Tout doit disparaître ! C'est le cri du commerçant à l'ouverture des soldes, et de notre Président au matin de la rigueur. On brade les stocks de robes fantaisie et de fonctionnaires, d'écrans plats et de logements de fonction, pour vite faire rentrer de l'argent frais dans les caisses. Car elles sont vides, les caisses des commerçants et de notre Président, boudées par le consommateur-contribuable qui préfère compter ses euros en attendant la confiance… C'est qu'on se méfie toujours un peu. On se dit que ces offres sont trop alléchantes pour être vraiment honnêtes. Et que ces stocks doivent bien en cacher d'autres : l'Etat vend 10 000 voitures de fonction - mais sur combien de voitures ? s'est interrogé hier le Premier ministre québécois, avec la joviale brutalité d'un trappeur. Il a raison, le Québécois : vous pouvez être sûr que notre Président fourbit déjà sa deuxième démarque.
mercredi 30 juin 2010
Soldes
Tout doit disparaître ! C'est le cri du commerçant à l'ouverture des soldes, et de notre Président au matin de la rigueur. On brade les stocks de robes fantaisie et de fonctionnaires, d'écrans plats et de logements de fonction, pour vite faire rentrer de l'argent frais dans les caisses. Car elles sont vides, les caisses des commerçants et de notre Président, boudées par le consommateur-contribuable qui préfère compter ses euros en attendant la confiance… C'est qu'on se méfie toujours un peu. On se dit que ces offres sont trop alléchantes pour être vraiment honnêtes. Et que ces stocks doivent bien en cacher d'autres : l'Etat vend 10 000 voitures de fonction - mais sur combien de voitures ? s'est interrogé hier le Premier ministre québécois, avec la joviale brutalité d'un trappeur. Il a raison, le Québécois : vous pouvez être sûr que notre Président fourbit déjà sa deuxième démarque.
Tout doit disparaître ! C'est le cri du commerçant à l'ouverture des soldes, et de notre Président au matin de la rigueur. On brade les stocks de robes fantaisie et de fonctionnaires, d'écrans plats et de logements de fonction, pour vite faire rentrer de l'argent frais dans les caisses. Car elles sont vides, les caisses des commerçants et de notre Président, boudées par le consommateur-contribuable qui préfère compter ses euros en attendant la confiance… C'est qu'on se méfie toujours un peu. On se dit que ces offres sont trop alléchantes pour être vraiment honnêtes. Et que ces stocks doivent bien en cacher d'autres : l'Etat vend 10 000 voitures de fonction - mais sur combien de voitures ? s'est interrogé hier le Premier ministre québécois, avec la joviale brutalité d'un trappeur. Il a raison, le Québécois : vous pouvez être sûr que notre Président fourbit déjà sa deuxième démarque.
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