A son arrivée en trombe sous fond de scandales divers, de procès intentés pour port de maillot de bain disgracieux ou pour délit d’écriture du roman de sa vie, Valérie Trierweiler a depuis empilé les comportements douteux, notamment lors de cette visite du président où elle tira par sa capuche un cameraman pour l’empêcher de filmer une scène (http://french.ruvr.ru/2013_04_12/Le-geste-inadmissible-de-Trierweiler/).
Quelques semaines plus tard, après des déclarations officielles ou officieuses sur le ras le bol du président et du gouvernement sur le « bashing » des journalistes, les médias et quelques humoristes sont désormais sommés de cesser leur acharnement, la troupe doit retourner dans le rang !
Force est de constater en effet que le ton a changé depuis l’arrivée de François Hollande en ce mois de juin, dans les bas-fonds de son impopularité. Après tout juste une année de pouvoir, le président français est en effet tombé au score (truqué) de 31 % de satisfaction, ce qui augure d’un score réel tournant autour de 15-25 %. Mais les chiffres ne peuvent pas toujours mentir et les journalistes français, au garde-à-vous ou non, n’ont pu que se résoudre à écrire que pour la première fois également, François Hollande avait perdu des points dans son propre électorat de base. Les socialistes eux-mêmes, s’il en reste, désertent le terrain. Déconfitures après déconfitures, étrillés par les résultats calamiteux du gouvernement dans tous les domaines, certains observateurs éclairés, notamment des politiciens de diverses formations déclarent que la République elle-même serait en danger.
C’est sans doute la raison qui explique le changement subi de ton et les stratégies un tantinet pathétiques mais bien onéreuses, des missions de la première dame de France. Fière et colérique, cette dernière aura beaucoup de mal à rester cantonnée dans le rôle assez peu en corrélation avec le Gender prônée et légiférée par la fameuse loi de Mme Taubira. Voyage humanitaire à Gao, soutien à des ONG, visite d’enfants malades ou estropiés du Mali et de Syrie, soutien aux femmes victimes de viols au Congo, la leçon, indique Philippe Martinat, grand reporter au Parisien,aurait été retenue : humilité, œuvre de charité, malheureux et affamés, il ne manque plus à Valérie Trierweiler que l’antique pouvoir des rois de France pour soigner les écrouelles et l’affaire sera dans le sac. http://www.leparisien.fr/laparisienne/actu-people/mais-si-valerie-trierweiler-a-change-27-06-2013-2932835.php.
Dans cet article qui va dans le mouvement de l’obéissance nationale, il est aussi écrit que la première dame « hystérisait la relation de François Hollande avec l’opinion »… Etrange similitude entre la détestée et tout aussi maladroite Autrichiennehonnie et malmenée par le peuple qui voyait en elle une insulte à sa condition. Les régimes passent, mais l’histoire reste la même, de Marie-Antoinette et Louis XVI en passant par Danièle Mitterrand et Valérie Trierweiler, la recette du pouvoir est vieille, ou presque aussi vieille que les cabinets d’aisance du palais de l’Elysée. D’une manière amusante, remarquons également que la catégorie dans laquelle ledit article a été placé dans les lignes du grand quotidien français, est « Femmes de tête »… notons que si nous ne lui souhaitons pas de la perdre, son illustre et lointaine homologue la perdit un jour d’octobre 93, place de la Révolution aujourd’hui rebaptisée avec beaucoup d’humour, par des plaisantins que Georges Clémenceau n’auraient pas reniés, place de la Concorde.
De la concorde toutefois, il en faudra une certaine dose pour que Valérie Trierweiler fasse oublier les maillots de bain, les duels au sabre avec Ségolène Royal et quelques déclarations pas si innocentes sur Twitter. Le compagnon enterré dans les sondages, la compagne attaquée sur le coût des « missions » et du « cabinet » (de travail) de sa fonction de première dame, jamais une épouse d’un président de la République ne fut aussi impopulaire et montrée du doigt que Valérie Trierweiler. En haut lieu, les stratèges se sont mis au travail, après avoir encaissé des coups venus de toute part, elle sera donc poussée sur le devant de la scène pour une confrontation (ou exposition) dans les médias, invitée prochaine de « C à vous » sur France 5 durant 90 minutes, je vous en prie !
Les Français versatiles applaudissaient Marie-Antoinette pour mieux la haïr par la suite. Qu’en sera-t-il de Valérie Trierweiler ? Il y a certes beaucoup de malices pour un historien de faire un parallèle aussi audacieux et de rire de l’affirmation non moins audacieuse de Philippe Martinat «que quelque chose a bougé ». Dans le monolithe de la politique française, il sera difficile aux Français, mêmes extrêmement attentifs, de voir ce qui aurait bien pu commencer à se mouvoir… mais passons. « L’élégance discrète » mise en avant par l’auteur du Parisien fera-t-elle oublier le port de sabots crottés des mois précédents ? Rien n’est moins sûr. Qui vivra, verra. N
Vivement qu'il n'y ait plus d'entrepreneur en France, plus de créateurs de richesse pour que l'on s'aperçoive enfin que l'argent ne pousse ni dans les champs, ni dans les ministères, mais que la richesse se créée avec de l'énergie, du talent, et surtout 95% de sueur, et aussi de la prise de risque. Entre temps, on sera passé à 10 millions de personnes avec un travail précaire. Ras le bol de vivre dans un pays ou la réussite est systémariquement mise sur le dos de la chance et pas du travail.
IL N'Y A QU'EN FRANCE OÙ L'ON PEUT SE PERMETTRE DE TELLES BÊTISES LA FRANCE AUX FRANÇAIS.
JUSTICE
Jean-Marc Ayrault - Député socialiste, Maire de Nantes, président de la communauté urbaine de Nantes Métropole, condamné le 19 décembre 1997 à 6 mois de prison avec sursis et 30 000 francs d'amende, pour "délit de favoritisme dans l'attribution d'un marché public".
Arnaud Montebourg - Ministre du Redressement Productif, président du Conseil Général de Saône-et-Loire, condamné le 23 mai 2012 par le tribunal de grande instance de Paris à 1 euro de dommages et intérêts à verser à chacun des cinq demandeurs et 3000 euros au titre des frais de justice pour "injure publique". Il a fait appel de ce jugement.
QUELQUES VÉRITÉS
Il n'y a pas lieu de désespérer parce que comme l'a dit Margaret Thatcher :"Le socialisme ne dure que jusqu'à ce que se termine l'argent des autres"
INAPTOCRATIE : un système de gouvernement où les moins capables de gouvernersont élus par les moins capables de produire et où les autres membres de lasociété les moins aptes à subvenir à eux-mêmes ou à réussir, sontrécompensés par des biens et des services qui ont été payés par laconfiscation de la richesse et du travail d'un nombre de producteurs endiminution continuelle.
A l'école primaire des socialistes, on apprend les 4 opérations :
- L'addition des impôts - La soustraction des revenus - La multiplication des fonctionnaires et des immigrés - La division du travail.
Aux élections prochaines, votez pour Ali Baba. Au moins vous serez sûrs de n'avoir que 40 voleurs. JEAN D'ORMESSON
COMPTE À REBOURS
AVANT DE LE FOUTRE À LA PORTE, ÇA FAIT DÉJÀ TROP LONGTEMPS QU'IL FAIT DES DÉGATS....CASSE TOI PAUV'CON !!!!!
« Le gouvernement a un bras long et un bras court ; le long sert à prendre et arrive partout, le bras court sert à donner, mais il arrive seulement à ceux qui sont tout près. »
Ignazio Silone
Les socialistes aiment tellement les pauvres qu’ils en fabriquent
C’est moi qui maîtrise la rareté de ma parole politique, pour dire des choses intelligentes quand j’ai besoin de les dire. — Ségolène Royal
J’étais partisan du non, mais face à la montée du non, je vote oui — Manuel Valls
«Le “canard boiteux” n'est pas à Florange, mais à Matignon! Il n'y a ni cap, ni vision.»RACHIDA DATI
La droite et la gauche, ce n’est pas la même chose — Pierre Mauroy
Le capitalisme, c’est l’exploitation de l’homme par l’homme. Le syndicalisme, c’est le contraire — Henri Jeanson
Même quand je ne dis rien, cela fait du bruit — Ségolène Royal
Stéphane Hessel à propos de Hollande:
"On n'en fera pas un Roosevelt !"
Le plus souvent, la liberté d’expression est mal comprise : chacun la revendique pour soi et pour ses amis, c’est-à-dire pour ceux dont on partage les opinions. Il s’agit de la liberté d’expression facile, qui donne lieu à un rituel de célébration inlassablement renouvelé. Mais la défense de la liberté d’expression au sens fort est plus rare. Elle devient en effet plus difficile à pratiquer dès qu’il s’agit d’exiger cette liberté pour ceux qui sont attachés à des idées très différentes, voire totalement opposées à celles que l’on chérit soi-même. C’est alors que la liberté d’expression prend toute sa signification politique : elle devient un combat pour autrui. Pour que « l’autre » puisse professer des opinions auxquelles je suis hostile. Robert Redeker
Etre homme politique, c’est être capable de dire à l’avance ce qui va arriver demain, la semaine prochaine, le mois prochain et l’année prochaine. Et d’être capable, après, d’expliquer pourquoi rien de tout cela ne s’est produit. — Winston Churchill
Quand un politicien se touche le visage il dit la vérité, quand il se gratte l’oreille il dit la vérité, quand il lève le pouce il dit la vérité ; c’est quand il remue les lèvres qu’il ment. — Baptiste Foisy
FRANCE SOCIALISTE
CONTRE LA PENSÉE UNIQUE SOCIALISTE
Nous ne pouvons, nous ne pourrons jamais l'aimer ce nouveau président, qui nous scrute comme si nous étions de mauvais citoyens. Aucune de ses paroles ne me rassure car il est contre mes valeurs. Rien ne pourra me le faire aimer car il a été élu pour de mauvais motifs. Je me sens déjà trahi par ses mensonges par exemple la république irréprochable, alors que son gouvernement ne l'est en rien [...], ou le non cumul des mandats, trahi par son comportement à l'égard de Nicolas Sarkozy et ses gestes ou ses discours équivoques au sein même de l’Élysée, (quelle inélégance à l'égard des 48,7 % de Français), trahi par sa déontologie mesquine et ses états d'âmes moralisateurs, quand on sait que la gauche aime se parer de vertu mais est rarement probe, trahi par cet imposteur de la république, ce petit président, cet énarque élitiste qui veut nous faire croire qu'il aime les gens, qu'il aime le peuple, alors qu'il nous méprise et ne s'adresse qu'à ses amis, trahi parce qu'il brosse tout le temps dans le sens du poil, mais d'économie jamais il ne parle, trahi parce qu'il a su retourner l'opinion en sa faveur grâce à la complicité des journalistes qui ont relayé l'antisarkozysme primaire à longueur d'éditos oiseux [...].Tout cela ressemble à de la petite politique. Augurons qu'il démissionne en proie aux difficultés, ou une cohabitation avec un premier ministre réformiste, ou dans le pire des cas pour nous qu'il soit battu dans 5 ans. Je ne lui souhaite en aucun cas toute la réussite parce que cette réussite ne saurait être celle de la France notre nation, il va insidieusement après avoir pris les commandes de l'ensemble des pouvoirs de la république, lui et ses amis, contribuer à la socialisation lente, rampante, sournoise des esprits.
PHILIPPE BOUVARD
LA VÉRITABLE "EXCEPTION FRANÇAISE": CE SONT LES MÊMES CITOYENS QUI DÉPLORENT QU'UN GOUVERNEMENT N'AIT PAS CONCRÉTISÉ DAVANTAGE DE PROJETS ET QUI, À LA PREMIÈRE VELLÉITÉ DE RÉFORME, DESCENDENT DANS LA RUE
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