L’actualité est avare de bonnes nouvelles. Et voici que, soudain généreuse, elle nous en offre deux en une journée. Deux victoires comme on les aime, du pot de terre contre le pot de fer. A Lyon, la victoire de Paul François, simple paysan, contre le géant américain Monsanto. A Turin, la victoire des milliers d’anonymes victimes de l’amiante contre le groupe suisse Eternit… Voilà qui réchauffe l’esprit et le cœur en ces temps de glaciation : deux preuves en une que la justice n’est pas condamnée à être au service des puissants. Et que notre santé peut peser plus lourd que leur argent. Mais le plus réjouissant, à Lyon comme à Turin, c’est la défaite du défaitisme, du « à quoi bon », du « ça ne vaut pas la peine ». Car la leçon d’optimisme de ces deux jugements, c’est bien qu’il suffit que quelques personnes, quelque part, disent « non » - et tiennent bon.
mardi 14 février 2012
Optimisme
L’actualité est avare de bonnes nouvelles. Et voici que, soudain généreuse, elle nous en offre deux en une journée. Deux victoires comme on les aime, du pot de terre contre le pot de fer. A Lyon, la victoire de Paul François, simple paysan, contre le géant américain Monsanto. A Turin, la victoire des milliers d’anonymes victimes de l’amiante contre le groupe suisse Eternit… Voilà qui réchauffe l’esprit et le cœur en ces temps de glaciation : deux preuves en une que la justice n’est pas condamnée à être au service des puissants. Et que notre santé peut peser plus lourd que leur argent. Mais le plus réjouissant, à Lyon comme à Turin, c’est la défaite du défaitisme, du « à quoi bon », du « ça ne vaut pas la peine ». Car la leçon d’optimisme de ces deux jugements, c’est bien qu’il suffit que quelques personnes, quelque part, disent « non » - et tiennent bon.
L’actualité est avare de bonnes nouvelles. Et voici que, soudain généreuse, elle nous en offre deux en une journée. Deux victoires comme on les aime, du pot de terre contre le pot de fer. A Lyon, la victoire de Paul François, simple paysan, contre le géant américain Monsanto. A Turin, la victoire des milliers d’anonymes victimes de l’amiante contre le groupe suisse Eternit… Voilà qui réchauffe l’esprit et le cœur en ces temps de glaciation : deux preuves en une que la justice n’est pas condamnée à être au service des puissants. Et que notre santé peut peser plus lourd que leur argent. Mais le plus réjouissant, à Lyon comme à Turin, c’est la défaite du défaitisme, du « à quoi bon », du « ça ne vaut pas la peine ». Car la leçon d’optimisme de ces deux jugements, c’est bien qu’il suffit que quelques personnes, quelque part, disent « non » - et tiennent bon.
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