Pardonnez-nous la vulgarité de ce mot, mais il est de saison. Vous le savez, si vous avez regardé hier soir «L’Etoffe des champions» sur la télévision publique: durant de longues minutes, deux personnages se hurlent «merde» de plus en plus fort, de plus en plus durement. L’un d’eux se nomme Raymond Domenech, embauché comme coach de cette émission de téléralité qui nous rappelle un peu les stages de motivation des années 80, avec cadres dynamiques marchant sur le feu... Il aurait pu y penser dès Knysna, Raymond Domenech, et demander à ses footballeurs de sortir de leur bus pour pousser un grand «merde» libérateur. On pourrait aussi conseiller la méthode à tous les hystériques du cas DSK, qu’ils soient journalistes, politiques ou avocats: dites «merde» très fort, ensemble, une fois - cela vous motivera peut-être pour parler enfin d’autre chose.
jeudi 7 juillet 2011
Merde
Pardonnez-nous la vulgarité de ce mot, mais il est de saison. Vous le savez, si vous avez regardé hier soir «L’Etoffe des champions» sur la télévision publique: durant de longues minutes, deux personnages se hurlent «merde» de plus en plus fort, de plus en plus durement. L’un d’eux se nomme Raymond Domenech, embauché comme coach de cette émission de téléralité qui nous rappelle un peu les stages de motivation des années 80, avec cadres dynamiques marchant sur le feu... Il aurait pu y penser dès Knysna, Raymond Domenech, et demander à ses footballeurs de sortir de leur bus pour pousser un grand «merde» libérateur. On pourrait aussi conseiller la méthode à tous les hystériques du cas DSK, qu’ils soient journalistes, politiques ou avocats: dites «merde» très fort, ensemble, une fois - cela vous motivera peut-être pour parler enfin d’autre chose.
Pardonnez-nous la vulgarité de ce mot, mais il est de saison. Vous le savez, si vous avez regardé hier soir «L’Etoffe des champions» sur la télévision publique: durant de longues minutes, deux personnages se hurlent «merde» de plus en plus fort, de plus en plus durement. L’un d’eux se nomme Raymond Domenech, embauché comme coach de cette émission de téléralité qui nous rappelle un peu les stages de motivation des années 80, avec cadres dynamiques marchant sur le feu... Il aurait pu y penser dès Knysna, Raymond Domenech, et demander à ses footballeurs de sortir de leur bus pour pousser un grand «merde» libérateur. On pourrait aussi conseiller la méthode à tous les hystériques du cas DSK, qu’ils soient journalistes, politiques ou avocats: dites «merde» très fort, ensemble, une fois - cela vous motivera peut-être pour parler enfin d’autre chose.
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