Au cas où nous les aurions confondus.
mercredi 15 août 2012
Valls
Manuel Valls, il ne vous rappelle personne ? Hyperministre,
omniprésent, bondissant sur le terrain ? Il ne vous fait pas penser à
Nicolas Sarkozy, ministre de l’Intérieur ? Les expulsions de Roms à
répétition ? Pas de problème, « le laisser faire ne résout rien »,
lâche-t-il, au risque de se fâcher avec la gauche et l’Union européenne
qui a de nouveau placé la France sous surveillance. Un quartier
d’Amiens en proie aux violences urbaines, des policiers blessés ? L’œil
noir et l’air soucieux, il s’y précipite juste après en avoir fini dans
le Var avec notre président venu rendre hommage aux gendarmes et
promettre quelques moyens. Hué à son arrivée à Amiens -tiens, lui
aussi- il ne lâche rien, condamne les violences, « la loi, l’ordre
républicain et la justice doivent retrouver toute leur place »… Manuel
Valls, caution fiable de ce gouvernement sur la sécurité, a beaucoup
emprunté à son prédécesseur. À tel point qu’il s’est senti obligé de
préciser que, lui, il n’était pas venu passer Amiens au « Kärcher ».
Au cas où nous les aurions confondus.
Au cas où nous les aurions confondus.
A LA BALAYETTE C'EST
MOINS EFFICACE.
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