Notre Président serait déjà candidat. Prêt à rempiler cinq ans. Faut-il qu’il aime ça... Parce qu’être Président, c’est être contraint de travailler avec des individus comme Hervé Morin. Mais oui, vous le reconnaissez, le soldat fidèle de François Bayrou en 2007, qui le trahit pour devenir ministre de la Défense de Nicolas Sarkozy. Il y gagna le sobriquet de «Morin, traître». Il lui fait honneur aujourd’hui, après trois années et demi de service servile et militaire, crachant dans le rata pour trahir son dernier maître et devenir candidat. On lui préférera le postier Olivier Besancenot, qui renonce aux honneurs du candidat pour mieux continuer de militer, à la base. Sans accuser personne, tout simplement parce que c’est son choix d’homme libre. Parions que notre Président, avant d’en reprendre pour cinq ans, aura une pensée pour Morin traître et le postier de Neuilly...
vendredi 6 mai 2011
Candidats
Notre Président serait déjà candidat. Prêt à rempiler cinq ans. Faut-il qu’il aime ça... Parce qu’être Président, c’est être contraint de travailler avec des individus comme Hervé Morin. Mais oui, vous le reconnaissez, le soldat fidèle de François Bayrou en 2007, qui le trahit pour devenir ministre de la Défense de Nicolas Sarkozy. Il y gagna le sobriquet de «Morin, traître». Il lui fait honneur aujourd’hui, après trois années et demi de service servile et militaire, crachant dans le rata pour trahir son dernier maître et devenir candidat. On lui préférera le postier Olivier Besancenot, qui renonce aux honneurs du candidat pour mieux continuer de militer, à la base. Sans accuser personne, tout simplement parce que c’est son choix d’homme libre. Parions que notre Président, avant d’en reprendre pour cinq ans, aura une pensée pour Morin traître et le postier de Neuilly...
Notre Président serait déjà candidat. Prêt à rempiler cinq ans. Faut-il qu’il aime ça... Parce qu’être Président, c’est être contraint de travailler avec des individus comme Hervé Morin. Mais oui, vous le reconnaissez, le soldat fidèle de François Bayrou en 2007, qui le trahit pour devenir ministre de la Défense de Nicolas Sarkozy. Il y gagna le sobriquet de «Morin, traître». Il lui fait honneur aujourd’hui, après trois années et demi de service servile et militaire, crachant dans le rata pour trahir son dernier maître et devenir candidat. On lui préférera le postier Olivier Besancenot, qui renonce aux honneurs du candidat pour mieux continuer de militer, à la base. Sans accuser personne, tout simplement parce que c’est son choix d’homme libre. Parions que notre Président, avant d’en reprendre pour cinq ans, aura une pensée pour Morin traître et le postier de Neuilly...
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