TOUT EST DIT

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dimanche 19 août 2012

Valérie la menace, Nicolas et le roi

Après le tweet, le mail ? Scoop ! D’après “Grazia”, la première dame se serait fendue d’une drôle de missive visant à dissuader la presse de la suivre de trop près. Ce n’est pas tout ! Il y a aussi Sarkozy (un peu trop ?) chouchouté par Mohammed VI, Chirac triste à Saint-Trop, Anne Sinclair à New York (et quourpoi, hmmm ?) et… Adjani cuisses nues en soutif visiblement en guerre avec les hommes… Grosse semaine chez les people !
Après le tweet, le mail ? Calme, shhhh… ne vous échauffez pas : l’affaire n’est pas aussi grave. Elle n’en reste pas moins un tantinet, comment dire ? Embarrassante ? Disons… troublante, allez. Voici les faits, rapportés dans “ l’édito ” de Christine Régnier, directrice de la rédaction du magazine “ Grazia ”. “ Oh, surprise !, s’exclame la journaliste. Alors que la France s’éveille mollement en ce 8 août cagnardesque, arrive dans la boîte mail de “Grazia” une lettre de la première dame de France. En plein cœur de l’été ? Valérie T. ? Un fax envoyé par mail ? Bizarre. D’autant que le couple présidentiel passe, comme chacun le sait, de très caaaalmes vacances au fort de Brégançon depuis le 2 août. Peut-être Valérie T. trouve-t-elle le temps si long en son château qu’elle a eu envie de nous écrire un petit mot ensoleillé ? Je vous l’accorde, c’est un peu gros. Mais qui sait ce que Valérie T. peut décider de faire, elle, l’archétype de la liberté et de la spontanéité ? ” Ben oui, chi lo sa, hmmm ? ! ?

L’injonction de Valérie
“ Malheureusement, point de billet doux, répond Christine Régnier, mais une injonction à “ éviter la publication d’articles ou de photographies qui seraient attentatoires à son droit à l’image et à son droit au respect de sa vie privée, ainsi qu’à ceux de ses enfants ”, sous peine de “ devoir recourir aux voies judiciaires pour faire valoir ses droits ” ”. Ah oui, quand même… Dûment reproduite par le journal, la missive est en fait rédigée par “ le conseil ” de Valérie Trierweiler, dont le nom est, comme il se doit, flouté. Il y indique que “ Madame Trierweiler, si elle comprend et accepte, qu’en tant que compagne du Président de la République, elle soit désormais soumise à une plus grande curiosité médiatique, souhaiterait néanmoins protéger une part d’intimité pour elle-même et les siens. (…) Elle regretterait en effet, poursuit-il, de devoir recourir aux voies judiciaires pour faire valoir ses droits si ceux-ci faisaient l’objet de violations malgré la présente. Je suis naturellement à votre disposition, conclue-t-il, pour tout échange utile, y compris le cas échéant avec celui de mes confrères qui défend vos intérêts ”. Ben, ça rigole pas, dis donc ! Ca sentirait même un peu la menace, non ?

“ Grazia ” et “ la première peste de France ”
“ Qu’avons-nous commis qui mérite l’envoi de cette mise en garde estivale ?, se demande Christine Régnier. Serait-ce cet article sur la fameuse affaire du tweet — le seul publié dans “ Grazia ” depuis deux mois sur la première “ girlfriend ” de France ? Admettons que le titre ne lui ait pas fait plaisir (“ La première peste de France ”, remember). Il n’y a pas là matière à fouetter un journaliste de “ Grazia ” en place publique ”. C’est bien vrai, ça, Christine — et cela même si l’article en question, comme nous l’avions alors noté (voir la revue de presse du 16 juin), n’était pas à la hauteur de celui de “ Libération ”, plus malignement intitulé, d'ailleurs, “ La première gaffe de France ”. Pas plus impressionnée que ça, la directrice de la rédaction de “ Grazia ” le promet en tout cas : “ Si matière il y a — tweet again ou autre déclaration — oui, nous serons là. Pas par vacherie. Mais par professionnalisme. Car tel est notre métier : traiter l’info, la décrypter, la commenter, avec humour et (im)pertinence ”. Oui, parce qu’au fond l’idée, c’est quoi ? Qu’on reste là, les doigts sur la couture du pantalon ?

“ On tourne en rond à Brégançon ? ”
“ L’injonction ” de Valérie Trierweiler à “ Grazia ” est d’autant plus troublante qu’elle est paradoxale. La première dame, il ne faudrait pas l’oublier en effet…, est et demeure journaliste. Le fait n’a pas échappé à Christine Régnier. “ Je me remets au feuilletage du “ Paris-Match ” de la semaine dernière, écrit-elle. Vous savez, celui sur les vacances paparazzées du couple présidentiel où l’on voit François H. en maillot bleu et Valérie T. (la première dame) en deux-pièces noir. Celui aussi qui accueille une interview d’Amélie Nothomb signée par… Valérie T. (la journaliste, cette fois). Amusante ou schizophrène situation, on ne sait plus. Il est dit dans l’article (celui consacré au couple présidentiel) qu’on tourne en rond à Brégançon. Ceci explique peut-être cela… ” Et chclac !

Carla de dos et pas en maillot
Et puisqu’il est question de “ Match ” et de vacances présidentielles, l’hebdomadaire (histoire d’équilibrer les comptes ?) s’intéresse cette semaine à celles de, on vous le donne en mille…, Nicolas Sarkozy. Contrairement au président et à sa belle, la semaine dernière, “ l’ex ” ne fait pas la couverture. Et Carla n’y paraît pas une seule fois. Même dans “ VSD ” qui, pour le coup, affiche Sarko en une, l’ancienne première dame est on ne peut plus discrète puisqu’elle n’apparaît que sur une seule photo, de dos et pas en maillot, je vous prie, mais en robe longue et châle très couvrants. De là à penser qu’il y a différence de traitement… D’après l’article de “ Match ”, “ Carla sort moins que (Nicolas). (…) A l’abri des regards, elle s’occupe de sa petite fille. Elle bouquine au bord de la piscine. Elle a pris du recul ”. Valérie, tu sais ce qu’il te reste à faire…

Nicolas et Carla prennent le train
Et ces vacances, alors, c’était comment ? Bien beau !, nous raconte “ Paris-Match ” : “ Ce bel été passé aux côtés de Carla et Giulia a commencé par une dizaine de jours au Canada, début juillet. Louis, venu des Etats-Unis, où il est scolarisé dans une académie militaire près de Philadelphie, et Aurélien, le fils de Carla, étaient là aussi. Ensemble, ils sont allés voir les belugas, les fameuses baleines blanches de l’océan Arctique. Ils ont fait de grandes balades en forêt. Puis, de retour en France, le couple Sarkozy a séjourné une semaine chez leur ami Jean-Michel Goudard, à Mollèges, dans les Alpilles. Ils y sont descendus en TGV et l’ancien chef de l’Etat a aimé ça. “ Les gens ont été très gentils avec moi ”, a-t-il raconté à un proche ”. Comme avec François (descendu en train à Brégançon) ? Hou, ben, elle valait le coup d’être tentée, Nicolas, cette première expérience en TGV !

Royal Sarko
Mais le luxe a du bon… Le mag le précise : après les très chics Alpilles, Nicolas et Carla “ sont ensuite repartis quelques jours à Marrakech. Le roi du Maroc, aux petits soins pour eux, y a mis à leur disposition une de ses résidences, Jnane Lekbir. A 3 kilomètres de la capitale, au bord de la Palmeraie, elle offre une totale discrétion et un confort absolu. Carla et Nicolas la connaissent bien. Ils y ont déjà logé plusieurs fois à Noël. C’est aussi là qu’ils ont passé les trois premières semaines qui ont suivi leur départ de l’Elysée, en mai. C’est là qu’ils ont cicatrisé leurs plaies. Physiquement et moralement, ils avaient accusé, les premiers jours, un vrai contrecoup. Enfin, depuis début août, place au cap Nègre. Ils y sont arrivés sans repasser par Paris : Mohammed VI avait mis un avion à leur disposition ”. Ah, ben, c’est sûr, c’était plus pratique que de rentrer à Paris et de redescendre en TGV… L’est bien serviable, le roi. Aux dernières nouvelles, d’après “ VSD ”, l’aurait même proposé un job en or de “ conseiller international ” à Nicolas (voir la revue de presse de jeudi).

Chirac triste à Saint-Trop
D’une douce “ retraite ”, l’autre… moins riante, beaucoup plus tristoune, en fait. Un seul coup d’œil à la photo de “ VSD ” suffit à s’en convaincre : Jacques Chirac n’a pas l’air d’aller bien. Du tout, du tout. Et même à Saint-Trop. “ Très affaibli par la maladie, l’ancien président s’est autorisé une unique sortie, indique le mag. (…) Une tomate, mélange trompe-couillon de pastis et de sirop de grenadine, (c’est) l’unique petit plaisir qu’ait pu s’accorder l’ancien chef de l’Etat à la terrasse de Sénéquier, l’institution tropézienne où il a pourtant son rond de serviette depuis qu’il a quitté l’Elysée et que François Pinault l’invite chaque été dans sa propriété varoise. (…) C’est que, à bientôt 80 ans, le Corrézien ne se déplace plus sans officiers de sécurité transformés en authentiques gardes-malade, qui l’ont littéralement porté de sa voiture blindée à la table du célèbre troquet. Mais, même affaibli, Chirac profita de l’absence de son épouse pour taper la bise à (une) jolie blonde et poser, malgré son masque tristement fatigué, face aux badauds photographes. Car oui, où était donc Bernadette ? Dans la rue Laugier, juste derrière, faisant le pied de grue devant la boutique de fringues Loro Piana, où elle tentait d’entrer. Mais en vain, Elton John en ayant privatisé l’accès pour un shopping en amoureux. Un été vraiment pourri pour l’ex-première dame ”. Heu, pas que pour elle, “ VSD ” chéri, pas que pour elle… Pauvre Jacquou ! Quoi qu’on en pense, c’est quand même moche, tout ça.

Anne Sinclair : premières vacances en solo
Elle a failli être première dame, elle se retrouve… journaliste, et célibataire ! Comment Anne Sinclair a passé “ ses premières vacances en solo ” ? “ Gala ” nous dit tout : “ Le 13 juillet, l’épouse bafouée de l’ex-président du FMI s’est envolée pour Calguary, au Canada, un pays qu’elle affectionne et où elle a toujours trouvé refuge dans les moments difficiles. Ses amis intimes, Jean et Daniela Frydman, y possèdent un ranch en pleine nature, si loin des hommes que Valéry Giscard d’Estaing s’y était exilé après sa défaite de 1981 (décidément, on n’en sort pas…, ndlr). Invitée permanente, Anne y a passé quelques jours l’année dernière, à la mi-juillet, au sortir de l’affaire du Sofitel. (…) Pendant dix jours, au creux des vallons canadiens, en harmonie avec les éléments, Anne la battante s’est lavée des épreuves endurées ”. Sont violon, dis donc, chez “ Gala ”…

Anne à New York. Et quourpoi ?
“ Après le Canada, reprend le people, la femme élue la plus marquante de l’année par les Français, a passé cinq jours à New York. Depuis l’affaire Nafissatou Diallo, la ville de sa naissance s’éclaire d’une lumière équivoque. D’une part, Big Apple lui raconte l’épopée de son père venu ici, pendant la Seconde guerre mondiale, embrasser la cause de la France libre, en troquant son nom de Schwartz pour Sinclair. De l’autre, elle est le théâtre de la chute vertigineuse de DSK. Veste en cuir et fière allure, Anne Sinclair a veillé à ne rien changer à ses habitudes, multipliant les déjeuners bio et les escapades dans les boutiques chics de la Cinquième avenue de Manhattan. Elle a également séjourné dans les Hamptons, dans le Connecticut. Contente de retrouver sa ligne, elle a enchaîné séances de natation et sorties à vélo. Elle a également consulté ses avocats. Au cas où son mari serait condamné par la justice américaine à verser au civil une somme importante à Nafissatou Diallo, elle veut être sûre qu’elle n’aura rien à débourser. ” Houlà, l’a fini de faire le dos rond, Anne, on dirait, à force de l’avoir brisé. On ne va pas lui jeter la pierre, en même temps…

Adjani cuisses nues, en soutif
Elle s’apprête à s’envoler pour New York pour y tourner l’adaptation d’Abel Ferrara sur l’affaire du Sofitel dans lequel elle interprètera le rôle… d’Anne Sinclair aux côtés de Gérard Depardieu/DSK. En attendant, et en guise d’entraînement ( ? ? ?), Isabelle Adjani s’affiche en sari dans “ Gala ” (à l’occasion du tournage de “ Love in Paris ” du réalisateur indien Prem Raj) et à la une de “ Paris-Match ”. Entre la mata-hari enrubannée de rose de “ Gala ” et la jouvencelle fraîche et mutine qui pose dans “ Match ”, c’est un peu le jour et la nuit. Le cliché de la belle, prise à contre-jour dans la chaleur de midi, en déshabillé blanc transparent, haut ouvert sur un soutien-gorge turquoise, tranche passablement sur celui de la “ mamma ” hindi avec et sans bindi. Et on ne parle pas des photos d’Isabelle “ au réveil ” en boxer et caraco de soie, cuisses nues, faisant son salut au soleil… Bon, et sinon, elle a toujours 56 ans (info Wikipedia) ?

“ La France : trop petite pour elle ”
Une chose est sûre : si Isabelle se dévoile beaucoup, elle ne dit rien, ah !, ah !, du projet DSK d’Abel Ferrara. L’entretien qu’elle donne à “ Match ”, réalisé, nota bene, par Virginie Despentes, n’en est pas moins… édifiant. A l’écrivain qui lui demande si elle pensait être comédienne toute sa vie, elle répond : “ Ah non ! Quand j’étais très jeune (mais tu l’es toujours, Isabelle, hmmm), j’avais écrit mon histoire, c’était clair : j’allais faire film sur film, je ne travaillerais qu’avec de très grands metteurs en scène, je ne tournerais que des films marquants, qui auraient un impact sur l’histoire du cinéma, puisque François Truffaut avait dit : “ La France est trop petite pour elle… ” (c’est gentil de nous le rappeler, Isabelle — en toute modestie, cela va de soi). Puis, évidemment, j’arrêterais avant d’avoir 40 ans, parce que dans la vie il y avait d’autres choses à faire, et j’arrêterais sans regret, parce que j’aurais rempli mon contrat. Bien sûr, rien ne s’est tout à fait passé comme je l’avais prévu ! ” Bien sûr…

“ L’autre, là, celle qui n’est pas actrice, la fille normale, ça n’intéresse aucun homme ”
“ Il y a eu beaucoup d’interruptions, explique-t-elle, des histoires de famille, de santé, des histoires d’amour, un enfant, un autre, et puis… et puis tout ce qui ne va pas autour de tout ça, tout ce qui empêche de travailler sans qu’on s’y attende. Si une histoire d’amour était fragile, j’étais convaincue qu’il ne fallait surtout pas aller faire l’actrice, que ça aurait été l’échec amoureux assuré, que le couple allait devenir bancal… C’était le côté “ si je ne suis pas là, il risque d’aller voir ailleurs ”, ou “ il faut que je lui montre à quel point notre relation compte pour moi ”. Mais ça ne marche pas. A chaque fois que j’ai voulu faire comme l’autre, là, celle qui n’est pas actrice, la fille normale, ça n’a pas fonctionné. Ca n’intéresse personne, ça n’intéresse aucun homme ”. Heu, steplaît, Isabelle, une seconde : la “ fille normale ”, celle que tu appelles “ l’autre, là ”, un brin (façon de parler) condescendante, c’est nous, et si tu permets, ben, c’est pas très sympa, ce que tu dis, là. Parce que, bon, t’es mignonne, hein, mais nous, on n’a pas Truffaut, Ferrara, “ Match ” et Photoshop pour appâter Raoul. En même temps, c’est peut-être la différence avec toi, même s’il nous en fait voir, on l’aime bien, notre Raoul (et puis, faut reconnaître, ça nous arrive aussi d’être un peu chiante).

“ Le problème, en couple, c’est qu’on s’embarque avec son futur ennemi ”
Adjani aurait-elle un vieux compte à régler avec les hommes ? Ses déceptions amoureuses l’auraient-elle rendue un tantinet aigrie ? Elle le dit à Despentes : “ Etre aimée pour soi-même, c’est une connerie, c’est une connerie, parce que “ soi-même ”, c’est quoi ? C’est tout ce qu’on est, tout ce qu’on fait, tout ce qu’on représente “. Pfiou ! Et c’est tout ? Houlà non ! Ca continue : “ Je ne sais pas au juste pourquoi les gens continuent à essayer de se mettre en couple. C’est vrai, le problème ne vient pas de ce que ça se termine mal, mais de ce qu’on s’embarque avec son futur ennemi ! ( ! ! !) C’est génial comme idée, non ? Personne ne fait de cadeau à personne. Tout le monde veut tuer tout le monde ! Et ça se passe rarement autrement ”. Ben, dis donc, ça m’a l’air sévère, c’t affaire…

En amitié aussi, l’autre, c’est l’ennemi
C’est bon, on a fait le tour de la question ? Non ! L’amer constat de l’actrice est “ valable sur le plan amoureux comme sur le plan de l’amitié. Un jour, dit-elle, on se retrouve nez à nez avec quelqu’un qu’on ne connaissait absolument pas. Capable du pire. Sans aucune fidélité à ce qui a été vécu d’intrahissable, croyait-on. Quelqu’un qui a été extrêmement proche se transforme en pur inconnu. C’est monstrueux. Par peur ? Par lâcheté ? Par intérêt ? La survie du prédateur peut devenir meurtrière, comme s’il n’y avait plus d’autre choix, comme si sa panique dominatrice s’était saisie de tout. C’est une forme de cannibalisme. Celui-là bouffe l’autre pour s’en sortir, lui. Virtuellement, il le dévore ”. On résume, les hommes, les amis — les autres, en bref : tous des méchants, rien que des cannibales. Wow ! Tout va bien, tout va très très bien, dans le monde merveilleux d’Adjani. Elle le dit d’ailleurs en conclusion (après une savante digression sur l’impossibilité d’élever des enfants dans la société d’aujourd’hui) : “ Je ne me fais aucune illusion : on est tous devenus complètement cinglés. De l’air ! Ouvrons les fenêtres ! ” On n’aurait pas si bien dit…

Vous en voulez encore ?
Et vous voulez vous fendre la poire… Jetez un œil aux photos de Charles Berling et de sa dulcinée, Virginie Coupérie-Eiffel (comme la tour, oui), en vacances dans “ Match ”. Leur séjour dans le grand ouest américain, au pays des cow-boys, est franchement hilarant. Quant au cliché des deux “ vacanciers ” en tenue d’Eve et d’Adam (pris de loin, il est vrai), ils est, heu, hem !, déton(n)ant.
Vous voulez des frissons, vous faire peur un bon coup ? Ne lâchez pas “ Match ”, vous tenez le bon bout. Page 84, à l’occasion de la sortie de “ Expendables 2 : unité spéciale ”, le magazine publie un portrait groupé d’Arnold Schwarzenegger, Silvester Stallone et Jean-Claude Van Damme qui fait frémir — et, bon, pas mal rigoler, aussi.
Rayon amour(s), sinon : Jenifer Aniston et Justin Theroux se marient (partout) ; suite au scandale de sa liaison avec Rupert Sanders, le réalisateur de “ Blanche-Neige et le chasseur ”, Kristen Stewart, n’a pas eu le courage d’assister à la première de “ Sur la route ” le 16 août à Londres (“ Grazia ”) ; son “ ex ”, Robert Pattinson, lui, n’a pas tremblé et affronté les feux du “ Daily Show ” et de “ Good Morning America ” où il n’a strictement rien dit de “ l’affaire ” (“ Voici ”) ; Ashton Kutcher et Mila Kunis ont passé une semaine en amoureux à Bali (“ Gala ”) ; Eva Longoria a un nouvel amoureux : l’acteur latino Wilmer Valderrama (“ Public ”) ; Vanessa Paradis est en vacances en solo mais avec les enfants dans "Voici" ; Kate Bosworth s’est fiancée avec le réalisateur Michael Polish (“ Gala ”, “ Be ”, “ Grazia ”, “ Public ”) ; pour couper court aux rumeurs de divorce, Melanie Griffith et Antonio Banderas la jouent très complices devant les paparazzi (“ Gala ”) ; David Duchovny et Gillian Anderson, les Mulder et Scully de la série “ X-Files ”, sont ensemble (“ Public ”). Eh oui ! ; Joey Starr a emmené l’ex de Frédéric Beigbeder, Priscilla de Laforcade, roucouler au bord du lac de Côme (“ Public ”) ; Shy’m ne quitte plus Daniel, “ un mannequin très tatoué ” (“ Voici ”) ; c’est pas tout jeune, ça reste assez crunchy : d’après Christopher Andersen, auteur du livre “ Mick, sexe et rock’n’roll ” (Lattès), la princesse Margaret, sœur de la reine d’Angleterre, aurait eu une liaison avec Mick Jagger (“ Gala ”).
En vrac : Beyonce (32 millions d’euros) et Jay-Z (24 millions d’euros) ont remporté la palme du classement Forbes des couples célèbres les plus riches (“ Gala ”, “ Be ”, “ Public ”) ; depuis qu’il a repris le rôle-titre de “ Mon oncle Charlie ”, Ashton Kutcher est l’acteur de télévision le mieux payé du monde (700 000 dollars) ; Mischa Barton a ouvert une boutique de vêtements dans le centre de Londres (“ Public ”).
Côté dossiers : “ Oops ! ” propose un spécial “ Les stars et le sexe ”, assez gras mais distrayant, et “ Public ” un “ Tics et TOC Beach ” franchement pas captivant. Passé à l’heure d’automne, “ Elle ”, de son côté, balance son “ horoscope de la rentrée ”. Yeehaw ! On a croisé le nôtre avec celui de Raoul, et c’est plutôt encourageant. On vous en souhaite autant.





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