Les préfectures du pays compliquent davantage la procédure de prolongement du titre de séjour et menacent de plus en plus souvent les étrangers d'expulsion.
Elle a reçu une obligation de quitter le territoire français (OQTF) le jour de sa première épreuve du Bac. Le quotidien français Libérationévoquait début juillet le cas d’une lycéenne marocaine, scolarisée en France depuis 10 ans, et dont le dossier de prolongation de la carte de séjour a été rejeté par la préfecture de Paris. Les autorités ont laissé à la jeune fille 30 jours pour s’en aller.
Hajar Hbaili, née au Maroc en 1993, fille de parents de nationalité marocaine, est arrivée en France à l’âge de 11 ans. En 2009-2010 elle passe l’année scolaire au Sud de Casablanca auprès de sa mère gravement malade, et en 2013 demande une carte de séjour française grâce à la carte de résident de son père. On la lui accorde, le règlement stipulant que la carte de séjour doit être délivrée à tout étranger accompagné par un parent et entré en France avant l’âge de 13 ans. Mais en juillet de la même année, lorsqu’elle dépose une demande de prolongement, la Préfecture de Paris allonge le temps d’attente à plus de quatre mois, ce qui selon la pratique vaut une décision implicite de rejet ». Finalement Hajar devient « une étrangère en situation irrégulière ».
La jeune fille a contacté une avocate spécialisée en droit des étrangers pour contester cette « décision implicite », mais sa timidité lors de l’audience du tribunal fait dire au représentant de la Préfecture « qu’elle n’est pas si intégrée que ça et qu’il serait mieux pour elle de rentrer au Maroc ». Même l’acceptation de Hajar en classes préparatoires pour étudier la médecine n’y change rien. « La préfecture m’a même donné des noms d’écoles de médecine au Maroc, en disant qu’il y en avait plein ! », explique la lycéenne à Libération.
Se marier pour annuler l’OQTF
Les décisions des fonctionnaires des préfectures françaises concernant le prolongement des titres de séjour des étrangers sont parfois très aléatoires. Mikhaïl, un Russe originaire de l’Oural, vit avec son amie française à Lyon depuis 2010. PACSés depuis plusieurs années, ils envisageaient de se marier cet été, mais ont dû le faire avant la date prévue.
« Ayant obtenu mon Master l’année dernière, j’ai décidé de m’inscrire en thèse à la rentrée, se souvient Mikhaïl. Mais pour présenter un dossier d’inscription en thèse, j’avais besoin de présenter un certificat de connaissance du français d’un niveau supérieur à celui que j’avais : le DAFL C1. Donc à la rentrée 2013, je me suis inscrit en cours de préparation à ce test. Mais malgré ma lettre explicative et une multitude de certificats, la préfecture a rejeté mon dossier et j’ai reçu une OQTF de 30 jours qui expirait juste après mes examens. Je n’avais même pas la possibilité de récupérer les résultats ! ».
A la préfecture de Lyon, on a expliqué à Mikhaïl que son dossier de « ne justifie pas d’une progression raisonnable et de la réalité des études poursuivies ». Le retour en Russie et la demande d’un nouveau visa nécessitant plusieurs mois, pour éviter la séparation, Mikhaïl et son amie ont décidé de profiter de ces 30 jours accordés par les autorités pour se marier. Assistés d’une avocate spécialisée en Droit des étrangers, ils ont ensuite déposé une requête au Tribunal administratif demandant de réétudier le dossier de Mikhaïl. Six mois plus tard, sa situation était enfin régularisée.
Selon les experts, face aux démarches complexes auprès des administrations françaises, les étrangers en attente de prolongation de leur titre de séjour se retrouvent souvent désemparés. Même chose chez les demandeurs d’asile ou les étrangers malades, qui sont souvent psychologiquement plus fragilisés du fait de leur statut.
«Nous observons une sévérité accrue à l'égard des demandeurs d'asile déboutés, que ce soit pour des demandes de régularisation (qui doivent désormais plutôt s'inscrire dans les prescriptions de la circulaire Valls du 28/11/12) ou les demandes en qualité d'étranger malade », constate dans un commentaire accordé à La Voix de la Russie Anne-Sophie Leplat, juriste spécialisée en Droit des étrangers à l’association Adate dans le département français de l’Isère.
Cependant, quelle que soit la nature du refus de prolongement du titre de séjour, inutile de paniquer. Un étranger ayant reçu une OQTF doit avant tout demander de l’aide juridique à un avocat spécialisé et étudier avec lui les possibilités qui se présentent. Car même protégé par une autre loi française, le citoyen étranger risque l'expulsion tant que l'OQTF n'a pas été annulée.
« Si l’étranger se soustrait ou tente de se soustraire à une obligation de quitter le territoire, il est passible d’une peine d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à 3 ans », met en garde la juriste Anne-Sophie Leplat, ajoutant que la condamnation peut aller jusqu'à une peine d’interdiction du territoire français de 10 ans. /N
Vivement qu'il n'y ait plus d'entrepreneur en France, plus de créateurs de richesse pour que l'on s'aperçoive enfin que l'argent ne pousse ni dans les champs, ni dans les ministères, mais que la richesse se créée avec de l'énergie, du talent, et surtout 95% de sueur, et aussi de la prise de risque. Entre temps, on sera passé à 10 millions de personnes avec un travail précaire. Ras le bol de vivre dans un pays ou la réussite est systémariquement mise sur le dos de la chance et pas du travail.
IL N'Y A QU'EN FRANCE OÙ L'ON PEUT SE PERMETTRE DE TELLES BÊTISES LA FRANCE AUX FRANÇAIS.
JUSTICE
Jean-Marc Ayrault - Député socialiste, Maire de Nantes, président de la communauté urbaine de Nantes Métropole, condamné le 19 décembre 1997 à 6 mois de prison avec sursis et 30 000 francs d'amende, pour "délit de favoritisme dans l'attribution d'un marché public".
Arnaud Montebourg - Ministre du Redressement Productif, président du Conseil Général de Saône-et-Loire, condamné le 23 mai 2012 par le tribunal de grande instance de Paris à 1 euro de dommages et intérêts à verser à chacun des cinq demandeurs et 3000 euros au titre des frais de justice pour "injure publique". Il a fait appel de ce jugement.
QUELQUES VÉRITÉS
Il n'y a pas lieu de désespérer parce que comme l'a dit Margaret Thatcher :"Le socialisme ne dure que jusqu'à ce que se termine l'argent des autres"
INAPTOCRATIE : un système de gouvernement où les moins capables de gouvernersont élus par les moins capables de produire et où les autres membres de lasociété les moins aptes à subvenir à eux-mêmes ou à réussir, sontrécompensés par des biens et des services qui ont été payés par laconfiscation de la richesse et du travail d'un nombre de producteurs endiminution continuelle.
A l'école primaire des socialistes, on apprend les 4 opérations :
- L'addition des impôts - La soustraction des revenus - La multiplication des fonctionnaires et des immigrés - La division du travail.
Aux élections prochaines, votez pour Ali Baba. Au moins vous serez sûrs de n'avoir que 40 voleurs. JEAN D'ORMESSON
COMPTE À REBOURS
AVANT DE LE FOUTRE À LA PORTE, ÇA FAIT DÉJÀ TROP LONGTEMPS QU'IL FAIT DES DÉGATS....CASSE TOI PAUV'CON !!!!!
« Le gouvernement a un bras long et un bras court ; le long sert à prendre et arrive partout, le bras court sert à donner, mais il arrive seulement à ceux qui sont tout près. »
Ignazio Silone
Les socialistes aiment tellement les pauvres qu’ils en fabriquent
C’est moi qui maîtrise la rareté de ma parole politique, pour dire des choses intelligentes quand j’ai besoin de les dire. — Ségolène Royal
J’étais partisan du non, mais face à la montée du non, je vote oui — Manuel Valls
«Le “canard boiteux” n'est pas à Florange, mais à Matignon! Il n'y a ni cap, ni vision.»RACHIDA DATI
La droite et la gauche, ce n’est pas la même chose — Pierre Mauroy
Le capitalisme, c’est l’exploitation de l’homme par l’homme. Le syndicalisme, c’est le contraire — Henri Jeanson
Même quand je ne dis rien, cela fait du bruit — Ségolène Royal
Stéphane Hessel à propos de Hollande:
"On n'en fera pas un Roosevelt !"
Le plus souvent, la liberté d’expression est mal comprise : chacun la revendique pour soi et pour ses amis, c’est-à-dire pour ceux dont on partage les opinions. Il s’agit de la liberté d’expression facile, qui donne lieu à un rituel de célébration inlassablement renouvelé. Mais la défense de la liberté d’expression au sens fort est plus rare. Elle devient en effet plus difficile à pratiquer dès qu’il s’agit d’exiger cette liberté pour ceux qui sont attachés à des idées très différentes, voire totalement opposées à celles que l’on chérit soi-même. C’est alors que la liberté d’expression prend toute sa signification politique : elle devient un combat pour autrui. Pour que « l’autre » puisse professer des opinions auxquelles je suis hostile. Robert Redeker
Etre homme politique, c’est être capable de dire à l’avance ce qui va arriver demain, la semaine prochaine, le mois prochain et l’année prochaine. Et d’être capable, après, d’expliquer pourquoi rien de tout cela ne s’est produit. — Winston Churchill
Quand un politicien se touche le visage il dit la vérité, quand il se gratte l’oreille il dit la vérité, quand il lève le pouce il dit la vérité ; c’est quand il remue les lèvres qu’il ment. — Baptiste Foisy
FRANCE SOCIALISTE
CONTRE LA PENSÉE UNIQUE SOCIALISTE
Nous ne pouvons, nous ne pourrons jamais l'aimer ce nouveau président, qui nous scrute comme si nous étions de mauvais citoyens. Aucune de ses paroles ne me rassure car il est contre mes valeurs. Rien ne pourra me le faire aimer car il a été élu pour de mauvais motifs. Je me sens déjà trahi par ses mensonges par exemple la république irréprochable, alors que son gouvernement ne l'est en rien [...], ou le non cumul des mandats, trahi par son comportement à l'égard de Nicolas Sarkozy et ses gestes ou ses discours équivoques au sein même de l’Élysée, (quelle inélégance à l'égard des 48,7 % de Français), trahi par sa déontologie mesquine et ses états d'âmes moralisateurs, quand on sait que la gauche aime se parer de vertu mais est rarement probe, trahi par cet imposteur de la république, ce petit président, cet énarque élitiste qui veut nous faire croire qu'il aime les gens, qu'il aime le peuple, alors qu'il nous méprise et ne s'adresse qu'à ses amis, trahi parce qu'il brosse tout le temps dans le sens du poil, mais d'économie jamais il ne parle, trahi parce qu'il a su retourner l'opinion en sa faveur grâce à la complicité des journalistes qui ont relayé l'antisarkozysme primaire à longueur d'éditos oiseux [...].Tout cela ressemble à de la petite politique. Augurons qu'il démissionne en proie aux difficultés, ou une cohabitation avec un premier ministre réformiste, ou dans le pire des cas pour nous qu'il soit battu dans 5 ans. Je ne lui souhaite en aucun cas toute la réussite parce que cette réussite ne saurait être celle de la France notre nation, il va insidieusement après avoir pris les commandes de l'ensemble des pouvoirs de la république, lui et ses amis, contribuer à la socialisation lente, rampante, sournoise des esprits.
PHILIPPE BOUVARD
LA VÉRITABLE "EXCEPTION FRANÇAISE": CE SONT LES MÊMES CITOYENS QUI DÉPLORENT QU'UN GOUVERNEMENT N'AIT PAS CONCRÉTISÉ DAVANTAGE DE PROJETS ET QUI, À LA PREMIÈRE VELLÉITÉ DE RÉFORME, DESCENDENT DANS LA RUE
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