Notre Président ose tout. C’est même à ça qu’on le reconnaît, depuis tout petit. À chaque fois, les gens raisonnables lui prédisent le désastre, qu’il n’a d’ailleurs pas toujours évité. Mais à chaque fois, il revient, décidé à oser plus pour gagner plus. Et en ce début d’année, notre Président ose à nouveau tout. Par exemple, imposer le vote d’une hausse d’impôt, la TVA sociale, à deux mois de l’élection. Contre sa majorité, contre une majorité de Français. Une mesure de « sale mec », dirait l’autre, à peine entré d’un demi-orteil dans son Rubicon. Pour faire bon poids, notre Président promet aussi de créer sa taxe sur les transactions financières tout seul comme un grand – un coup à gauche. Cela juste après avoir joué les dévots de la Pucelle – un coup à la droite de la droite. En clair, il ose prétendre nous refaire le coup de 2007. Oui, il ose, et c’est même à ça qu’on le reconnaît candidat.
samedi 7 janvier 2012
Oser
Notre Président ose tout. C’est même à ça qu’on le reconnaît, depuis tout petit. À chaque fois, les gens raisonnables lui prédisent le désastre, qu’il n’a d’ailleurs pas toujours évité. Mais à chaque fois, il revient, décidé à oser plus pour gagner plus. Et en ce début d’année, notre Président ose à nouveau tout. Par exemple, imposer le vote d’une hausse d’impôt, la TVA sociale, à deux mois de l’élection. Contre sa majorité, contre une majorité de Français. Une mesure de « sale mec », dirait l’autre, à peine entré d’un demi-orteil dans son Rubicon. Pour faire bon poids, notre Président promet aussi de créer sa taxe sur les transactions financières tout seul comme un grand – un coup à gauche. Cela juste après avoir joué les dévots de la Pucelle – un coup à la droite de la droite. En clair, il ose prétendre nous refaire le coup de 2007. Oui, il ose, et c’est même à ça qu’on le reconnaît candidat.
Notre Président ose tout. C’est même à ça qu’on le reconnaît, depuis tout petit. À chaque fois, les gens raisonnables lui prédisent le désastre, qu’il n’a d’ailleurs pas toujours évité. Mais à chaque fois, il revient, décidé à oser plus pour gagner plus. Et en ce début d’année, notre Président ose à nouveau tout. Par exemple, imposer le vote d’une hausse d’impôt, la TVA sociale, à deux mois de l’élection. Contre sa majorité, contre une majorité de Français. Une mesure de « sale mec », dirait l’autre, à peine entré d’un demi-orteil dans son Rubicon. Pour faire bon poids, notre Président promet aussi de créer sa taxe sur les transactions financières tout seul comme un grand – un coup à gauche. Cela juste après avoir joué les dévots de la Pucelle – un coup à la droite de la droite. En clair, il ose prétendre nous refaire le coup de 2007. Oui, il ose, et c’est même à ça qu’on le reconnaît candidat.
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