éducation nationale a dénoncé sur RTL l'instrumentalisation que les "mairies de gauche" faisaient, selon lui, du service minimum. "C'est une question politique", a-t-il lâché. Passablement courroucé, il a critiqué la "double peine" pour les parents qui vont devoir faire face à la fermeture de l'école de leur(s) enfant(s) en se retrouvant du coup en "congés forcés"."C'est une grève importante", a toutefois reconnu le locataire de la rue de Grenelle, qui s'est offusqué du nombre de mouvements qui paralysent l'Éducation nationale. "Au XXIe siècle, nous avons déjà eu 33 grèves, cela fait quatre par an. Vous connaissez beaucoup de professions qui en font quatre par an ? Il y a dans ce ministère une culture de la grève qui nous empêche de débattre de la réalité qui concerne les élèves", s'est emporté Xavier Darcos.

"L'école avance plus vite que les cortèges"

Versant dans la provocation métaphorique, il a rappelé à ceux qui descendront dans la rue pour battre le pavé que "le monde, la France, et l'école avancent plus vite que les cortèges". "Combien de fois a-t-on entendu les mêmes slogans depuis une trentaine d'années ?", s'est-il demandé, visiblement lassé par les formules. "Organiser de manière aussi systématique et si répétitive comme réponse aux problèmes de l'école des protestations, des refus, c'est une manière d'aborder les problèmes démodée", s'est-il agacé. Il a prédit qu'il y aurait "moins d'un gréviste sur 2 dans le second degré".

Plus encore, l'ancien maire de Périgueux a estimé que "la résistance des cadres syndicaux est la preuve que ce que nous faisons est efficace." Une remarque qui ira droit au coeur des intéressés... "Les professeurs méritent mieux que d'avoir des syndicats dont la fonction principale est d'organiser la résistance au changement comme si rien ne changeait autour de nous", a martelé un Xavier Darcos remonté. "On va dépenser 410 millions d'euros pour les enseignants en 2008. Ce ne sont pas des mesurettes. Ce n'est pas être plus nombreux qui compte, mais être plus efficace. Les suppressions de postes se poursuivront", a-t-il assuré. Le message a été passé.

vendredi 14 novembre 2008

Jean-Michel Aphatie : Bonjour, Christine Lagarde.


Christine Lagarde : Bonjour.


Au premier trimestre 2008, la Croissance a augmenté en France de 0,5 %. Elle a reculé au deuxième trimestre de 0,3 %. Qu'en a-t-il été au troisième trimestre, Christine Lagarde ?

Ecoutez, le chiffre est étonnant puisque chacun s'attendait à un chiffre négatif et chacun se préparait à débattre sur la récession puisque la récession c'est techniquement deux trimestres successifs négatifs, eh bien la France contrairement à l'Allemagne qui a fait -0,5%, contrairement à la Grande-Bretagne qui a fait -0,5%, la France fait +0,14%.

Donc, c'est une très bonne nouvelle par rapport au climat qui n'est pas bon ailleurs ?

C'est une bonne nouvelle et cela signifie que la France n'est pas techniquement en récession.

0,14 % d'augmentation de la production industrielle en France. Comment vous expliquez cette différence, ou ce maintien relatif de la France, par rapport aux économies qui nous environnent ?

J'ai amené mes chiffres pour RTL parce que je veux vous les commenter dans le détail. Ce dont on s'aperçoit, c'est qu'au troisième trimestre : importations - exportations se sont à peu près équilibrées. Donc, ce n'est pas là qu'on a de la croissance. Ce n'est pas là non plus qu'on a de la décroissance, si j'ose dire, puisque souvent c'est ce poste-là qui nous pénalise un peu.

Alors si on regarde, en revanche, dans le détail, on s'aperçoit que la consommation a tenu. Elle a fait un petit mieux qu'au deuxième trimestre. En revanche, les investissements des entreprises là ont été bien meilleures qu'au deuxième trimestre. On avait en investissements des entreprises -1 point au deuxième trimestre, et là on a +0,3%.

Donc, consommation et investissement des entreprises sont les deux moteurs qui au troisième trimestre, ont tiré la France au-delà de l'Allemagne, au-delà de la Grande-Bretagne ; et moi j'y vois une explication parce qu'on est à conditions économiques équivalentes avec l'Allemagne, par exemple, je crois quand même que la politique du gouvernement, celle que nous menons depuis des mois maintenant est en train de produire des effets.

Donc 0,14% d'augmentation de la croissance en France au troisième trimestre, c'est ce que vous nous annoncez sur RTL, Christine Lagarde, ce matin. Malgré tout, beaucoup de secteurs connaissent des difficultés. On parle beaucoup partout de l'automobile. Les Américains sont décidés à aider leur industrie automobile. Le journal "La Tribune", hier, notait que Renault avait réduit sa production en France de 22%. Donc, les problèmes sont immenses. Le gouvernement va-t-il aider les constructeurs automobiles français à traverser la mauvaise passe que nous connaissons, Christine Lagarde ?

Oui. Oui. D'abord un mot sur la filière automobile. C'est la filière automobile en France, en Europe et dans le monde entier, pour plusieurs raisons, pour des raisons qui tiennent d'abord au changement de technologie. On est à un point de passage entre les automobiles d'aujourd'hui mais surtout d'hier, et puis des véhicules nouveaux qui probablement fonctionneront avec des énergies nouvelles, avec des mixes énergétiques et sur lesquelles on est en attente. Donc très clairement, les constructeurs sont dans une phase de transition. Les consommateurs, eux, sont un peu rétifs à l'achat pour deux raisons.
- D'abord, parce qu'ils s'interrogent sur l'opportunité ou non de changer de véhicule.
- Et puis, parce que bien souvent, les véhicules on les achète avec un crédit.

Et aujourd'hui, les établissements de crédit - c'est particulièrement vrai aux Etats-Unis, ça l'est un peu moins en Europe - les établissements de crédit automobile sont le pied sur la pédale de frein, et ne prêtent absolument pas. Donc, le gouvernement veut soutenir cette filière, c'est évident. Moi j'ai signé en juillet dernier un accord avec les constructeurs automobiles dans lequel l'Etat met 150 millions d'euros ; et on demande aux constructeurs automobiles d'investir dans l'avenir, et surtout de préparer leurs salariés à ces transitions. Ca, c'est le premier point. Et il faut absolument continuer.

Continuer ? Ca veut dire qu'un autre plan pourrait être annoncé bientôt, Christine Lagarde ?

Il faut soutenir l'évolution dans ce marché automobile en participant à la formation des salariés, ceux qui évidemment poursuivront leur activité professionnelle et qui ont l'âge pour le faire. Et puis, il faut soutenir la filière par des moyens très forts incitatifs au plan de la Recherche et du Développement parce qu'il faut que nos constructeurs automobiles français qui sont de grands constructeurs, qui ont une vraie technicité et un grand savoir-faire, eh bien il faut qu'ils puissent absolument être novateurs et qu'ils s'inscrivent comme des leaders dans le secteur automobile de demain. Donc ça, ce sont des plans lourds, forts, en Recherche et Développement.

Les observateurs notent aussi que le prix du pétrole brut a chuté de 60% ces dernières semaines ; et les associations de consommateurs, en regard, disent que l'essence ne baisse à la pompe que de 20%. Vous convenez de cette différence ? Il y a un problème ? Et qui est responsable de cette situation, Christine Lagarde ?

Ce n'est pas un problème ; il y a forcément un écart entre la baisse du prix du baril coté sur les marchés internationaux et en dollars et le prix à la pompe. Pourquoi ? Parce que tout simplement on ne paie pas notre plein d'essence ou le plein de la cuve de fioul en dollars. On le paie en euros. Or, l'euro a perdu à peu près 20% par rapport au dollar. Ca, c'est la première raison. La deuxième raison, c'est qu'on a un paquet de taxes sur le prix de l'énergie, qu'il s'agisse de la TVA ou de la TIPP - c'est la Taxe Intérieure sur les Produits Pétroliers -, qui vient amortir la baisse et qui vient amortir la hausse. Quand le prix du pétrole a pris 100%, les prix à la pompe n'ont pas pris 100%. On a exactement le même mécanisme qui s'applique en cas de baisse. Mais ! J'avais demandé aux producteurs et aux distributeurs de respecter d'une part les baisses au jour le jour, et de lisser les hausses. Or, on suit cet indicateur toutes les semaines.

Mais ils jouent le jeu ou pas ?

Je vais regarder tout à l'heure...

Le Président de la République avait l'air en colère ces derniers jours. Il avait convoqué, nous a-t-on dit, à la fois le président de Total, les distributeurs... Vous avez une tonalité différente, ce matin, Christine Lagarde ?

Mais j'espère... De toute façon, moi je suis ça toutes les semaines. J'ai un indicateur et l'ensemble des chiffres qui remonte toutes les semaines ; et puis, je vois les distributeurs régulièrement et c'est très bien s'ils sont vus au plus haut niveau. Tout ça, pourquoi ? Pour simplement mettre de la pression parce qu'il est assez agréable et naturel de s'habituer à un prix de l'énergie peu cher. Ce qui pose toute une série de problèmes sur le plan d'ailleurs de l'environnement. Mais il faut, chaque fois, rappeler les engagements qui ont été pris ; et il faut absolument que les producteurs répercutent les baisses pour que les consommateurs en profitent, pour que nous en profitions tous.

Les banques françaises jouent-elles le jeu du crédit, Christine Lagarde, aujourd'hui ?

Les banques françaises ont pris des engagements. Elles ont pris des engagements parce que l'Etat français a engagé sa garantie pour :
1- emprunter sur le marché et prêter aux banques puisqu'aujourd'hui, ceux qui ont de la disponibilité, de la liquidité sur les marchés, ne font confiance qu'à la signature de l'Etat. En contrepartie, d'une part l'Etat va encaisser des intérêts ; d'autre part, va facturer le prix de sa garantie. Et puis nous avons demandé deux catégories d'engagement :
2 - augmenter l'encours de Crédit d'au moins 3%, pour certaines banques 4%...

... Elles le font ?

... Et d'autre part, des engagements éthiques.

Elles jouent le jeu ? Elles prêtent de l'argent ou pas ?

Je vais le savoir, je vais le savoir à la fin du mois de novembre parce que je vais publier, tous les mois, un indicateur qui sera mon baromètre du Crédit et ça indiquera catégorie de crédits par catégorie de crédits, bénéficiaire par bénéficiaire, c'est-à-dire les ménages, les entreprises, etc., si oui ou non, les banques tiennent leurs engagements. Si elles ne les tiennent pas, à ce moment-là, on prendra évidemment des mesures qui consisteront tout simplement à réduire le disponible qui est mis à disposition.

Christine Lagarde. Elle sera demain à Washington pour le G 20, et elle est venue annoncer, ce matin, sur RTL une bonne nouvelle, si on peut dire : la production France a augmenté alors qu'on attendait qu'elle baisse. Bonne journée. Merci.

Bayrou refuse d'être "instrumentalisé" par les socialistes lors de leur congrès

Le président du Modem François Bayrou a refusé jeudi à Nîmes d'être "instrumentalisé dans le congrès du PS", alors que la question des alliances avec le Modem a resurgi au Parti socialiste à l'occasion de la préparation de son congrès.

M. Bayrou, interrogé sur la préparation du congrès du PS et sur place que tient la question des alliances, a fait le constat que le Modem était "pris comme prétexte par les uns et par les autres".
"Mais moi, je ne veux pas être instrumentalisé dans le congrès du PS. Donc, je me garde bien de faire la moindre déclaration sur ce sujet", a déclaré François Bayrou à l'AFP, quelques instants avant de tenir une réunion publique à Nîmes.

"Je me suis fixé une règle: de ne pas commenter ce qui se passe au PS", a dit M. Bayrou. "Ce qu'on voit bien, c'est l'affrontement de deux conceptions (au PS): ceux qui veulent que le PS en reste à ce qu'il était le siècle dernier, et ceux qui voient qu'il va bien falloir faire bouger les lignes", a-t-il dit.

Le vote des motions socialistes qui a donné l'avantage à Ségolène Royal dans la course pour la direction du parti socialiste, a fait resurgir l'hypothèse d'une alliance du PS avec le leader centriste, pour une éventuelle alternance en 2012.

"Vous voyez bien que l'existence d'un Modem indépendant, qui est le seul parti nouveau dans le jeu, crée un ensemble de conséquences qui font bouger et réfléchir, qui changent les repères politiques habituels, et c'est tant mieux, c'est pour ça que nous l'avons fait", a conclu M. Bayrou.

Bayrou était à Nîmes afin de soutenir Eric Firoud, candidat du Modem à une cantonale partielle dont le premier tour se déroulera dimanche.

Pauvre Bayrou, que représente-t-il donc aujourd'hui pour estimer pouvoir être instrumentalisé ?

Au PS, c'est tout sauf royal !

Leader mais pas majoritaire au nombre de voix des militants, Ségolène Royal hésite toujours à s’engager pour prendre la direction du Parti Socialiste. Dans le même temps, Benoît Hamon est proche d’un accord avec Martine Aubry et cherche à rallier Bertrand Delanoë. Candidat déclaré, Hamon mise sur la stratégie du Tout sauf Royal au PS
Le Congrès du PS débute aujourd’hui dans l’interrogation. Placée en tête par les militants socialistes, Ségolène Royal estime avoir une certaine “légitimité” pour diriger le parti. Mais avec 29,5% des voix, l’ex-candidate à la présidentielle n’est pas majoritaire au sein du PS et doit se trouver des alliés.

“Tout sauf Ségolène”
Pour rassembler ses rivaux Delanoë, Aubry et Hamon autour d’elle, Ségolène Royal a envoyé à chacun une lettre personnalisée à laquelle elle a joint son projet, amendable par ses destinataires, pour le Parti socialiste. Malheureusement pour la Présidente de la Région Poitou-Charentes, aucun candidat n’a encore déclaré envisager une alliance avec les Royalistes. Pire, un front “Tout sauf Ségolène” semble se dessiner. Benoît Hamon a ainsi annoncé hier matin sur l’antenne d’RTL qu’il était “proche d’un accord politique” avec Martine Aubry. Représentant de l’aile gauche du PS, Hamon refuse tout rapprochement avec Ségolène Royal à cause de sa main tendue au Modem. Bertrand Delanoë, qui s’est lui aussi prononcé contre une alliance avec le parti de François Bayrou, a été approché par Benoît Hamon. “La balle est dans son camp”, précise Hamon.

Royal toujours pas candidate
Invitée au journal de 20 heures sur TF1, Ségolène Royal a laissé planer le doute quant à sa possible candidature au poste de Premier secrétaire, admettant tout de même qu’elle avait “envie” de diriger le Parti socialiste. Sentant les reproches de ses rivaux se cristalliser sur son nom plutôt que sur son projet, Royal pourrait laisser l’un de ses jeunes lieutenants, Vincent Peillon ou Manuel Valls, briguer le poste. Hier matin, Benoît Hamon confirmait qu’il était toujours “candidat au poste de premier secrétaire” et qu'il avait “de bonnes chances de l'être la semaine prochaine”.
Le Congrès pourrait ne pas déboucher sur une synthèse claire si aucun accord n’était conclu lors de la réunion de la commission de résolution dans la nuit de samedi à dimanche. Les prétendants au poste de Premier secrétaire ont jusqu’à samedi pour déposer leur candidature. L’élection par les militants aura lieu jeudi 20 novembre.
Yann Fernandez
La Ségo ne doit en aucun cas passer, elle est trop conne.

jeudi 13 novembre 2008

CE QUE JE DIS !!!!!

Laurence Ferrari donne des sueurs froides à TF1
La remplaçante de Patrick Poivre d’Arvor affronte une brutale chute d’audience. Le programme phare de l’information voit son avance grignotée par le JT de France 2 et les émissions de divertissement.
Drame chez TF1. Ces derniers mois, de plus en plus de fidèles désertent la grand-messe du 20 heures. Surtout depuis l’excommunication du pape de l’info, Patrick Poivre d’Arvor, pendant l’été, et son remplacement par la jeune prêtresse Laurence Ferrari, ancienne suppléante de Claire Chazal. En chaire depuis le 25 août, la nouvelle présentatrice a subi un ultime affront mardi soir: pour la première fois, le JT de TF1 est passé sous la barre fatidique des 30% de parts de marché. Soit à peine 7,4 millions de téléspectateurs réunis quand PPDA en rassemblait encore entre 8,4 et 9 millions au printemps.Pire, l’écart avec le journal de France 2 s’est réduit à un niveau inédit. Seuls en moyenne 8,2 points d’audience de plus depuis deux semaines contre 14,5 points au premier semestre. Il est tentant d’imputer la responsabilité de cette chute au seul changement de présentateur.
D’après Le Canard enchaîné, le nouveau PDG de TF1 Nonce Paolini aurait ainsi estimé, lors d’un séminaire interne, qu’«on n’avait peut-être pas totalement mesuré l’ampleur de l’effet du départ de PPDA». Reste que le 20 heures de Laurence Ferrari pâtit à la fois de la baisse d’audience générale de TF1, avec le lancement de la télévision numérique terrestre, et de la concurrence par le divertissement très relevée à cette heure. Le feuilleton phare de France 3, Plus belle la vie, a ainsi gagné près d’un million de téléspectateurs en un an, et Le Grand Journal de Michel Denisot sur Canal+ atteint les 10% d’audience.

La riposte
La direction de TF1 a déjà tenté de réagir. Tant sur le fond que sur la forme de son JT. D’un côté, les «innovations» de la fin de l’été – plus de sujets internationaux, d’interviews et d’enquêtes – ont été remisées au second plan. De l’autre, l’image même de Laurence Ferrari a été rabotée pour rassurer la ménagère de moins de 50 ans: une lumière plus chaude, une coiffure plus sage, des traits vieillis au maquillage, un tailleur plutôt qu’un t-shirt. S’il entend faire «un premier bilan à la fin de l’année», Jean-Claude Dassier, patron de l’information de TF1, a lui attaqué dans la presse Plus belle la vie, avancé à 20 h 10 en janvier. «En tant que citoyen, je m’interroge: est-ce la vocation du service public de torpiller l’information?» Et Le Grand Journal: «Est-il normal que Canal+ fasse des tranches en clair pour nous concurrencer?»
Bientôt confronté au propre JT de M6 à 19 h 50, il se murmure aussi que la Une raccourcisse sa grand-messe en janvier, pour se caler sur le nouveau prime time du service public, privé de publicité à cette date. Qui sait, Laurence Ferrari y distribuera peut-être encore la bonne parole. 

"Patrick, c'est Laurence. Je voulais te dire que j'aurais dû te rappeler hier. Mais j'ai eu peur... Je te le dis très clairement, très franchement, très sincèrement. J'ai attendu jusqu'au dernier moment qu'on te parle, que quelqu'un te dise les choses, parce qu'en aucun cas ma volonté était de te nuire. Mon choix a été difficile. J'ai beaucoup hésité. J'ai beaucoup attendu. Et puis, à un moment, on m'a mis le couteau sous la gorge. J'ai dû trancher. Je suis à ta disposition, si un jour tu veux qu"on en reparle. Voilà, je ne sais pas quoi te dire d'autre. Je t'embrasse..."

Tel est le bouleversant message qu’aurait laissé Laurence Ferrari sur le téléphone de Patrick Poivre d’Arvor le jour où Nonce Paolini lui a signifié la perte de son fauteuil au 20 heures de TF1, d’après Leparisien.fr. Elle aurait attendu 20 heures, et donc la présentation du journal, histoire d’être certaine que personne ne répondrait.

Dans son livre À demain, en chemin vers ma liberté (demain dans les bacs aux éditions Fayard), PPDA raconte aussi sa réponse à sa remplaçante : « Chère Laurence… Ne t’offusque pas si quelqu’un, un jour, s’avise de te chiper ta place. Comme on le dit avec gourmandise dans notre milieu si confraternel, personne n’est propriétaire de son fauteuil. »
La pauvre Ferrari n'est pas responsable de tout cela, elle a penser réussir un coup médiatique, raté.
Le principal responsable c'est cet abruti de Nonce de mes deux, un type qui n'a rien compris.

VU À LA TV

Quelle ne fut pas ma stupeur de voire J.W. Tsonga à la télévision faire (déjà) de la pub
pour un produit dont Parker vantait les mérites voilà quelques temps.
Comme quoi, il suffit d'avoir failli être champion pour le devenir.
C'est le sport Canada Drie !!!!!!!!!!!!!

mercredi 29 octobre 2008

BANQUIER.

Je réponds à mon banqier qui; me reprochant de ne pas avoir d'économie, me demande comment je fais pour vivre.
Je lui ai répondu que je vivais mieux que lui, car, n'ayant rien mis de côté en bourse, je n'avais rien perdu.

vendredi 24 octobre 2008

TIENS DONC ?

Quelle ne fut pas ma stupeur, ce matin d'entendre sur RTL ce matin la comparaison que faisait un sondage; entre la pollution de Nicolas Sarkozy lors de ses déplacements, avec celle équivalente d'un troupeau de 140 vaches.
Extraordinaire !!!
Ce renseignement est capital pour le bon fonctionnement de la planète intellectuelle.
Dommage qu'ils ne se soient pas penchés sur sa consommation de feuilles de papiers Hygiénique dans ses WC Elyséens.

dimanche 5 octobre 2008

jeudi 2 octobre 2008

QUAND DEUX FEMMES DISENT DES CONNERIES !!!

LA PREMIÈRE SUR LES RESTAUX DU CŒUR !!!!!



LA SECONDE QUAND ELLE CHOISIT LES LESBIENNES !!!!

mercredi 1 octobre 2008

vendredi 19 septembre 2008

TF 1 LA NOUVELLE CHAINE DE DAUBE.

Le grand retour de la Star'Ac wawhhhh !!! enfin !!!!!
Avec le retour de l'épouvantail (photo).

La Star Ac’ s'installe ce soir dans le Marais Pour sa 8ème année, la Star Academy change de peau. En plus des nouveaux profs, la production a décidé de transférer le château dans un hôtel particulier en plein Paris. Mais ce déménagement n’est pas du goût de tous les riverains
Parmi les grands changements de cette nouvelle saison, Armande Altaï fait son grand retour et prend le poste de directrice (photo AFP)

Cette année, la 8e saison de la Star Academy, qui ouvre ses portesce soir, promet beaucoup de changements, à commencer par le décor. Fini le traditionnel château de Dammarie-les-Lys (Seine-et-Marne) situé à une heure de la capitale. Désormais, les apprentis chanteurs évolueront en plein Paris.
Et pas n’importe où puisque les cartons ont été déménagés dans le quartier très chic du Marais (3e arrondissement). Les élèves prendront place au 12 rue Charlot, dans un hôtel particulier du XVIIe siècle. Et la place ne manquera pas puisque l’hôtel compterait 5 niveaux et 1.700 m².
Mais ce déménagement est loin de ravir tout le monde.
A commencer par les riverains qui craignent l’attroupement et le bruit des fans au pied de l’hôtel. Quant aux commerçants, ils pensent que l’afflux de groupies risque de faire fuir la clientèle huppée habituée des magasins de luxe du quartier.

Nouveau décor, nouveaux profs, nouveaux parrains
Les habitants du quartier du Marais ont de quoi être inquiets. Les années précédentes, des centaines de fans s’agglutinaient devant les grilles du château de Dammarie-les-Lys, avec un pic à 5.000 personnes en 2003 lors de la journée portes ouvertes. Et les désagréments n’étaient pas seulement sonores puisque les soirs de prime time, les rues autour du château étaient également coupées, obligeant les riverains à sortir badges et pièces d’identité pour rejoindre leur domicile.
Pour tenter de faire reculer la production Endemol, les habitants du Marais ont signé une pétition, mais sans succès puisque les travaux d’aménagement de l’hôtel particulier sont déjà terminés. Les élèves auront donc droit à leur nouveau décor, mais également aux nouveaux professeurs.
Ainsi, la chanteuse de jazz Anne Ducros et le chorégraphe espagnol Raphaël Amargo viendront renforcer l’équipe de profs amputée des célèbres Raphaëlle Ricci et Matthieu Gonet. Le prof de sport reste Christophe Pinna, mais ses cours auront désormais lieu dans différents endroits de la capitale comme le Trocadéro ou encore au Bois de Boulogne.
En plus de mettre fin au jury, constitué l’an passé de Pascal Nègre, Passi et Yvan Cassar, la saison 8 signe également le grand retour de la très charismatique Armande Altaï qui prendra le poste de directrice. Notons enfin que cette année, deux artistes viendront parrainer la Star Ac : Christophe Mae et Rihanna. Avec tous ces changements, la production espère bien réveiller la curiosité des téléspectateurs pour redresser une courbe d’audimat qui s’était effondrée l’an passé.
- Du remous dans le Marais.-
Pour tenter d’apaiser les tensions entre les habitants du Marais et la société de production Endemol, qui gère la Star Academy, une réunion a été organisée le jeudi 4 septembre dernier à la mairie du 3e arrondissement de Paris. Devant un auditoire de plus de 200 riverains du quartier, le directeur des programmation a voulu dissiper les craintes : "Nous ferons tout pour ne pas vous déranger" a-t-il assuré, proposant même aux habitants d’assister en exclusivité aux primes du vendredi soir. Mais l’offre n’a pas du tout séduit les riverains qui ont continué de protester contre la venue des star academyciens. C’est alors que l’animateur Nikos Aliagas est entré en jeu, jouant de son assurance et de son improvisation pour séduire et convaincre les habitants. Mais le présentateur avait sous-estimé la colère du public et a dû essuyer de nombreux sifflements mêlés à des salves de critiques. Furieux, Nikos n’a pas du tout apprécié cet accueil des plus glacials. "C'est un manque total de respect, a-t-il déclaré à la sortie. Même s'ils ne regardent pas l'émission, on ne traite pas les gens comme ça". Alors que la Star Academy 8 s’apprête à ouvrir ses portes, l’ambiance rue Charlot est déjà des plus rock n’roll. (F.G. - 19/09/2008)

lundi 8 septembre 2008

vendredi 5 septembre 2008

LANGUE DE BOIS



Lisse comme un serpent, incompétent ?

lundi 11 août 2008

LE GRAND N'IMPORTE QUOI

ELLE A PÊTÉ LES PLOMBS AU PAYS DE MOUGINS
Nicolas Sarkozy s'est rendu en Chine. Elle le lui reproche ?
Qu'a-t-elle fait elle-même ?

A-t-elle parlé des droits de l'homme ?
En Chine, Royal estime avoir conquis la ''bravitude''
Royal a évité de prononcer les mots « droits de l'homme », préférant parler de « droits humains ».
SÉGOLÈNE ROYAL est venue en Chine armée d'un petit livre, non pas rouge, mais bleu : un Dictionnaire des locutions et proverbes chinois, dans lequel elle puise chaque jour une pensée. Samedi, visitant en moins d'un quart d'heure la Grande Muraille de Chine, par moins 7 degrés, enveloppée dans un châle en tricot blanc, couleur de deuil pour les Chinois, elle a donné dans le néologisme. « Qui va sur la Grande Muraille conquiert la bravitude », a-t-elle proclamé, la bravoure ne lui suffisant sans doute pas. Dimanche, posant complaisamment, vêtue d'une doudoune - toujours blanche - dans les immenses cours de la Cité interdite parcourues au pas de charge, elle a choisi un éloge, commode, de l'économie de parole : « Un coup d'oeil vaut parfois mieux que des centaines de commentaires. »
Les Chinois, eux, lui réservent un accueil de haut niveau, avec cortège officiel et routes barrées sur son passage, mais tout en subtilité de protocole. Pas de « Ségolène mania » à Pékin, où les journaux n'évoquent pas sa visite pour l'instant. Les dirigeants, qui n'aiment pas se mêler des campagnes électorales, la reçoivent avec égards, mais sans oublier que le PS est dans l'opposition. Elle sera donc reçue aujourd'hui, sauf changement de dernière minute, par plusieurs ministres et le numéro deux du régime chinois, Zeng Qinghong, mais pas par le numéro un, Hu Jintao, comme elle l'avait espéré.
Royal prend d'ailleurs bien soin de ne pas froisser ses hôtes. Au nom d'une approche « équilibrée » de sa visite, elle évite de prononcer les mots « droits de l'homme », préférant parler de « droits humains » ou de « droits individuels ». Certes, un membre de sa délégation, l'avocat Jean-Pierre Mignard, s'active en faveur de trois journalistes et deux avocats emprisonnés. Mais elle-même préfère aborder le problème de biais, en insistant sur la nécessité pour la Chine de respecter l'environnement et les droits sociaux, espérant que le respect des droits de l'homme viendra de surcroît. « Chaque fois que l'environ nement progresse, ce sont les droits individuels qui progressent », répète-t-elle, rappelant aussi que la Chine est un marché capital pour les entreprises françaises.
Une approche qui ne heurte pas les Chinois, toujours enclins à faire passer l'économie avant la démocratie. Et qui a l'avantage, pour Royal, de mêler défense des principes et lutte contre les délocalisations, un sujet populaire en France. « Pour qu'il n'y ait pas de concurrence destructrice d'emplois en France, il faut que les règles environnementales et sociales soient respectées », explique-t-elle, et elle estime que « la Chine fait beaucoup d'efforts dans ce domaine ».
« Situation idyllique »
Les rencontres qu'elle a tenu à organiser avec des membres de la société civile ont tout de même donné lieu à « des petites adaptations ». Sur les trois défenseurs de l'environnement qu'elle devait rencontrer hier, deux seulement sont venus - tous deux originaires de Hongkong et donc soumis à un statut plus souple que les Chinois du continent -, le troisième ayant été « convoqué à une réunion ».
Elle a aussi rendu visite à une association qui fournit une aide juridique aux femmes venant des campagnes pour travailler en ville. S'attendant à entendre parler de leurs difficiles conditions de vie et de travail, elle a marqué sa surprise devant « la situation idyllique » que lui décrivait une jeune femme manifestement bien cornaquée par les autorités. Elle n'a pas pu échapper non plus à la visite plus que guidée d'un quartier de Pékin, et d'un centre culturel modèle où des femmes enthousiastes réalisaient des objets en perles de plastique. Sans oublier la visite à une « famille typique ». Peu au fait de l'aversion des Chinois pour le contact physique direct avec un inconnu, elle a tenté de faire la bise à la dame qui lui offrait un porte-bonheur et a reçu en retour une grande tape dans le dos.

mercredi 6 août 2008




dimanche 27 juillet 2008

mercredi 23 juillet 2008

PAVLOVIENS

Je vous assure que vous avez dit Pavlov.
Moi j'ai dit Pavlov ? comme c'est Pavlovien !










mardi 22 juillet 2008

REFORME CONSTITUTIONNELLE ADOPTÉE

UNE EXCELLENTE CHOSE POUR LE PAYS, MÊME SI LA MADONE DU POITOU "pense" LE CONTRAIRE.

lundi 21 juillet 2008

RIGOLEZ AVEC LA MADONE DU POITOU !!

VOTE SUR LA CONSTITUTION : MENACES CONTRE LES DÉPUTÉS

vendredi 18 juillet 2008

RACHIDA

A la garden party ; Les bonnes langues (ils se reconnaitront) diront pis que pendre sur son attitude.
Mais !
Ce n'est pas parce que la madone du Poitou s'habille avec les fringues de sa grand-mère (honorable somme toute) et qu'elle ressemble à une chauve-souris vecteur de la rage, que tout le monde doit faire pareil.
Ce serait par trop lassant et très fatigant, la bêtise allant avec.

mardi 15 juillet 2008

Royal veut récupérer la moitié des superprofits de Total


«Je trouve le gouvernement particulièrement inerte» sur la flambée des prix du pétrole et ses conséquences sur le pouvoir d'achat, a estimé Ségolène Royal sur France Inter, mardi matin. «Il suffirait de reprendre la moitié des superprofits de Total pour les transformer en chèques de 300 euros», qui pourraient être «donnés aux familles et aux retraités», afin «qu'ils puissent remplir leur cuves pour cet hiver», a-t-elle suggéré.Des demandes taxées de «démagogie» et de «populisme» par l'UMP. Selon Patrick Devedjian, secrétaire général de l'UMP, «il faut savoir que Total fait 90 à 95% de son chiffre d'affaires à l'étranger et qu'il ne faudrait peut-être pas les pousser trop pour qu'ils aillent s'installer dans un autre pays. Là, on aura gagné le gros lot».

La madone du Poitou : toujours à côté de ses pompes.

dimanche 13 juillet 2008

LES TATAS FLINGUEUSES.

La bande du mafieux de TF 1 est en place, à quand son baiser ?

Il est certain que ce sera celui de l'audimat

CARLA BRUNI-SARKOZY & CHAZAL [ITV] 11 07 08

Je ne sais pas pourquoi, mais elle n'est pas à l'aise, est-ce parce qu'elle ne sait pas mentir ?
Je ne sens pas cette femme, elle me parait déplacée, fausse autant qu'on peut l'être.


samedi 12 juillet 2008

ATTENTION,LA MADONE DU CAFÉ "LE ROYAL" ! Le patron du troquet se pleint !

Il ne faudrait tout de même pas tomber dans son jeu ! Attention les Mythomanes sont dangereux.

VISITE

A propos de la visite du Président Syrien, on entend, ça et là ceci et cela, des propos convenus et partisans, mais on ne règle pas les problème internationaux à coup de dogmatisme politico-revanchard.
Les socialistes pense ça parce qu'ils sont socialistes, les partisans de droite et le libéraux (oui, libéraux, ne me dites pas que la gauche est libérales, nous n'aurions pas eues les 35 heures !), sont plus ouverts et plus enclins au dialogue.
C'est un phénomène de classe, les cultivés et les autres qui ne voient de la politique étrangère que ce qui les arange, ou certaines
denrées comestibles venues d'outre les océans.
Voici deux exemples dignes de l'étroitesse d'esprit de l'un et de l'analyse de l'autre.

Iman : Lettre à Monsieur Sarkozy
M. Sarkozy,

Je suis très content que vous invitiez le président de la Syrie. D'autant plus que ce même président a permis une légère baisse de l'effectif des militaires français, et cela nous évite les licenciements. D'ailleurs, comme vous le dîtes, ces militaires sont de vrais bras cassés, des amateurs, donc ils n'ont eu que ce qu'ils méritaient.

Grâce à vous cette région du monde vivra en paix. Libanais et Syriens pourront se tenir désormais main dans la main. Ce n'est pas beau ça? Merci M. Sarkozy.

Aussi, je vous propose que vous conseilliez au futur président américain d'inviter le molah Omar et Bin ladin le 4 juillet prochain à Washington, jour de l'indépendance américaine, afin que l'armée américaine rende hommage à ces deux grand et imminent personnage. Ce serait la fin du Jihad islamique et la paix au moyen orient! Ce sera grâce à vous Monsieur Sarkozy qu'on aura la paix dans le monde. N'est ce pas ce dont tout le monde rêve?

Vous êtes le meilleur président qu'aucun pays n'ai jamais connu. Continuez comme ça et vous aurez bientôt le prix nobel de la paix. Après la libération de infirmières bulgares, d'ingrid Bétancourt, la paix au proche orient et j'oubliais, la libération des otage dans la maternelle de Neuilly, qui pourrait vous refuser cet hommage ? Et pourquoi pas demander la béatification au Vatican ? Ou bien peut être êtes vous le messie que les Juif attendent depuis des millénaires ?

Mes voeux les plus sincères Monsieur le Président.


SPECTATOR : Realpolitik
Je ne crois pas qu'il y aie de quoi se réjouir, à serrer la main à un quelconque dictateur ou autre raté de la gestion démocratique de son pays en étant Président.

Mais :

En réfléchissant un peu plus profondément et en mettant ses propres haines et idées à part, on peut apercevoir une vision, une idée... pour le bien-être des peuples, pour la paix, pour le futur. Et tout cela sans renier en rien ses convictions et surtout celle profonde qu'il vaille mieux mourir que de s'aligner à un ennemi (Vichy...).

Mais cette même histoire nous montre aussi, qu'il faut savoir rebâtir une nation. Donner une chance. Qu'elle soit juste à côté (La France y est bien arrivée, non ?!) ou plus loin.

Et c'est exactement là, où on voit la grandeur d'un homme politique : ne pas se laisser entraîner par des « on dit », ni par du populisme de bistrot, mais savoir peser les pour et les contres.

Je ne crois infiniment pas que ce soit fait pour de quelconques contrats, ni pour la Syrie (quel en serait le poids ?) ni pour la Chine, d'ailleurs (le traitement de la Syrie le prouve).

Mais ça fait partie de la... disons « Realpolitik »

Vous noterez, comme moi, le propos raciste de Iman.

vendredi 11 juillet 2008

HEH VIENS LA, PATRICK ! LE MAFIOSO A À TE PARLER !!

Le mafieux de TF 1 a peut-être gagné une bataille, mais la guerre n'est pas finie.
Seul Docteur House me rattache encore à la chaine, jusqu'à la prochaine saison.
Grazzie mile le Nonce !
!!

L'ALBUM QUI FAIT PARLER LE POLITIQUE.

JAMES BOND, MISSION: ESPIONNER LA ROYAL

Réalité, paranoïa ou simple envie de faire parler d’elle ? Depuis mardi soir et son interview au JT de 20h sur France2, Ségolène Royal se dit traquée, "espionnée ou sur écoute". Car la présidente du Poitou-Charentes a été cambriolée trois fois en deux ans (voir notre édition du 1er juillet 08) et reste persuadée que ces "tentatives d’intimidations", comme elle les qualifie, sont liées à ses récentes attaques contre Nicolas Sarkozy. "Ce sont des coïncidences étranges" a-t-elle souligné hier sur RTL, en réitérant ses suspicions envers "le clan Sarkozy". A droite, ses propos ont aussitôt créé un tollé, François Fillon affirmant mercredi que l’ancienne candidate à la présidentielle est en train de "perdre le contrôle d’elle-même". Pour Frédéric Lefebvre, porte parole de l’UMP, "la gravité des accusations proférées est le signe qu'elle perd ses nerfs". Ségolène Royal trouve toutefois du soutien à gauche, et notamment du côté de la porte parole du PS à l’Assemblée Aurélie Filippetti qui affirme que "dans la France de Nicolas Sarkozy, on peut désormais mettre à sac le domicile de la principale opposante politique et cela ne déclenche que l'hilarité des porte-parole du pouvoir en place". En attendant les résultats de l’enquête sur l’effraction de son domicile, Ségolène Royal reste sur ses gardes. Durant la campagne présidentielle, l’ancienne candidate socialiste avait déjà dépensé plus de 53.000 euros pour s’équiper de détecteurs de micros et d’appareils antimouchards. F.G.


Comment faire parler de moi???
Je préfére sourire lorsque je lis ou entends que Mme Royale subit des pressions du grouvernement Sarkozy parce qu'elle "la principale opposante politique"... Mais rendonnons à l'évidence, depuis la fin de la campagne éléctorale, Royale est partout de peur de se faire oublier vu le peu d'intérêt du personnage et de ses "idées". Je ne crois vraiment pas à cette histoire et ne comprends pas pourquoi le gouvernement ferait ce genre de choses à quelqu'un avec si peu d'intérêt politique... Allez courage Ségolène, promis on ne va pas t'oublier...

SONDAGE

Ségolène Royal qui accuse "le clan Sarkozy"d'être derrière son cambriolage, c'est...

41 votants

Merci pour votre vote !

Royal sombre dans la paranoïa et l'agressivité. Elle n'a pas encore digéré sa défaite.
41%
Sarkozy adore les coups fourrés. Il serait capable d'avoir commandité ce cambriolage.
12%
Même si rien n'est avéré, plusieurs indices sont troublants. Attendons de voir.
29%
Une information dont on pourrait se passer. La vie privée des politiques doit le rester.
17%
Alors ! Même si Jack Lang le dit !!!!

PPDA , JETÉ COMME UN SYMBOL ?

Le présentateur vedette de TF1 a tiré sa révérence hier soir. Patrick Poivre d’Arvor, 60 ans, cède sa place à Laurence Ferrari. En 21 ans de carrière sur la chaîne privée, PPDA aura su se faire aimer des téléspectateur.
"Ce qui ne peut être évité, il faut l’embrasser. Alors puisque je n’ai pu éviter ce qui m’arrive ce soir, je vous embrasse tous… Merci pour votre affection, votre confiance… Et je suis sûr que l’on va se revoir très vite".
Sur ces mots s’achèvent 21 ans d’antenne à TF1. 21 ans au cours desquels, Patrick Poivre d’Arvor, surnommé PPDA, a présenté 4.500 fois le journal télévisé. C’est dire s’il est entré dans le quotidien des Français ! Pourtant la direction de TF1 a décidé début juin de se passer de lui. Exit le PPDA de 60 ans usé, et place à la fraîcheur blonde en la personne de Laurence Ferrari, 41 ans.
Amer, Poivre d’Arvor a déclaré hier sur France Inter qu’il avait bien reçu sa lettre de licenciement, et qu’il quittait définitivement la chaîne. Un coup dur pour le journaliste sexagénaire qui pensait prendre sa retraite en 2012. D’autant que son départ s’effectue en pleine polémique. Outre le fait que le principal intéressé a appris son éviction du 20 heures le plus regardé de France – huit millions de téléspectateurs en moyenne par soir - dans les colonnes du Parisien, son licenciement serait dû à des pressions politiques.
En effet, Nicolas Sarkozy qui n’aurait pas apprécié d’être comparé à un "petit garçon" par le présentateur vedette, aurait tout simplement demandé son renvoi ! "Faux !" rétorque l’UMP. Il n’empêche que la rumeur enfle. Et les Français sortent leurs mouchoirs pour saluer un présentateur qu’ils sont déjà 55% selon un sondage Ifop-JDD à regretter. Patrick Poivre d’Arvor aurait d’ailleurs reçu 35.000 lettres de soutien. Ah… l’amour !

People et boulettes
Il faut dire que pendant 21 ans, les Français ont vécu au rythme des frasques et des drames de PPDA. Car à l’heure de son départ, si le présentateur à la chevelure poivre et sel ne cesse de souligner son intégrité de journaliste, "le mannequin glacé avec un teint de soleil" comme le chante Noir Désir dans L’homme pressé a pourtant quelques casseroles à son actif.
Ainsi, en 1991 il avait diffusé une soi-disant interview exclusive en direct de Fidel Castro, qui s’est révélée n’être en fait qu’un montage de propos du leader communiste tenus durant une conférence de presse.
D’autres scandales avaient suivi, notamment sa condamnation pour recel d’abus de biens sociaux lors de la fameuse affaire Botton.
Mais le journaliste né en 1947 à Reims, a toujours séduit le public, en cultivant une image de séducteur, notamment en raison de sa liaison avec Claire Chazal, dont est né un fils en 1995. Très journaliste-vedette avec 13 couvertures de Paris-Match à son actif, PPDA était très exposé. Et lorsqu’en 1995, sa fille Solenn s’est suicidée à l’âge de 19 ans, il a touché le cœur des téléspectateurs en présentant quand même le lendemain le JT. PPDA a d’ailleurs dédié deux ouvrages à sa fille.
Car Poivre d’Arvor, de son vrai nom Patrick Poivre, est également un homme de lettres. Il a écrit son premier ouvrage à l’âge de 16 ans Les enfants de l’aube qui a connu un grand succès. Son dernier livre en date, consacré à Lawrence d’Arabie, est d’ailleurs intitulé Disparaître.

Consolation pour les fans du présentateur de TF1 : la poupée en latex des Guignols de l’info à son effigie, sobrement baptisée PPD, devrait continuer à présenter le journal satirique de Canal +

PPDA: DERNIER JT, DERNIERS MOTS



A TCHAO BONSOIR !

jeudi 10 juillet 2008

ROYAL-MENT



Ségolène Royal est repartie en croisade contre "le clan Sarkozy" en allant jusqu'à suggérer que la mise à sac récente de son domicile était liée à ses attaques virulentes contre le président de la République, s'attirant quolibets et réactions indignées de la droite.

C'est la seconde fois en quelques jours que l'ex-candidate socialiste à l'Elysée essuie les foudres de la droite, une situation qui ne lui déplaît pas forcément, Ségolène Royal prétendant être "la seule responsable politique" à dénoncer "la mainmise du clan Sarkozy sur la France".

Une salve de critiques s'était abattue sur elle la semaine dernière lorsqu'elle avait déclaré que Nicolas Sarkozy n'était "absolument pour rien" dans la libération d'Ingrid Betancourt, et averti que "les récupérations politiques seraient totalement décalées".

Mardi soir sur France 2, la présidente de Poitou-Charentes a fait "un rapport" entre ce qu'elle a appelé "la mise à sac" de son appartement de Boulogne-Billancourt le vendredi 27 juin (la deuxième effraction depuis 2006), et ses attaques contre M. Sarkozy, s'étonnant d'"une drôle de coïncidence". Elle a rangé ce fait divers parmi les tentatives d'"intimidation".

Des sources proches du dossier ont confirmé que "le terme de mise à sac peut être utilisé" et précisé qu'"il y a eu effraction, mais il n'y a pas eu vol".

En revanche, le procès verbal d'un précédent cambriolage (août 2006) a bien été "déchiré et mis en évidence à dessein, de façon à ce que ce soit repérable", ont-elles confirmé. Les enquêteurs ne privilégient "aucune piste".

La droite s'est gardée de répliquer sur le terrain de "la mainmise sur les médias", ciblant toutes ses attaques sur ce que le Premier ministre François Fillon a appelé "des insinuations" sur la responsabilité du gouvernement dans la "visite" de son logement.

M. Fillon a reproché à Mme Royal de "perdre le contrôle d'elle-même". Selon lui, elle a "fait une grosse bourde en rompant seule l'unanimité nationale autour de la libération d'Ingrid Betancourt, donc elle allume un deuxième incendie".

A l'UMP, les réactions, centrées sur la condamnation de "propos honteux", ont été féroces : pour Frédéric Lefebvre, la candidate à la succession de M. Hollande "perd ses nerfs", pour le président de l'Assemblée Bernard Accoyer, elle a atteint "un niveau de stupidité affligeant" et "ne recule devant rien pour exister".

Porte-parole du parti majoritaire, Dominique Paillé a demandé que "Mme Royal présente publiquement ses excuses", tout en se disant "sans illusion aucune, l'humilité ne semblant pas être un sentiment capable de l'effleurer".

Les socialistes ont dans l'ensemble soutenu Mme Royal, y compris le premier secrétaire François Hollande, qui a parlé de "faits graves", de "mise en scène" et de "mise à sac" du logement qu'il partagea longtemps avec son ex-compagne.

Chef de file des députés PS, Jean-Marc Ayrault a estimé que Ségolène Royal "ne parle sans doute pas en l'air" en établissant un lien entre le cambriolage de son appartement et ses propos contre le "clan Sarkozy". Pour M. Hollande, "la meilleure façon de le savoir, c'est que l'enquête puisse être poursuivie jusqu'au bout et qu'on connaisse toute la vérité sur cette affaire".

Mais, tout en se refusant à "entrer dans la polémique", Laurent Fabius s'est interrogé sur les éléments en possession de Mme Royal: "soit ce qu'elle dit est tout à fait exact, dans ce cas-là évidemment c'est scandaleux, soit ce n'est pas exact et il ne faut pas le dire", a-t-il glissé.

Sous couvert d'anonymat, un député PS se disait "emmerdé, mal à l'aise". "Si on ne la défend pas, on nous reprochera de manquer à la solidarité. Si on la défend, on se retrouve embarqué sur un terrain friable, car si elle n'a pas de preuves de ce qu'elle avance, ce n'est pas crédible".

Et nos "dépités" socialistes de parader sans la moindre honte !

LA MADONE DÉJANTÉE


Ségolène Royal a-t-elle "pété un câble"?
Après les déclarations de la socialiste sur son cambriolage, une de ses proches souligne sur Le Post qu'"elle n'accuse pas". L'UMP dénonce des "propos honteux".

Invitée au JT de France 2, ce lundi soir, la présidente socialiste de la région Poitou-Charentes est revenue sur ce cambriolage, le troisième à son domicile.

L'ex-candidate socialiste à la présidentielle note une "coïncidence" entre les propos qu'elles a tenus sur "la mainmise du clan Sarkozy sur la France" et cette affaire.
3. Les réactions à gauche
Laurent Fabius sur la réserve :
"Je n'ai aucun élément d'information pour juger : soit ce qu'elle dit est tout à fait exact, dans ce cas-là évidemment c'est scandaleux, soit ce n'est pas exact et il ne faut pas le dire", a déclaré le député de Seine-Maritime sur Europe 1.

Jean-Marc Ayrault la défend :
"Elle ne parle sans doute pas en l'air, qu'il y ait un clan Sarkozy c'est une évidence", a déclaré sur RMC le président réélu du groupe socialiste à l'Assemblée nationale. "Si elle dit ça, c'est qu'elle a de bonnes raisons de le dire", a-t-il insisté.

Julien Dray, porte-parole du Parti socialiste :
"Plutôt que de se livrer à des bons mots douteux, à des concours de blagues piteuses, les responsables de la majorité doivent y répondre, et éclaircir les rapports qui sont entretenus avec les grands groupes de médias", a déclaré le député de l'Essonne.


4. Les réactions à droite
L'UMP à attaque:
"L'UMP se sent révoltée par les propos honteux de Mme Royal sur le président de la République", a déclaré un porte-parole.

François Fillon étonné:
"Mme Royal perd le contrôle d'elle-même, elle utilise d'ailleurs toujours la même méthode", a affirmé le premier ministre sur RTL.

Frédéric Lefebvre, porte-parole de l'UMP :
"Je crois que Ségolène Royal a pété un câble."

Pourquoi Ségolène Royal a-t-elle dit ça ?

Dispose-t-elle d'éléments nouveaux pour exprimer ses doutes 10 jours après le cambriolage? "Non, elle établit ce qu'elle estime être une étrange coïncidence", répond son avocat contacté par Le Post.
Et Me Mignard d'ajouter : "Il appartient à la police d'établir toutes les hypothèses. Ca peut être aussi un psychopathe qui agit avec un motif politique."

S'il n'y a rien de nouveau, pourquoi n'a-t-elle rien dit tout de suite après le cambriolage ? "On ne lui a rien demandé sur le cambriolage", note une proche jointe par Le Post. Elle insiste : "Elle s'interroge sur cette coïncidence, elle n'accuse pas."

2. Que dit la police ?
L'appartement de Ségolène Royal n'a pas été cambriolé puisque rien n'a été volé. Les enquêteurs parlent d'une "mise en scène".

"L'appartement a été visité, le terme de mise à sac peut être utilisé", a expliqué une source proche du dossier. Cette même source confirme que le procès verbal d'un précédent cambriolage a bien été "déchiré et mis en évidence à dessein, de façon à ce que ce soit repérable".

En 2 ans, l'appartement de la socialiste a bien été visité 3 fois : en juillet et août 2006, puis en juin 2008. Ségolène Royal avait porté plainte pour la visite d'août 2006 mais le parquet avait classée l'affaire "sans suite pour auteur inconnu".

. Les réactions à gauche

Laurent Fabius sur la réserve :
"Je n'ai aucun élément d'information pour juger : soit ce qu'elle dit est tout à fait exact, dans ce cas-là évidemment c'est scandaleux, soit ce n'est pas exact et il ne faut pas le dire", a déclaré le député de Seine-Maritime sur Europe 1.
"Je vois bien qu'on va essayer d'entretenir une polémique, je n'y entre pas", a-t-il ajouté.

François Hollande inquiet :
"Ce sont des faits graves, qui n'ont pas concerné que Ségolène Royal", a-t-il souligné en citant Olivier Besancenot (LCR) suivi "par des officines" ou Bernard Thibault (CGT). "Je ne fais pas de rapport, mais quand même, il y a un climat", selon M. Hollande.
"La mise à sac d'un appartement d'une ancienne candidate à la présidentielle, responsable éminente de la gauche: ce n'est pas un fait banal, un vol classique".

Il a par ailleurs appelé le Premier ministre qui a accusé Ségolène Royal d'avoir "perdu le contrôle d'elle-même", à "faire attention aux mots que l'on emploie".
"Mais on ne doit pas insulter", a objecté le Premier secrétaire.

Arnaud Montebourg pas engagé :
Pour le député PS de Saône-et-Loire, il y a "les risques du mandat" et que les responsables politiques sont "souvent soumis à ce genre d'atteintes".
Une personnalité "ne peut pas ne pas accepter de vivre avec ça, c'est ce que nous faisons tous: les menaces de mort, les injures, parfois même la peur", a ajouté l'ancien porte-parole de Ségolène Royal.

Julien Dray, porte-parole du Parti socialiste :
"Des questions ont été posées par Ségolène Royal. Plutôt que de se livrer à des bons mots douteux, à des concours de blagues piteuses, les responsables de la majorité doivent y répondre, et éclaircir les rapports qui sont entretenus avec les grands groupes de médias, ainsi que les services qui leur sont rendus par la restructuration en cours du service public de l'audiovisuel", a déclaré le député de l'Essonne dans un communiqué.

Gérard Collomb, maire de Lyon :
"Il y a dans ce pays aujourd'hui un climat de stress. Ce climat de stress, le Président de la République en est largement responsable", constate-t-il. "Donc je comprends un peu la réaction de Mme Royal qui se sent agressée." (écouter l'interview sur la page de RichardTrois)

Jean-Marc Ayrault la défend :
"Elle ne parle sans doute pas en l'air, qu'il y ait un clan Sarkozy c'est une évidence", a déclaré sur RMC le président réélu du groupe socialiste à l'Assemblée nationale. "Si elle dit ça, c'est qu'elle a de bonnes raisons de le dire", a-t-il insisté.

David Assouline, sénateur et secrétaire national du PS :
"La meute est encore lâchée contre celle qui dit clairement comment, pourquoi et pour qui le clan Sarkozy fait main basse sur la France", indique-t-il dans un communiqué.

Aurélie Filippetti, la porte-parole du groupe PS à l'Assemblée, offensive:
"Dans la France de Nicolas Sarkozy, on peut désormais mettre à sac le domicile de la principale opposante politique et cela ne déclenche que l'hilarité des porte-parole, ou plutôt des porte-flingue, du pouvoir en place", a-t-elle dit sur lemonde.fr.

François Rebsamen, maire de Dijon :
"Une des chefs de l'opposition, l'ancienne candidate socialiste à l'élection Présidentielle, est menacée dans sa sécurité quotidienne et la seule réponse est de l'accuser de " péter les plombs ".
La démocratie c'est d'abord le respect de l'opposition, j'appelle les représentants de la majorité à s'en souvenir", note le socialiste dans un communiqué.



2. Les réactions à droite

L'UMP à attaque:
"L'UMP se sent révoltée par les propos honteux de Mme Royal sur le président de la République", a déclaré un porte-parole, dans un communiqué, pointé par Appollodore.
"Certaines limites, qui sont celles de la diffamation et de la calomnie, ne devraient être franchies par personne, encore moins par l'ex-candidate à la présidence de la République."

François Fillon étonné:
"Mme Royal perd le contrôle d'elle-même, elle utilise d'ailleurs toujours la même méthode", a affirmé le premier ministre sur RTL (interview complète sur la page de Pierre-Alain).
"Elle a fait une grosse bourde il y a quelques jours en rompant seule ce qui était l'unanimité nationale autour de la libération d'Ingrid Betancourt. Elle se rend compte qu'elle a fait une bourde, donc elle allume un deuxième incendie."

Frédéric Lefebvre, porte-parole de l'UMP :
"Je crois que Ségolène Royal a pété un câble." (voir la vidéo)

Luc Chatel, porte-parole du gouvernement :
"Avec Ségolène Royal, on est passé de la bravitude à la bourditude ou la parano attitude", a déclaré M. Chatel, par ailleurs secrétaire d'Etat à la Consommation (voir la vidéo sur la page d'AlbaneMoulin).

Henri Guaino, conseiller spécial de Nicolas Sarkozy :
"Il y a quelqu'un qui s'imagine vraiment que le président de la République ou l'Elysée (...) puisse aller cambrioler l'appartement de Madame Royal parce qu'elle a critiqué Sarkozy. Tout ça est tellement absurde", a-t-il déclaré.

Bernard Accoyer, président UMP de l'Assemblée nationale :
"Je suis affligé par la succession de déclarations de Mme Royal qui ne recule devant rien pour exister", a-t-il dit.
"Cela atteint un niveau de stupidité qui est affligeant et prend une certaine gravité parce que l'on n'accuse pas comme cela de pires choses qui que ce soit, et en particulier le chef de l'Etat", a-t-il ajouté.

Nadine Morano, secrétaire d'Etat à la Famille :
"Mme Royal n'est pas une femme d'Etat. Elle est censée prendre de la hauteur, mais elle ne dépasse jamais le stade de la calomnie. Ces allégations sans preuve relèvent de la diffamation et d'une méthode voyou!", indique-t-elle.
"Décidément Mme Royal se trompe de voie : ce n'est pas en passant par les égouts qu'elle parviendra à l'Elysée!", écrit-elle en conclusion d'un communiqué intitulé "Royalement indécente".

Patrick Devedjian, secrétaire général délégué de l'UMP :
"Il n'y a aucune raison d'accuser la malignité des pouvoirs publics", et d'ajouter que Mme Royal paraît "un peu dépassée par les événements" et qu'elle est dans une "mauvaise période" après ses déclarations sur la libération d'Ingrid Betancourt.

Dominique Bussereau, secrétaire d'Etat aux Transports :
Il a jugé "heureux que Mme Royal n'ait pas été élue à la tête de l'Etat au printemps dernier, car elle démontre avec constance, y compris à ses propres amis, qu'elle n'a aucune des qualités requises pour accéder à la magistrature suprême"

Et ce matin sur RTL elle n'a pas cessé son délire paranoïaque.

PAUVRE FRANCE !

MERCI PAOLI DE TF 1 !!!!

HIER SOIR JE N'AI PAS PU VOIRE........

house4X15 sélectionné dans Séries et Séries US


4X16 sélectionné dans Séries et Séries US


A LA PLACE JE N'AI PAS REGARDÉ CA.


mercredi 9 juillet 2008

FILLON PARLE ET BIEN !

ENCORE ?

Il s'en était rendu compte avant tout le monde.
Finkielkraut sur l'incompétence de Ségolène Royale

SÉGOL'HAINE.


«Il croule sous l'argent»
En pleine préparation du congrès du PS qui se tiendra à l'automne à Reims, l'élue des Deux-Sèvres se pose donc en victime. Elle cherche surtout à reprendre la main alors qu'elle doit composer avec la concurrence du maire de Paris Bertrand Delanoë et de la revenante Martine Aubry. Deux challengers qui la devancent dans les sondages.

Un peu plus tôt dans la journée, Ségolène Royal avait déjà tiré à boulets rouges sur le président de la République après ses déclarations sur les grèves en France. «Je pense que c'est pire que de la provocation. Il ne se rend même plus compte de ce qu'il dit, au sens où, ça y est, il vit dans un autre monde. Pour lui, l'argent n'a pas d'importance puisqu'il croule sous l'argent», a-t-elle tonné sur RTL. Et d'enfoncer une nouvelle banderille : «On se croirait revenus sous l'Ancien Régime où le roi s'amuse, le roi dilapide l'argent, le roi soigne ses amis, le roi enrichit ceux qui sont déjà riches et, pendant ce temps-là, le peuple s'appauvrit.»

Mardi soir, l'UMP a vivement réagi en dénonçant les «propos honteux de Mme Royal». Porte-parole de l'UMP, Chantal Brunel a jugé que ces déclarations relevaient «de la diffamation et de la calomnie». Avant d'ironiser sur la vacuité des attaques de la dirigeante socialiste : «Il y a une chose cependant que l'on ne peut pas voler chez elle : c'est son programme car elle n'en a pas.»

Quelques réactions :

lulu22 : Incompetente et maintenant ....parano !!!
Certes, elle pratique l'anti-sarkozisme primaire comme la plupart des medias (qui sont bien sur, de droite ...), mais son besoin d'exister devant le neant de sa vision pour la France et les Francais lui fait dire n'importe quoi !

Si la gauche veut des idees, qu'elle ne se gene pas pour essayer d'en trouver dans les dernieres gesticulations de madame Royal, mais l'attaque a outrance contre le president, c'est deja fait depuis longtemps...

Tout cela manque cruellement de bravitude !

Childe Harold : Bon sang, mais c'est bien-sûr !
Quant à moi, je constate que cela fait deux fois, en quelques jours, qu'une averse soudaine et inattendue s'est déclanchée alors que je prévoyais d'aller faire ma petite promenade digestive. Alors, forcément, je m'interroge ! Et si le "clan Sarkozy" était derrière tout cela ?

tap7 : Ironie du sort, fou n'est pas celui qu'on croyait
Pendant la campagne, la gauche s'efforçait de diaboliser Sarko, de nous faire croire qu'il était dangereux, fou. Maintenant on sait qu'on a fait le bon choix (le moins mauvais, et de loin, si vous préférez). Mme Royal a en effet dévoilé ses difficultés psychiatriques au grand jour. Nous sommes passés "à 6%" d'une catastrophe.

Je pense qu'il faut en tirer des conclusions en instaurant des examens psychiatriques obligatoires pour pouvoir se présenter à une élection, sous la responsabilité de la justice ou d'un autre organe indépendant du pouvoir (pour éviter les dérives).

alef : le martyr français
De qui cette dame n'a t 'elle pas encore été victime ?

Il est clair qu'elle devrait étre protégée, surtout contre elle même.

Si Madame Royal avait été présidente de la France, elle probablement été la victime de la France, des Français et des autres pays.

Celà laisse songeur

Les réactions des socialistes sont ; comme toujours convenues, sans imagination.