dimanche 27 juillet 2008
mercredi 23 juillet 2008
mardi 22 juillet 2008
REFORME CONSTITUTIONNELLE ADOPTÉE
UNE EXCELLENTE CHOSE POUR LE PAYS, MÊME SI LA MADONE DU POITOU "pense" LE CONTRAIRE.
lundi 21 juillet 2008
vendredi 18 juillet 2008
RACHIDA
A la garden party ; Les bonnes langues (ils se reconnaitront) diront pis que pendre sur son attitude.
Mais !
Ce n'est pas parce que la madone du Poitou s'habille avec les fringues de sa grand-mère (honorable somme toute) et qu'elle ressemble à une chauve-souris vecteur de la rage, que tout le monde doit faire pareil.
Ce serait par trop lassant et très fatigant, la bêtise allant avec.
mardi 15 juillet 2008
Royal veut récupérer la moitié des superprofits de Total
«Je trouve le gouvernement particulièrement inerte» sur la flambée des prix du pétrole et ses conséquences sur le pouvoir d'achat, a estimé Ségolène Royal sur France Inter, mardi matin. «Il suffirait de reprendre la moitié des superprofits de Total pour les transformer en chèques de 300 euros», qui pourraient être «donnés aux familles et aux retraités», afin «qu'ils puissent remplir leur cuves pour cet hiver», a-t-elle suggéré.Des demandes taxées de «démagogie» et de «populisme» par l'UMP. Selon Patrick Devedjian, secrétaire général de l'UMP, «il faut savoir que Total fait 90 à 95% de son chiffre d'affaires à l'étranger et qu'il ne faudrait peut-être pas les pousser trop pour qu'ils aillent s'installer dans un autre pays. Là, on aura gagné le gros lot».
La madone du Poitou : toujours à côté de ses pompes.
dimanche 13 juillet 2008
LES TATAS FLINGUEUSES.
La bande du mafieux de TF 1 est en place, à quand son baiser ?
Il est certain que ce sera celui de l'audimat
CARLA BRUNI-SARKOZY & CHAZAL [ITV] 11 07 08
Je ne sais pas pourquoi, mais elle n'est pas à l'aise, est-ce parce qu'elle ne sait pas mentir ?
Je ne sens pas cette femme, elle me parait déplacée, fausse autant qu'on peut l'être.
samedi 12 juillet 2008
ATTENTION,LA MADONE DU CAFÉ "LE ROYAL" ! Le patron du troquet se pleint !
Il ne faudrait tout de même pas tomber dans son jeu ! Attention les Mythomanes sont dangereux.
VISITE
A propos de la visite du Président Syrien, on entend, ça et là ceci et cela, des propos convenus et partisans, mais on ne règle pas les problème internationaux à coup de dogmatisme politico-revanchard.
Les socialistes pense ça parce qu'ils sont socialistes, les partisans de droite et le libéraux (oui, libéraux, ne me dites pas que la gauche est libérales, nous n'aurions pas eues les 35 heures !), sont plus ouverts et plus enclins au dialogue.
C'est un phénomène de classe, les cultivés et les autres qui ne voient de la politique étrangère que ce qui les arange, ou certaines
denrées comestibles venues d'outre les océans.
Voici deux exemples dignes de l'étroitesse d'esprit de l'un et de l'analyse de l'autre.
Iman : Lettre à Monsieur Sarkozy
M. Sarkozy,
Je suis très content que vous invitiez le président de la Syrie. D'autant plus que ce même président a permis une légère baisse de l'effectif des militaires français, et cela nous évite les licenciements. D'ailleurs, comme vous le dîtes, ces militaires sont de vrais bras cassés, des amateurs, donc ils n'ont eu que ce qu'ils méritaient.
Grâce à vous cette région du monde vivra en paix. Libanais et Syriens pourront se tenir désormais main dans la main. Ce n'est pas beau ça? Merci M. Sarkozy.
Aussi, je vous propose que vous conseilliez au futur président américain d'inviter le molah Omar et Bin ladin le 4 juillet prochain à Washington, jour de l'indépendance américaine, afin que l'armée américaine rende hommage à ces deux grand et imminent personnage. Ce serait la fin du Jihad islamique et la paix au moyen orient! Ce sera grâce à vous Monsieur Sarkozy qu'on aura la paix dans le monde. N'est ce pas ce dont tout le monde rêve?
Vous êtes le meilleur président qu'aucun pays n'ai jamais connu. Continuez comme ça et vous aurez bientôt le prix nobel de la paix. Après la libération de infirmières bulgares, d'ingrid Bétancourt, la paix au proche orient et j'oubliais, la libération des otage dans la maternelle de Neuilly, qui pourrait vous refuser cet hommage ? Et pourquoi pas demander la béatification au Vatican ? Ou bien peut être êtes vous le messie que les Juif attendent depuis des millénaires ?
Mes voeux les plus sincères Monsieur le Président.
SPECTATOR : Realpolitik
Je ne crois pas qu'il y aie de quoi se réjouir, à serrer la main à un quelconque dictateur ou autre raté de la gestion démocratique de son pays en étant Président.
Mais :
En réfléchissant un peu plus profondément et en mettant ses propres haines et idées à part, on peut apercevoir une vision, une idée... pour le bien-être des peuples, pour la paix, pour le futur. Et tout cela sans renier en rien ses convictions et surtout celle profonde qu'il vaille mieux mourir que de s'aligner à un ennemi (Vichy...).
Mais cette même histoire nous montre aussi, qu'il faut savoir rebâtir une nation. Donner une chance. Qu'elle soit juste à côté (La France y est bien arrivée, non ?!) ou plus loin.
Et c'est exactement là, où on voit la grandeur d'un homme politique : ne pas se laisser entraîner par des « on dit », ni par du populisme de bistrot, mais savoir peser les pour et les contres.
Je ne crois infiniment pas que ce soit fait pour de quelconques contrats, ni pour la Syrie (quel en serait le poids ?) ni pour la Chine, d'ailleurs (le traitement de la Syrie le prouve).
Mais ça fait partie de la... disons « Realpolitik »
Vous noterez, comme moi, le propos raciste de Iman.
vendredi 11 juillet 2008
HEH VIENS LA, PATRICK ! LE MAFIOSO A À TE PARLER !!
Le mafieux de TF 1 a peut-être gagné une bataille, mais la guerre n'est pas finie.
Seul Docteur House me rattache encore à la chaine, jusqu'à la prochaine saison.
Grazzie mile le Nonce !!!
JAMES BOND, MISSION: ESPIONNER LA ROYAL
Réalité, paranoïa ou simple envie de faire parler d’elle ? Depuis mardi soir et son interview au JT de 20h sur France2, Ségolène Royal se dit traquée, "espionnée ou sur écoute". Car la présidente du Poitou-Charentes a été cambriolée trois fois en deux ans (voir notre édition du 1er juillet 08) et reste persuadée que ces "tentatives d’intimidations", comme elle les qualifie, sont liées à ses récentes attaques contre Nicolas Sarkozy. "Ce sont des coïncidences étranges" a-t-elle souligné hier sur RTL, en réitérant ses suspicions envers "le clan Sarkozy". A droite, ses propos ont aussitôt créé un tollé, François Fillon affirmant mercredi que l’ancienne candidate à la présidentielle est en train de "perdre le contrôle d’elle-même". Pour Frédéric Lefebvre, porte parole de l’UMP, "la gravité des accusations proférées est le signe qu'elle perd ses nerfs". Ségolène Royal trouve toutefois du soutien à gauche, et notamment du côté de la porte parole du PS à l’Assemblée Aurélie Filippetti qui affirme que "dans la France de Nicolas Sarkozy, on peut désormais mettre à sac le domicile de la principale opposante politique et cela ne déclenche que l'hilarité des porte-parole du pouvoir en place". En attendant les résultats de l’enquête sur l’effraction de son domicile, Ségolène Royal reste sur ses gardes. Durant la campagne présidentielle, l’ancienne candidate socialiste avait déjà dépensé plus de 53.000 euros pour s’équiper de détecteurs de micros et d’appareils antimouchards. F.G.
Comment faire parler de moi???
Je préfére sourire lorsque je lis ou entends que Mme Royale subit des pressions du grouvernement Sarkozy parce qu'elle "la principale opposante politique"... Mais rendonnons à l'évidence, depuis la fin de la campagne éléctorale, Royale est partout de peur de se faire oublier vu le peu d'intérêt du personnage et de ses "idées". Je ne crois vraiment pas à cette histoire et ne comprends pas pourquoi le gouvernement ferait ce genre de choses à quelqu'un avec si peu d'intérêt politique... Allez courage Ségolène, promis on ne va pas t'oublier...
SONDAGE
Ségolène Royal qui accuse "le clan Sarkozy"d'être derrière son cambriolage, c'est...
41 votants
Merci pour votre vote !
Royal sombre dans la paranoïa et l'agressivité. Elle n'a pas encore digéré sa défaite.
41%
Sarkozy adore les coups fourrés. Il serait capable d'avoir commandité ce cambriolage.
12%
Même si rien n'est avéré, plusieurs indices sont troublants. Attendons de voir.
29%
Une information dont on pourrait se passer. La vie privée des politiques doit le rester.
17%
Alors ! Même si Jack Lang le dit !!!!
PPDA , JETÉ COMME UN SYMBOL ?
Le présentateur vedette de TF1 a tiré sa révérence hier soir. Patrick Poivre d’Arvor, 60 ans, cède sa place à Laurence Ferrari. En 21 ans de carrière sur la chaîne privée, PPDA aura su se faire aimer des téléspectateur.
"Ce qui ne peut être évité, il faut l’embrasser. Alors puisque je n’ai pu éviter ce qui m’arrive ce soir, je vous embrasse tous… Merci pour votre affection, votre confiance… Et je suis sûr que l’on va se revoir très vite".
Sur ces mots s’achèvent 21 ans d’antenne à TF1. 21 ans au cours desquels, Patrick Poivre d’Arvor, surnommé PPDA, a présenté 4.500 fois le journal télévisé. C’est dire s’il est entré dans le quotidien des Français ! Pourtant la direction de TF1 a décidé début juin de se passer de lui. Exit le PPDA de 60 ans usé, et place à la fraîcheur blonde en la personne de Laurence Ferrari, 41 ans.
Amer, Poivre d’Arvor a déclaré hier sur France Inter qu’il avait bien reçu sa lettre de licenciement, et qu’il quittait définitivement la chaîne. Un coup dur pour le journaliste sexagénaire qui pensait prendre sa retraite en 2012. D’autant que son départ s’effectue en pleine polémique. Outre le fait que le principal intéressé a appris son éviction du 20 heures le plus regardé de France – huit millions de téléspectateurs en moyenne par soir - dans les colonnes du Parisien, son licenciement serait dû à des pressions politiques.
En effet, Nicolas Sarkozy qui n’aurait pas apprécié d’être comparé à un "petit garçon" par le présentateur vedette, aurait tout simplement demandé son renvoi ! "Faux !" rétorque l’UMP. Il n’empêche que la rumeur enfle. Et les Français sortent leurs mouchoirs pour saluer un présentateur qu’ils sont déjà 55% selon un sondage Ifop-JDD à regretter. Patrick Poivre d’Arvor aurait d’ailleurs reçu 35.000 lettres de soutien. Ah… l’amour !
People et boulettes
Il faut dire que pendant 21 ans, les Français ont vécu au rythme des frasques et des drames de PPDA. Car à l’heure de son départ, si le présentateur à la chevelure poivre et sel ne cesse de souligner son intégrité de journaliste, "le mannequin glacé avec un teint de soleil" comme le chante Noir Désir dans L’homme pressé a pourtant quelques casseroles à son actif.
Ainsi, en 1991 il avait diffusé une soi-disant interview exclusive en direct de Fidel Castro, qui s’est révélée n’être en fait qu’un montage de propos du leader communiste tenus durant une conférence de presse.
D’autres scandales avaient suivi, notamment sa condamnation pour recel d’abus de biens sociaux lors de la fameuse affaire Botton.
Mais le journaliste né en 1947 à Reims, a toujours séduit le public, en cultivant une image de séducteur, notamment en raison de sa liaison avec Claire Chazal, dont est né un fils en 1995. Très journaliste-vedette avec 13 couvertures de Paris-Match à son actif, PPDA était très exposé. Et lorsqu’en 1995, sa fille Solenn s’est suicidée à l’âge de 19 ans, il a touché le cœur des téléspectateurs en présentant quand même le lendemain le JT. PPDA a d’ailleurs dédié deux ouvrages à sa fille.
Car Poivre d’Arvor, de son vrai nom Patrick Poivre, est également un homme de lettres. Il a écrit son premier ouvrage à l’âge de 16 ans Les enfants de l’aube qui a connu un grand succès. Son dernier livre en date, consacré à Lawrence d’Arabie, est d’ailleurs intitulé Disparaître.
Consolation pour les fans du présentateur de TF1 : la poupée en latex des Guignols de l’info à son effigie, sobrement baptisée PPD, devrait continuer à présenter le journal satirique de Canal +
PPDA: DERNIER JT, DERNIERS MOTS
A TCHAO BONSOIR !
jeudi 10 juillet 2008
ROYAL-MENT
Ségolène Royal est repartie en croisade contre "le clan Sarkozy" en allant jusqu'à suggérer que la mise à sac récente de son domicile était liée à ses attaques virulentes contre le président de la République, s'attirant quolibets et réactions indignées de la droite.
C'est la seconde fois en quelques jours que l'ex-candidate socialiste à l'Elysée essuie les foudres de la droite, une situation qui ne lui déplaît pas forcément, Ségolène Royal prétendant être "la seule responsable politique" à dénoncer "la mainmise du clan Sarkozy sur la France".
Une salve de critiques s'était abattue sur elle la semaine dernière lorsqu'elle avait déclaré que Nicolas Sarkozy n'était "absolument pour rien" dans la libération d'Ingrid Betancourt, et averti que "les récupérations politiques seraient totalement décalées".
Mardi soir sur France 2, la présidente de Poitou-Charentes a fait "un rapport" entre ce qu'elle a appelé "la mise à sac" de son appartement de Boulogne-Billancourt le vendredi 27 juin (la deuxième effraction depuis 2006), et ses attaques contre M. Sarkozy, s'étonnant d'"une drôle de coïncidence". Elle a rangé ce fait divers parmi les tentatives d'"intimidation".
Des sources proches du dossier ont confirmé que "le terme de mise à sac peut être utilisé" et précisé qu'"il y a eu effraction, mais il n'y a pas eu vol".
En revanche, le procès verbal d'un précédent cambriolage (août 2006) a bien été "déchiré et mis en évidence à dessein, de façon à ce que ce soit repérable", ont-elles confirmé. Les enquêteurs ne privilégient "aucune piste".
La droite s'est gardée de répliquer sur le terrain de "la mainmise sur les médias", ciblant toutes ses attaques sur ce que le Premier ministre François Fillon a appelé "des insinuations" sur la responsabilité du gouvernement dans la "visite" de son logement.
M. Fillon a reproché à Mme Royal de "perdre le contrôle d'elle-même". Selon lui, elle a "fait une grosse bourde en rompant seule l'unanimité nationale autour de la libération d'Ingrid Betancourt, donc elle allume un deuxième incendie".
A l'UMP, les réactions, centrées sur la condamnation de "propos honteux", ont été féroces : pour Frédéric Lefebvre, la candidate à la succession de M. Hollande "perd ses nerfs", pour le président de l'Assemblée Bernard Accoyer, elle a atteint "un niveau de stupidité affligeant" et "ne recule devant rien pour exister".
Porte-parole du parti majoritaire, Dominique Paillé a demandé que "Mme Royal présente publiquement ses excuses", tout en se disant "sans illusion aucune, l'humilité ne semblant pas être un sentiment capable de l'effleurer".
Les socialistes ont dans l'ensemble soutenu Mme Royal, y compris le premier secrétaire François Hollande, qui a parlé de "faits graves", de "mise en scène" et de "mise à sac" du logement qu'il partagea longtemps avec son ex-compagne.
Chef de file des députés PS, Jean-Marc Ayrault a estimé que Ségolène Royal "ne parle sans doute pas en l'air" en établissant un lien entre le cambriolage de son appartement et ses propos contre le "clan Sarkozy". Pour M. Hollande, "la meilleure façon de le savoir, c'est que l'enquête puisse être poursuivie jusqu'au bout et qu'on connaisse toute la vérité sur cette affaire".
Mais, tout en se refusant à "entrer dans la polémique", Laurent Fabius s'est interrogé sur les éléments en possession de Mme Royal: "soit ce qu'elle dit est tout à fait exact, dans ce cas-là évidemment c'est scandaleux, soit ce n'est pas exact et il ne faut pas le dire", a-t-il glissé.
Sous couvert d'anonymat, un député PS se disait "emmerdé, mal à l'aise". "Si on ne la défend pas, on nous reprochera de manquer à la solidarité. Si on la défend, on se retrouve embarqué sur un terrain friable, car si elle n'a pas de preuves de ce qu'elle avance, ce n'est pas crédible".
Et nos "dépités" socialistes de parader sans la moindre honte !
LA MADONE DÉJANTÉE
Ségolène Royal a-t-elle "pété un câble"?
Après les déclarations de la socialiste sur son cambriolage, une de ses proches souligne sur Le Post qu'"elle n'accuse pas". L'UMP dénonce des "propos honteux".
Invitée au JT de France 2, ce lundi soir, la présidente socialiste de la région Poitou-Charentes est revenue sur ce cambriolage, le troisième à son domicile.
L'ex-candidate socialiste à la présidentielle note une "coïncidence" entre les propos qu'elles a tenus sur "la mainmise du clan Sarkozy sur la France" et cette affaire.
3. Les réactions à gauche
Laurent Fabius sur la réserve :
"Je n'ai aucun élément d'information pour juger : soit ce qu'elle dit est tout à fait exact, dans ce cas-là évidemment c'est scandaleux, soit ce n'est pas exact et il ne faut pas le dire", a déclaré le député de Seine-Maritime sur Europe 1.
Jean-Marc Ayrault la défend :
"Elle ne parle sans doute pas en l'air, qu'il y ait un clan Sarkozy c'est une évidence", a déclaré sur RMC le président réélu du groupe socialiste à l'Assemblée nationale. "Si elle dit ça, c'est qu'elle a de bonnes raisons de le dire", a-t-il insisté.
Julien Dray, porte-parole du Parti socialiste :
"Plutôt que de se livrer à des bons mots douteux, à des concours de blagues piteuses, les responsables de la majorité doivent y répondre, et éclaircir les rapports qui sont entretenus avec les grands groupes de médias", a déclaré le député de l'Essonne.
4. Les réactions à droite
L'UMP à attaque:
"L'UMP se sent révoltée par les propos honteux de Mme Royal sur le président de la République", a déclaré un porte-parole.
François Fillon étonné:
"Mme Royal perd le contrôle d'elle-même, elle utilise d'ailleurs toujours la même méthode", a affirmé le premier ministre sur RTL.
Frédéric Lefebvre, porte-parole de l'UMP :
"Je crois que Ségolène Royal a pété un câble."
Pourquoi Ségolène Royal a-t-elle dit ça ?
Dispose-t-elle d'éléments nouveaux pour exprimer ses doutes 10 jours après le cambriolage? "Non, elle établit ce qu'elle estime être une étrange coïncidence", répond son avocat contacté par Le Post.
Et Me Mignard d'ajouter : "Il appartient à la police d'établir toutes les hypothèses. Ca peut être aussi un psychopathe qui agit avec un motif politique."
S'il n'y a rien de nouveau, pourquoi n'a-t-elle rien dit tout de suite après le cambriolage ? "On ne lui a rien demandé sur le cambriolage", note une proche jointe par Le Post. Elle insiste : "Elle s'interroge sur cette coïncidence, elle n'accuse pas."
2. Que dit la police ?
L'appartement de Ségolène Royal n'a pas été cambriolé puisque rien n'a été volé. Les enquêteurs parlent d'une "mise en scène".
"L'appartement a été visité, le terme de mise à sac peut être utilisé", a expliqué une source proche du dossier. Cette même source confirme que le procès verbal d'un précédent cambriolage a bien été "déchiré et mis en évidence à dessein, de façon à ce que ce soit repérable".
En 2 ans, l'appartement de la socialiste a bien été visité 3 fois : en juillet et août 2006, puis en juin 2008. Ségolène Royal avait porté plainte pour la visite d'août 2006 mais le parquet avait classée l'affaire "sans suite pour auteur inconnu".
. Les réactions à gauche
Laurent Fabius sur la réserve :
"Je n'ai aucun élément d'information pour juger : soit ce qu'elle dit est tout à fait exact, dans ce cas-là évidemment c'est scandaleux, soit ce n'est pas exact et il ne faut pas le dire", a déclaré le député de Seine-Maritime sur Europe 1.
"Je vois bien qu'on va essayer d'entretenir une polémique, je n'y entre pas", a-t-il ajouté.
François Hollande inquiet :
"Ce sont des faits graves, qui n'ont pas concerné que Ségolène Royal", a-t-il souligné en citant Olivier Besancenot (LCR) suivi "par des officines" ou Bernard Thibault (CGT). "Je ne fais pas de rapport, mais quand même, il y a un climat", selon M. Hollande.
"La mise à sac d'un appartement d'une ancienne candidate à la présidentielle, responsable éminente de la gauche: ce n'est pas un fait banal, un vol classique".
Il a par ailleurs appelé le Premier ministre qui a accusé Ségolène Royal d'avoir "perdu le contrôle d'elle-même", à "faire attention aux mots que l'on emploie".
"Mais on ne doit pas insulter", a objecté le Premier secrétaire.
Arnaud Montebourg pas engagé :
Pour le député PS de Saône-et-Loire, il y a "les risques du mandat" et que les responsables politiques sont "souvent soumis à ce genre d'atteintes".
Une personnalité "ne peut pas ne pas accepter de vivre avec ça, c'est ce que nous faisons tous: les menaces de mort, les injures, parfois même la peur", a ajouté l'ancien porte-parole de Ségolène Royal.
Julien Dray, porte-parole du Parti socialiste :
"Des questions ont été posées par Ségolène Royal. Plutôt que de se livrer à des bons mots douteux, à des concours de blagues piteuses, les responsables de la majorité doivent y répondre, et éclaircir les rapports qui sont entretenus avec les grands groupes de médias, ainsi que les services qui leur sont rendus par la restructuration en cours du service public de l'audiovisuel", a déclaré le député de l'Essonne dans un communiqué.
Gérard Collomb, maire de Lyon :
"Il y a dans ce pays aujourd'hui un climat de stress. Ce climat de stress, le Président de la République en est largement responsable", constate-t-il. "Donc je comprends un peu la réaction de Mme Royal qui se sent agressée." (écouter l'interview sur la page de RichardTrois)
Jean-Marc Ayrault la défend :
"Elle ne parle sans doute pas en l'air, qu'il y ait un clan Sarkozy c'est une évidence", a déclaré sur RMC le président réélu du groupe socialiste à l'Assemblée nationale. "Si elle dit ça, c'est qu'elle a de bonnes raisons de le dire", a-t-il insisté.
David Assouline, sénateur et secrétaire national du PS :
"La meute est encore lâchée contre celle qui dit clairement comment, pourquoi et pour qui le clan Sarkozy fait main basse sur la France", indique-t-il dans un communiqué.
Aurélie Filippetti, la porte-parole du groupe PS à l'Assemblée, offensive:
"Dans la France de Nicolas Sarkozy, on peut désormais mettre à sac le domicile de la principale opposante politique et cela ne déclenche que l'hilarité des porte-parole, ou plutôt des porte-flingue, du pouvoir en place", a-t-elle dit sur lemonde.fr.
François Rebsamen, maire de Dijon :
"Une des chefs de l'opposition, l'ancienne candidate socialiste à l'élection Présidentielle, est menacée dans sa sécurité quotidienne et la seule réponse est de l'accuser de " péter les plombs ".
La démocratie c'est d'abord le respect de l'opposition, j'appelle les représentants de la majorité à s'en souvenir", note le socialiste dans un communiqué.
2. Les réactions à droite
L'UMP à attaque:
"L'UMP se sent révoltée par les propos honteux de Mme Royal sur le président de la République", a déclaré un porte-parole, dans un communiqué, pointé par Appollodore.
"Certaines limites, qui sont celles de la diffamation et de la calomnie, ne devraient être franchies par personne, encore moins par l'ex-candidate à la présidence de la République."
François Fillon étonné:
"Mme Royal perd le contrôle d'elle-même, elle utilise d'ailleurs toujours la même méthode", a affirmé le premier ministre sur RTL (interview complète sur la page de Pierre-Alain).
"Elle a fait une grosse bourde il y a quelques jours en rompant seule ce qui était l'unanimité nationale autour de la libération d'Ingrid Betancourt. Elle se rend compte qu'elle a fait une bourde, donc elle allume un deuxième incendie."
Frédéric Lefebvre, porte-parole de l'UMP :
"Je crois que Ségolène Royal a pété un câble." (voir la vidéo)
Luc Chatel, porte-parole du gouvernement :
"Avec Ségolène Royal, on est passé de la bravitude à la bourditude ou la parano attitude", a déclaré M. Chatel, par ailleurs secrétaire d'Etat à la Consommation (voir la vidéo sur la page d'AlbaneMoulin).
Henri Guaino, conseiller spécial de Nicolas Sarkozy :
"Il y a quelqu'un qui s'imagine vraiment que le président de la République ou l'Elysée (...) puisse aller cambrioler l'appartement de Madame Royal parce qu'elle a critiqué Sarkozy. Tout ça est tellement absurde", a-t-il déclaré.
Bernard Accoyer, président UMP de l'Assemblée nationale :
"Je suis affligé par la succession de déclarations de Mme Royal qui ne recule devant rien pour exister", a-t-il dit.
"Cela atteint un niveau de stupidité qui est affligeant et prend une certaine gravité parce que l'on n'accuse pas comme cela de pires choses qui que ce soit, et en particulier le chef de l'Etat", a-t-il ajouté.
Nadine Morano, secrétaire d'Etat à la Famille :
"Mme Royal n'est pas une femme d'Etat. Elle est censée prendre de la hauteur, mais elle ne dépasse jamais le stade de la calomnie. Ces allégations sans preuve relèvent de la diffamation et d'une méthode voyou!", indique-t-elle.
"Décidément Mme Royal se trompe de voie : ce n'est pas en passant par les égouts qu'elle parviendra à l'Elysée!", écrit-elle en conclusion d'un communiqué intitulé "Royalement indécente".
Patrick Devedjian, secrétaire général délégué de l'UMP :
"Il n'y a aucune raison d'accuser la malignité des pouvoirs publics", et d'ajouter que Mme Royal paraît "un peu dépassée par les événements" et qu'elle est dans une "mauvaise période" après ses déclarations sur la libération d'Ingrid Betancourt.
Dominique Bussereau, secrétaire d'Etat aux Transports :
Il a jugé "heureux que Mme Royal n'ait pas été élue à la tête de l'Etat au printemps dernier, car elle démontre avec constance, y compris à ses propres amis, qu'elle n'a aucune des qualités requises pour accéder à la magistrature suprême"
Et ce matin sur RTL elle n'a pas cessé son délire paranoïaque.
PAUVRE FRANCE !
mercredi 9 juillet 2008
ENCORE ?
Il s'en était rendu compte avant tout le monde.
Finkielkraut sur l'incompétence de Ségolène Royale
SÉGOL'HAINE.
«Il croule sous l'argent»
En pleine préparation du congrès du PS qui se tiendra à l'automne à Reims, l'élue des Deux-Sèvres se pose donc en victime. Elle cherche surtout à reprendre la main alors qu'elle doit composer avec la concurrence du maire de Paris Bertrand Delanoë et de la revenante Martine Aubry. Deux challengers qui la devancent dans les sondages.
Un peu plus tôt dans la journée, Ségolène Royal avait déjà tiré à boulets rouges sur le président de la République après ses déclarations sur les grèves en France. «Je pense que c'est pire que de la provocation. Il ne se rend même plus compte de ce qu'il dit, au sens où, ça y est, il vit dans un autre monde. Pour lui, l'argent n'a pas d'importance puisqu'il croule sous l'argent», a-t-elle tonné sur RTL. Et d'enfoncer une nouvelle banderille : «On se croirait revenus sous l'Ancien Régime où le roi s'amuse, le roi dilapide l'argent, le roi soigne ses amis, le roi enrichit ceux qui sont déjà riches et, pendant ce temps-là, le peuple s'appauvrit.»
Mardi soir, l'UMP a vivement réagi en dénonçant les «propos honteux de Mme Royal». Porte-parole de l'UMP, Chantal Brunel a jugé que ces déclarations relevaient «de la diffamation et de la calomnie». Avant d'ironiser sur la vacuité des attaques de la dirigeante socialiste : «Il y a une chose cependant que l'on ne peut pas voler chez elle : c'est son programme car elle n'en a pas.»
Quelques réactions :
lulu22 : Incompetente et maintenant ....parano !!!
Certes, elle pratique l'anti-sarkozisme primaire comme la plupart des medias (qui sont bien sur, de droite ...), mais son besoin d'exister devant le neant de sa vision pour la France et les Francais lui fait dire n'importe quoi !
Si la gauche veut des idees, qu'elle ne se gene pas pour essayer d'en trouver dans les dernieres gesticulations de madame Royal, mais l'attaque a outrance contre le president, c'est deja fait depuis longtemps...
Tout cela manque cruellement de bravitude !
Childe Harold : Bon sang, mais c'est bien-sûr !
Quant à moi, je constate que cela fait deux fois, en quelques jours, qu'une averse soudaine et inattendue s'est déclanchée alors que je prévoyais d'aller faire ma petite promenade digestive. Alors, forcément, je m'interroge ! Et si le "clan Sarkozy" était derrière tout cela ?
tap7 : Ironie du sort, fou n'est pas celui qu'on croyait
Pendant la campagne, la gauche s'efforçait de diaboliser Sarko, de nous faire croire qu'il était dangereux, fou. Maintenant on sait qu'on a fait le bon choix (le moins mauvais, et de loin, si vous préférez). Mme Royal a en effet dévoilé ses difficultés psychiatriques au grand jour. Nous sommes passés "à 6%" d'une catastrophe.
Je pense qu'il faut en tirer des conclusions en instaurant des examens psychiatriques obligatoires pour pouvoir se présenter à une élection, sous la responsabilité de la justice ou d'un autre organe indépendant du pouvoir (pour éviter les dérives).
alef : le martyr français
De qui cette dame n'a t 'elle pas encore été victime ?
Il est clair qu'elle devrait étre protégée, surtout contre elle même.
Si Madame Royal avait été présidente de la France, elle probablement été la victime de la France, des Français et des autres pays.
Celà laisse songeur
Les réactions des socialistes sont ; comme toujours convenues, sans imagination.
S.ROYAL : FOUILLE À DOMICILE & ATTAQUES ANTI-SARKOZY
La paranoïa de l'Idiote du Poitou:
La paranoïa (du grec παρά pará « à côté » et νοῦς noûs « esprit ») est au sens premier une maladie mentale chronique du groupe des psychoses, caractérisée par un délire d'un type particulier dit délire paranoïaque pour lequel il existe plusieurs thèmes récurrents. Il faut en différencier la personnalité paranoïaque, qui est un caractère particulier chez certains sujets, mais sans développement d'un délire (même si une personnalité paranoïaque peut évoluer vers une authentique paranoïa). Dans un sens dérivé, le terme paranoïa est aujourd'hui dans le langage commun ou journalistique utilisé pour rendre compte d'états comme la méfiance, la suspicion ou le septicisme, qui ne sont pas en eux-mêmes pathologiques.(Wikipedia)
En sémiologie psychiatrique, on appelle délire paranoïaque un syndrome délirant caractéristique de la paranoïa. Malgré la proximité entre les deux termes, il faut bien le distinguer du délire paranoïde qui est caractéristique du groupe des schizophrénies et qui présente une sémiologie bien différente.
Le délire paranoïaque est centré sur un seul thème (les thèmes possibles sont : jalousie, préjudice, complot, érotomanie, etc.)
A contrario le délire paranoïde comprend des thèmes multiples imbriqués,il est non structuré, hermétique, flou, bizarre.
Dans ce cas précis nous retiendront la thèse du COMPLOT
Ce n'est en aucun cas une conspiration, car notre Idiote du Poitou ne réunit pas d'autres dirigeants socialistes.
Une conspiration (synonyme : complot, conjuration) est une entente secrète entre plusieurs personnes, en vue de renverser un pouvoir établi, une organisation ou en vue d'attenter à la vie d'une personne d'autorité.
Le complot se distingue aisément de ses synonymes : il a moins de généralité ou d'étendue. Le complot a pour objet de nuire, et toujours ses vues sont criminelles. Cependant il n'a lieu qu'entre deux ou quelques personnes, et il est ordinairement dirigé contre un seul homme. Des malfaiteurs font le complot d'assassiner un passant pour le dépouiller ; des délateurs, celui d'accuser un homme de bien, pour obtenir les grâces d'un gouvernement soupçonneux et crédule : des traîtres, celui d'ouvrir les portes de la ville à l'ennemi pour obtenir le prix de la trahison , des ambitieux, celui de calomnier et de décrier un ministre pour lui succéder; des Astarbé , celui d'empoisonner un Pygmalion pour ceindre du bandeau royal la tête de son amant. Partout où il y a deux méchants, il n'y a ni personne, ni droit, ni autorité, ni puissance a l'abri d'un complot, c'est-à-dire , d'un attentat sourdement concerté.
Complot vient de cum, avec, et du français pelote, peloton. Comploter, faire une pelote ensemble signifie donc ourdir ou tramer en petit nombre. Être la victime d'un infâme complot (Clémenceau, L'Iniquité, 1899, p. 18)6. À l'opposé d'une conspiration et une conjuration désigne des projets plus vastes, impliquant un plus grand nombre, le complot tramé à deux ou en petit groupe, vise des objets plus réduits. Le complot est élémentaire, restreint. Il est aussi plus noir, et plus lâche et suppose une bassesse et une méchanceté profonde. Un complot infâme. Voltaire au sujet d'un complot de La Truaumont contre Louis XIV : Ce fut plus une lâche trahison mal ourdie qu'une conspiration.7
IL FAUT L'ENFERMER !!!!!
mardi 8 juillet 2008
Des utilisateurs de YouTube veulent boycotter Viacom
ET J'EN FAIT PARTIE.
Mardi 8 juillet 2008, 12h00
Certains utilisateurs de YouTube s'inquiètent de la décision d'un juge américain qui menacerait la protection de leur vie privée. La semaine dernière, le groupe média américain Viacom, en procès contre Google au sujet de violations de droits d'auteur sur le site vidéo, avait obtenu dans le cadre de la procédure que le moteur de recherche lui fournisse les noms et adresses IP d'utilisateurs de YouTube. En réaction à cette décision, une campagne de boycott de Viacom a été lancée via de nombreuses vidéos sur le site, ainsi qu'une pétition pour demander au juge de revenir sur cette décision. Viacom n'a pas tardé à réagir, en assurant dans un communiqué que les informations obtenues resteront confidentielles.
A TROP VOULOIR CONTROLER ON FINIT PAR SE PLANTER.
BOYCOTTONS VIACOM.
samedi 5 juillet 2008
PAUVRE IDIOTE
Royal « manque de dignité » selon Fillon
« Je trouve que c'est un manque de dignité totale ». François Fillon a rudement contre-attaqué après la sortie de Ségolène Royal, qui a estimé que Nicolas Sarkozy n'était « absolument pour rien » dans la libération d'Ingrid Betancourt et prévenu qu'« une récupération politique serait décalée »
.« Elle était comme une petite fille dans une cour de récréation », a ajouté le premier ministre devant un groupe de journalistes au deuxième jour de sa visite officielle au Canada. Pour finir, il l'a renvoyée aux conseils de son ex-compagnon François Hollande : « Elle aurait dû écouter (le premier secrétaire du PS) qui s'est comporté plus en homme d État ».
Les personnalités de droite ont même reçu un allié issu des rangs de la gauche pour dénoncer les propos de Royal. Dans un communiqué, l'ancien ministre Jack Lang a estimé vendredi que «minimiser» le rôle de Nicolas Sarkozy dans la libération d'Ingrid Betancourt relevait d'une «rare mesquinerie et d'un manque d'élégance morale». « Pour avoir personnellement participé à l'Elysée, en décembre dernier, à une rencontre entre le président Sarkozy et le président Chavez, je peux témoigner que le président français n'a pas ménagé sa peine pour arracher Ingrid Betancourt à ses geôliers », a-t-il ajouté.
Royal appelle à la « décence »
Devant la polémique, l'ancienne candidate socialiste a répliqué à son tour par le biais d'un communiqué. Elle dit « s'étonner de la polémique indécente soulevée par la droite et des propos très virulents tenus par François Fillon ». Avant d'ajouter : « Le moment n'est pas à la polémique politicienne ». Ségolène Royal justifie ensuite ses propres paroles, prononcées en réponse à des journalistes. Ces propos « se sont contentés de reprendre des faits admis par tous, et notamment par le secrétaire général de l'Élysée ». Claude Guéant avait affirmé jeudi sur France 3 que la France n'avait « pas pris part » à l'opération qui a permis les libérations. « Par ailleurs, ses propos ont été sortis de leur contexte puisque lors de son intervention, elle a appelé au respect des retrouvailles familiales si longtemps attendus et à la nécessité de n'alimenter aucune polémique », conclut Royal, invitant le gouvernement « à faire preuve d'un peu de décence. »
«Je laisse Mme Royal à ses responsabilités. Qu'elle lise la presse française. Elle verra à quel point elle a choqué l'ensemble des responsables politiques français», a répondu François Fillon, citant notamment les propos de Jack Lang.
Aussitôt après sa libération et à l'instar de ses enfants, Ingrid Betancourt avait remercié depuis Bogota le président Nicolas Sarkozy, son prédécesseur Jacques Chirac et son « ami » l'ancien premier ministre Dominique de Villepin.
JE PENSE QU'ELLE DEVRAI PRENDRE UN SACRÉ REPOS LA MÉMÈRE, ELLE EST LAMENTABLE, ET DONNE UNE JUSTE IDÉE DE CE QU'EST L'OPPOSITION AUJOURD'HUI.
DE LA HAINE PUREMENT ET SIMPLEMENT.
Celle qui ne se remet pas de sa défaite présidentielle, ne cesse de semer le discrédit sur l'action de Nicolas Sarkozy.
C'est une haine somme toute bien ordinaire, pour une femme plus qu'ordinaire, je dirais vulgaire.
vendredi 4 juillet 2008
SAINTE IDIOTE
La femme la plus incroyablement bête de la politique, a, lors de son déplacement inutile au Canada, dit et répété aux media qui voulaient encore l'entendre, que Nicolas Sarkozy n'avait en aucun cas le droit de récupérer la libération d'Ingrid Betancourt.
Mais que tente t'elle de faire elle même sinon récupérer l'occasion d'en parler pour pourrir le terrain ?
Cette femme n'agit que par HAINE. C'est bas très bas.
Que faire sinon la plaindre et tenter de lui trouver un bon hôpital ?
voir le lien dans le titre.
Je ne mets pas de photo, c'est gâcher de l'espace.
jeudi 3 juillet 2008
Les socialistes marocains et la parodie de «l'Internationale»
Elle a été marquée par l'adoption d'une regrettable décision, tout autant déplorable qu'hostile au Maroc. Il s'agit de l'admission du polisario en tant que membre observateur du bureau de cette institution. Non qu'une telle décision porte à conséquence au point de changer le destin de l'humanité; mais elle signifie à quel point les partis socialistes, les partis sociaux démocrates ou apparentés continuent à se tromper sur l'évolution profonde du problème du Sahara et à être totalement en marge des derniers développements qui le caractérisent.
Quand la nouvelle fut tombée, le sentiment dominant fut celui de la stupéfaction. Voilà donc un ancien premier secrétaire du Parti socialiste qui, pour avoir été coopté comme membre du bureau de cette même Internationale a été -cynisme socialiste oblige- doublé par l'admission parallèle des pires ennemis de l'intégrité territoriale du Maroc. C'est plus qu'une incartade, une offense au peuple marocain.
Il est légitime aussi de s'interroger : quelles circonstances atténuantes peuvent-elles la justifier et aux yeux du responsable socialiste marocain la rendre acceptable ? Le moins que l'on puisse en attendre est non seulement que les socialistes marocains la dénoncent vigoureusement mais, pour être conséquents avec eux-mêmes, ils doivent quitter l'institution qui n'a de nom socialiste que la parure. Quant à Mohamed El Yazghi il doit refuser de jouer le rôle de potiche dans cette mouvance quelque peu loufoque.
L'ancien numéro « un » du Parti socialiste marocain, avant d'accepter cette illusoire sinécure, s'est-il concerté avec ses pairs de l'USFP? Que l'ancien dirigeant socialiste, et avec lui ses proches et disciples, se soient réjouis d'une telle élévation, qu'ils aient jubilé ne change rien à la sinistre farce, concoctée par les sociaux démocrates réunis à Athènes.
Ceux-ci, insultant le peuple marocain, font d'une organisation séparatiste un « membre observateur » de l'Internationale socialiste, qui plus est en violation flagrante des principes de base régissant le respect aux Etats souverains. Une grande partie des pays dans le monde sont dirigés par des partis sociaux démocrates ou socialistes. Certains sont confrontés au séparatisme et l'on conçoit qu'ils ne se résoudront jamais à ce que les mouvements séparatistes qui menacent leur cohésion et leur unité nationale reçoivent la même consécration que celle que le polisario vient de recevoir à Athènes. Le vrai problème n'est pas tant que le mouvement mercenaire sera désormais un membre observateur de l'Internationale socialiste, mais c'est le fait même qu'une telle décision ait effleuré l'esprit de partis, dont beaucoup sont en perte de vitesse parce que ravagés à l'intérieur, dépassés « urbi et orbi » par la mondialisation et incapables de s'adapter au nouveau capitalisme.
Le Conseil de sécurité a adopté le 30 avril dernier une importante résolution qui, votée à l'unanimité de ses membres, rejette l'indépendance au Sahara comme une « option irréaliste » ! L'Algérie, qui n'a cessé pourtant de se réclamer jusqu'ici d'une solution placée sous l'égide des Nations unies, choisit paradoxalement de la combattre avec acharnement. On ne pouvait attendre mieux ! Mais les partis socialistes dans le monde, au gouvernement ou dans l'antichambre des pouvoirs, ne peuvent cautionner la légitimité et la légalité choisie par les Nations unies. Quant à l'USFP, Mohamed El Yazghi en tête, ils doivent - tout à leur honneur - condamner vigoureusement la parodie de l'Internationale socialiste et, logique patriotique et nationalitaire oblige, s'en retirer le cas échéant.
INGRID
ELLE FAIT LA GUEULE MÉMÉ SÉGO !!!!
Sur RTL, en direct du Québec, Ségolène Royal a réagi à la libération d'Ingrid Bétancourt. Elle a salué une "nouvelle absolument merveilleuse". Mais l'ancienne candidate socialiste à l'élection présidentielle s'est montrée prudent sur le rôle du président colombien et de Nicolas Sarkozy dans cette libération. "Personne ne peut récupérer ce dénouement heureux" a-t-elle déclaré, souhaitant saluer la "force de ses enfants".
Elle par contre ; OUI !
Cette femme est tellement idiote qu'elle ne doit plus se sentir pêter.
mardi 1 juillet 2008
NON POLONAIS ?
Le président Lech Kaczynski estime que le non irlandais a rendu le traité «sans objet». Un sévère coup au premier jour de la présidence française de l'Union Européenne.
Le président polonais Lech Kaczynski ne veut pas ratifier le traité européen de Lisbonne. Pour lui cette question est pour le moment « sans objet ». Et d'ajouter, dans une interview au quotidien Dziennik que « l'affirmation selon laquelle il n'y a pas d'Union s'il n'y a pas de traité n'est pas sérieuse ».
Cette défection est un sérieux coup porté au premier jour de la présidence française de l'Union, alors que Nicolas Sarkozy a souligné que sa priorité était de « circonscrire le problème aux Irlandais » et de faire en sorte que les autres pays européens « continuent de ratifier ». Un objectif qui s'éloigne avec le refus polonais, qui s'ajoute au problème tchèque, où la ratification est loin d'être acquise, en raison de l'euroscepticisme d'une partie de la droite libérale au pouvoir à Prague, à commencer par le président Vaclav Klaus. Le président polonais a d'ailleurs mis en garde ses homologues européens contre une tentation d'isoler l'Irlande. «Si on brise la règle de l'unanimité une fois, elle n'existera plus jamais. Nous sommes trop faibles pour accepter ce genre de solution», a-t-il dit.
Le parlement polonais a pourtant, dès avril, approuvé la ratification du traité destiné à réformer le fonctionnement des institutions européennes. Mais, selon la Constitution polonaise, c'est le président qui ratifie en dernier ressort les traités. Aucune disposition ne l'oblige, même si le Parlement le lui a demandé.
Paradoxalement, Lech Kaczynski refuse de ratifier un texte qu'il a lui-même longuement négocié avec son frère jumeau, Jaroslaw Kaczynski, alors Premier ministre et aujourd'hui chef du plus grand parti d'opposition. Mais, depuis sa cinglante défaite aux élections parlementaires de novembre, le parti conservateur des frères Kaczynski a repris de vieilles attitudes eurosceptiques.
Ils ont ainsi accusé les libéraux, maintenant au pouvoir, de vouloir adopter à terme la Charte européenne des droits de l'Homme que la Pologne, comme la Grande-Bretagne, a eu le droit de ne pas intégrer dans le traité de Lisbonne. Un texte qui, selon les jumeaux Kaczynski, permettrait aux Allemands de réclamer des indemnisations pour des biens abandonnés sur d'anciens territoires allemands attribués à la Pologne après la Seconde Guerre mondiale ou obligerait la Pologne à reconnaître des mariages homosexuels.
Il y a des moments où il faut savoir dire STOP. La Pologne n'a rien a faire dans l'Europe. Elle ne fait que profiter de l'union sans en payer la contre partie.
J'ai toujours dit que la Pologne était un sac de merde, les Turcs sont aussi merdeux qu'eux. STOP !!!!!!!!