Il fait chaud. Trop chaud, trop vite. Cela épuise, au réveil de nuits sans sommeil, fenêtres ouvertes sur les bruits de la rue. Les vacances sont là, on ne les avait pas vues arriver. Le Tour de France s'élance, quand le deuil n'est pas encore fait des Bleus. Les ministres gaffeurs préparent leurs valises, mais ne partiront que cet automne... Dans ce désordre général, nos horloges biologiques s'affolent. Nous voilà tous exaspérés par la crise et sa rigueur qui ne dit pas son nom, en colère contre les scandales qui se multiplient, agacés par ces polémiques qu'on n'arrive même plus à suivre, tous énervés et au bord de l'explosion, comme un automobiliste embouteillé avec deux gamins qui pleurent à l'arrière, comme les artistes brésiliens face aux crampons bataves. L'envie est forte de crier stop ! On arrête tout, on se repose et on boit frais. Allez, bon week-end.
samedi 3 juillet 2010
Chaud
Il fait chaud. Trop chaud, trop vite. Cela épuise, au réveil de nuits sans sommeil, fenêtres ouvertes sur les bruits de la rue. Les vacances sont là, on ne les avait pas vues arriver. Le Tour de France s'élance, quand le deuil n'est pas encore fait des Bleus. Les ministres gaffeurs préparent leurs valises, mais ne partiront que cet automne... Dans ce désordre général, nos horloges biologiques s'affolent. Nous voilà tous exaspérés par la crise et sa rigueur qui ne dit pas son nom, en colère contre les scandales qui se multiplient, agacés par ces polémiques qu'on n'arrive même plus à suivre, tous énervés et au bord de l'explosion, comme un automobiliste embouteillé avec deux gamins qui pleurent à l'arrière, comme les artistes brésiliens face aux crampons bataves. L'envie est forte de crier stop ! On arrête tout, on se repose et on boit frais. Allez, bon week-end.
Il fait chaud. Trop chaud, trop vite. Cela épuise, au réveil de nuits sans sommeil, fenêtres ouvertes sur les bruits de la rue. Les vacances sont là, on ne les avait pas vues arriver. Le Tour de France s'élance, quand le deuil n'est pas encore fait des Bleus. Les ministres gaffeurs préparent leurs valises, mais ne partiront que cet automne... Dans ce désordre général, nos horloges biologiques s'affolent. Nous voilà tous exaspérés par la crise et sa rigueur qui ne dit pas son nom, en colère contre les scandales qui se multiplient, agacés par ces polémiques qu'on n'arrive même plus à suivre, tous énervés et au bord de l'explosion, comme un automobiliste embouteillé avec deux gamins qui pleurent à l'arrière, comme les artistes brésiliens face aux crampons bataves. L'envie est forte de crier stop ! On arrête tout, on se repose et on boit frais. Allez, bon week-end.
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