Selon la directrice générale de l'enseignement scolaire Florence Robine, "une vingtaine de communes" ont prévenu qu'elles boycotteraient la réforme. Dans l'Essonne, Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la République (DLR) et député-maire de Yerres, a d'ores et déjà promis que "des centaines de communes" cadenasseraient leurs écoles mercredi pour protester contre une "réforme catastrophique". L'école "n'est pas une option, elle est obligatoire", a rappelé la ministre. Et "quand on se met en infraction à la loi, il y a des sanctions qui tombent". Le cas échéant, les préfets se substitueront aux élus pour ouvrir les écoles, a-t-elle mis en garde. "Est-ce que vous imaginez des enfants qui, du fait de la résistance ou de la mauvaise volonté de certains élus locaux, rateraient les premières heures de leur apprentissage de la lecture, de l'écriture ou du calcul ? Où est-on ?" Mais, selon un sondage CSA pour RTL publié lundi, 60 % des personnes interrogées désapprouvent cette réforme, alors qu'il y a un an 53 % des sondés estimaient au contraire qu'il s'agissait d'une bonne chose.
Selon la directrice générale de l'enseignement scolaire Florence Robine, "une vingtaine de communes" ont prévenu qu'elles boycotteraient la réforme. Dans l'Essonne, Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la République (DLR) et député-maire de Yerres, a d'ores et déjà promis que "des centaines de communes" cadenasseraient leurs écoles mercredi pour protester contre une "réforme catastrophique". L'école "n'est pas une option, elle est obligatoire", a rappelé la ministre. Et "quand on se met en infraction à la loi, il y a des sanctions qui tombent". Le cas échéant, les préfets se substitueront aux élus pour ouvrir les écoles, a-t-elle mis en garde. "Est-ce que vous imaginez des enfants qui, du fait de la résistance ou de la mauvaise volonté de certains élus locaux, rateraient les premières heures de leur apprentissage de la lecture, de l'écriture ou du calcul ? Où est-on ?" Mais, selon un sondage CSA pour RTL publié lundi, 60 % des personnes interrogées désapprouvent cette réforme, alors qu'il y a un an 53 % des sondés estimaient au contraire qu'il s'agissait d'une bonne chose.
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