Les bailleurs de fonds de la Grèce continuent d'exiger la garantie écrite des trois partis politiques de la coalition gouvernementale de transition de Lucas Papadémos qu'ils soutiennent le second plan de sauvetage européen du pays. Seuls les socialistes sont d'accord pour le faire.
M. Karatzaféris s'est entretenu dimanche avec les émissaires de la "troïka" composée de la Commission européenne, de la Banque centrale européenne (BCE) et du Fonds monétaire international (FMI).
Faute de soutien écrit au second plan de sauvetage, l'UE et le FMI menacent de ne pas verser une tranche de 8 milliards d'euros d'aide prévue dans le premier prêt de 110 milliards consenti en mai 2010 à la Grèce. Sans cet argent, les caisses d'Athènes risquent d'être vides avant Noël.
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