En effet, "Quelques mois plus tard, Gorbatchev démissionnait", rappelle le quotidien suisse dans son éditorial, pour qui "Le parallèle entre le printemps arabe et la fin du communisme est tentant. (…) Chaque fois en effet on a bien assisté au surgissement des aspirations à la liberté dans des systèmes politiques sclérosés. (…) La fin de l'ère soviétique ou les révolutions arabes donnent le sentiment que c'est l'Histoire qui s'est remise en marche après une longue période de glaciation."
Et le quotidien suisse de conclure sur le décalage entre l'image que les russes avaient du dernier leader soviétique et "notre regard : ils ne voient pas en Gorbatchev le héros de la liberté que nos célébrons. Nous ne voyons pas dans les Frères Musulmans de vrais libérateurs. Alors qu'ils mobilisent au Caire. Une leçon à retenir de l'Histoire?"
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