Ségolène Royal, invitée de RTL (23/04/09)
L'ex-candidate du PS à la présidentielle attendrait même une lettre de José Luis Zapatero en réponse à sa lettre d'excuses.
VOTRE FUTUR EST FAIT DE CE QUE VOUS FAITES AUJOURD'HUI, PAS DE CE QUE VOUS FEREZ DEMAIN
Ségolène Royal, invitée de RTL (23/04/09)
A la veille d'une visite de Nicolas Sarkozy en Espagne, Jose Luis Zapatero a accordé un entretien au Monde daté du 25 avril. Le chef d'Etat assure que Nicolas Sarkozy "a toujours été généreux (dans leur) relation, et élogieux".
Le président du gouvernement espagnol, José Luis Rodriguez Zapatero, déclare ne pas se sentir offensé par la polémique liée aux propos peu amènes le concernant prêtés à Nicolas Sarkozy.
Dans un entretien au Monde daté du 25 avril, le président socialiste du gouvernement espagnol affirme qu'il n'y a "aucun problème" avec le président français, qui effectue une visite d'Etat en Espagne lundi et mardi prochains.
"J'ai une très bonne relation avec Nicolas Sarkozy et je sais que tous les commentaires qu'il a pu faire sur moi étaient positifs", dit-il.
"Je crois que cette affaire a créé une certaine polémique, mais je connais bien Nicolas Sarkozy. Il a toujours été généreux dans la relation, et élogieux", ajoute-t-il. "Il n'y a donc aucun problème. Cela n'appelle aucune explication avec moi".
Selon Libération, le chef de l'Etat français aurait dit mercredi dernier à des parlementaires français que le président du gouvernement espagnol n'était "peut-être pas très intelligent", des propos démentis par l'Elysée et nuancés par les participants à la réunion.
L'affaire a suscité l'émoi en Espagne et en France, où l'ancienne rival de Nicolas Sarkozy à l'élection présidentielle de 2007, Ségolène Royal, a écrit à José Luis Rodriguez Zapatero pour lui demander pardon.
Dans le Monde, ce dernier déclare avoir reçu cette lettre, sans plus de commentaire.
Interrogé sur le style "parfois peu diplomatique" de Nicolas Sarkozy, notamment durant la présidence française de l'Union européenne, au second semestre 2008, le chef du gouvernement espagnol répond : "Je dois préciser que M. Sarkozy a toujours été très diplomate avec moi".
"Comme président de l'Union, il a été très actif et dynamique. Ce qui, pour une organisation comme l'UE dont les processus de prise de décision sont lents, a été positif", ajoute le chef du gouvernement espagnol.
L'Espagne présidera l'UE pour six mois à partir du 1er janvier 2010.
Des anonymes qui menacent, la voix est donnée : aux cafards de s'exprimer.
Message à Frédéric Lefebvre
C'est l'incroyable récit d'un ex-dirigeant de banque qui préfère rester anonyme et qui signe "Crésus" ce livre sur l'histoire secrète du krach de septembre 2008, sur la faillite de Lehman Brothers. On y découvre les dessous du secret bancaire suisse et surtout les « pratiques mafieuses » des banquiers. Extraits.
A tous ceux qui font encore confiance à leur banque... Tel est l'incipit de « Confessions d'un banquier pourri », publié sous le pseudonyme de Crésus, aux Editions Fayard (sortie en librairie le 15 avril, 17,90 euros). Rempli de confessions choc, il offre un récit hallucinant des milieux de la haute finance et de la crise financière de septembre 2008. A tel point qu'il pose la question de sa crédibilité. Philippe Cohen, rédacteur en chef du site Marianne2.fr - le magazine a publié en exclusivité des extraits du livre dans son numéro du samedi 11 avril - précise qu'il a pris la précaution de soumettre ce témoignage à un banquier qui l'a jugé tout à fait crédible. Nous avons été autorisés à en proposer également quelques morceaux choisis.
Le petit jeu va maintenant être de savoir qui est Crésus ? L'auteur donne quelques indices : « Vous ne me connaissez pas. J'ai grandi dans l'ombre, au coeur du sérail de l'argent, écrit-il dans le prologue de son livre. Je suis un parasite de la haute finance, l'un des membres du directoire d'une des plus grandes banques de France. A peine surpayé, j'ai ramassé quelques dizaines de millions d'euros en une quinzaine d'années. Une paille, comparée aux salaires et aux primes des traders que je dirige. Ou plutôt que je dirigeais. Voilà cinq mois, j'ai été écarté des affaires par un président soudain très à cheval sur les règles et le contrôle des risques. » Une idée ?
Les subprimes : comment les banquiers ont réalisé le « casse du siècle »
« Eh bien, quand on m'interroge, je compare les banquiers à des bouchers pas très consciencieux. En fait nous avons fait disparaître les crédits à hauts risques dont nous voulions nous débarrasser en les mélangeant avec des créances de bonne qualité. La fabrication de ce cervelas d'un genre nouveau s'appelle la titrisation. Ensuite, on débite les nouveaux titres en tranches, qu'on vend en engrangeant au passage de belles commissions. [...] Quand les morceaux de viande avariée - en l'occurrence les subprimes - pourrissent et devienne toxiques, ça contamine toute la saucisse, et les acheteurs tombent malades. »
« Le processus était assez simple : au départ, on balançait aux structures des impayés ou des crédits à risques. Ensuite les types qui vendaient notre camelote noyaient ces produits incasables dans toutes sortes de liquidités avec deux objectifs : d'abord faire passer le risque de la Banque vers la Bourse, comme on se débarrasserait d'un mistigri encombrant, et, deuxième objectif, nettoyer nos bilans, puisque les créances invendables disparaissaient du passif pour réapparaître miraculeusement dans la colonne des actifs. »
« Pour sauver notre résultat, ne restait finalement que notre métier de base : nos clients les plus modestes, tous ces braves gens qui tiraient le diable par la queue. C'était eux qu'on assommait. Les marges sur nos encours de crédit allaient d'ailleurs progresser de 20 à 21% cette année. Que ce fussent les crédits à la consommation, les prêts-relais ou les découverts, toutes ces niches étaient incroyablement rentables, malgré ce qu'en disait notre discours officiel. Les crédits immobiliers se révélaient, eux aussi, très satisfaisants, avec une marge de l'ordre de 16%. Toutes nos divisions allaient perdre de l'argent, exceptée la banque de détail, justement. En ce domaine, nous avions encore quelques idées pour améliorer encore l'ordinaire. En multipliant les propositions à la clientèle, on avait réussi à faire exploser les frais bancaires : virements, chèques de banque, retraits, ouvertures de comptes, remises de cartes de crédits, consultations de comptes sur le net, tout justifiait un prélèvement d'apparence anodine. L'ensemble représentait à la fin plus de la moitié de notre bénéfice annuel!
Où étaient les sanctions ? Devions-nous rendre des comptes ? Et à qui d'ailleurs ? A nos conseils d'administration ? Plaisanterie ! A l'Etat ? Une mascarade ! Les « camarades » de l'inspection des Finances ne nous gênaient pas, c'est le moins qu'on puisse dire. Aux médias ? Ils ne posaient pas beaucoup de questions et prenaient nos communiqués les plus effrontés pour argent comptant. Les banquiers du monde entier étaient en train de réaliser en toute impunité le casse du siècle. [...] de Paris à New York, une bande avait accumulé des fortunes invraisemblables. »
Les dessous de la faillite de Lehman Brothers :
Le livre évoque une prostituée de luxe qui a recueilli les confidences d'un important actionnaire saoudien à qui Henry Paulson avait annoncé qu'il allait lâcher la banque Lehman Brothers. Autrement dit, elle accuse l'ex ministre américain au Trésor de délit d'initié.
En ce moment les banquiers se sentent parfois victimes, c'est ce qui ressort de certaines de leur interventions, ou de celles de leur défenseurs grand adepte du laisser faire et de la subvention des pertes par l'argent public. Un ouvrage qui sort en ce moment va sans doute corriger dans le bon sens l'image de cette profession.
L'expansion propose les meilleurs pages d'un ouvrage signé par Crésus, un banquier anonyme et intitulé "Confessions d'un banquier pourri". En voici un extrait choisi par mes soins. Vous comprendrez aisément qu'il m'interpelle.
« Pour sauver notre résultat, ne restait finalement que notre métier de base : nos clients les plus modestes, tous ces braves gens qui tiraient le diable par la queue. C'était eux qu'on assommait. Les marges sur nos encours de crédit allaient d'ailleurs progresser de 20 à 21% cette année. Que ce fussent les crédits à la consommation, les prêts-relais ou les découverts, toutes ces niches étaient incroyablement rentables, malgré ce qu'en disait notre discours officiel. Les crédits immobiliers se révélaient, eux aussi, très satisfaisants, avec une marge de l'ordre de 16%. Toutes nos divisions allaient perdre de l'argent, exceptée la banque de détail, justement. En ce domaine, nous avions encore quelques idées pour améliorer encore l'ordinaire. En multipliant les propositions à la clientèle, on avait réussi à faire exploser les frais bancaires : virements, chèques de banque, retraits, ouvertures de comptes, remises de cartes de crédits, consultations de comptes sur le net, tout justifiait un prélèvement d'apparence anodine. L'ensemble représentait à la fin plus de la moitié de notre bénéfice annuel!
J'aimerai bien connaitre le nom de cette banque, par ce que la dernière phrase m'interpelle. Pas vous ? Rue89.com se pose le problème suivant: Comment déterminer le nom de Crésus en déduction de certains faits relatés dans l'ouvrage. Une courte liste ressort de leurs investigations. Les banques concernées sont d'après le site en ligne: la Société Générale, BNP-Paribas ou le groupe Crédit Agricole.
Je précise aussi à mes lecteurs, que dans ce billet "banquier" caractérise le cadre de haut niveau surpayé et pas du tout le ou la guichetière qui n'a plus trop de responsabilités et est soumis à la pression de financiers. Ceux là disposent désormais d'outils comme les blogs pour raconter ce qui se produit. Il leur est très facile de rester anonyme ou d'envoyer leur témoignages à certaines associations comme l'UFC et l'AFUB. Cette dernière en a publié certains sur son blog.
Exemple choisi :
"Pour information, je travaille en banque et depuis un certain temps maintenant, j'essaie, à mon niveau, de combattre le système de l'intérieur. Le PNB (seules lettres qu'on en bouche les cadres de direction) ayant priorité sur toute autre approche, les banques pratiquent une tarification de plus en plus excessive et notamment auprès de leur clientèle la plus vulnérable qui n'ose pas se défendre ("tarification punitive"). Vous comprendrez aisément la situation délicate dans laquelle, en tant que salarié, je me trouve sans pour autant accepter tout et n'importe quoi."
On appréciera le lien avec Cresus qui explique que tout est fait dans la banque de détail pour maximiser les profits. On est alors en droit de se poser une question simple. Est ce que les multiples frais bancaires ne seraient pas la source de financement de certaines horreurs bancaires dont la défaillance fait actuellement l'actualité?
Joffrin compare Lefebvre à un mafieux
François Bayrou, qui devait être l’invité du journal de Laurence Ferrari, à l’occasion de la sortie de son livre en librairie, le 30 avril, a finalement été déprogrammé par la chaîne à la surprise de sa maison d’édition (Plon) et de l’intéressé, qui confirme l’information.
Dans un premier temps, le responsable du service politique de TF1, François Bachy, avait proposé aux dirigeants de Plon que le patron du MoDem soit en exclusivité sur le plateau de la journaliste vedette de la chaîne. Un accord avait été conclu.
Mais le directeur de l’information de TF1, Jean-Claude Dassier, y a mis son veto. « Il serait faux de dire que François Bayrou a été censuré par la chaîne », indique ce dernier, « j’ai tout simplement décidé, de longue date, que les hommes politiques ne sont pas là pour venir vendre leurs livres sur les plateaux du 20 heures. Et ce qui est valable pour François Bayrou, l’est tout autant pour Jean-François Copé, à qui je vais tenir le même langage. Nous n’avons pas de mauvaises manières à l’égard de Bayrou, même si ce dernier en a régulièrement à notre égard », conclue t-il.
Jean-Claude Dassier fait ici allusion aux relations tumultueuses entre TF1 et l’ancien candidat à la présidentielle, lequel n’a jamais ménagé ses critiques à l’égard de la chaîne. Il sera du coup l’invité du journal de France 2, à la fin du mois . Et devrait être sur le plateau de LCI, jeud. A moins que, là aussi, la chaîne ne le décommande…
Jean-Louis Borloo : "Je ne suis pas alcoolique"...
L'etrange danse de la poubelle du Poitou
"Et puis, patatras ! des députés de gauche ont eu le mauvais goût de débarquer dans l'hémicycle pile au moment du vote, à 13 h 04. Copé l'a appris dans son bureau - il avait séché la séance, comme 95 % du groupe UMP. Il a dénoncé «un bon vieux mauvais coup socialiste, une technique classique d'obstruction qui consiste à planquer une dizaine de députés au bon moment derrière une colonne pour faire planter un texte». Pour lui, c'est un «petit loupé». À l'Élysée, on risque de voir l'épisode d'un autre œil."
En demandant " pardon", à Dakar, pour le très controversé discours sur l'Afrique prononcé au même endroit par Nicolas Sarkozy en 2007, Ségolène Royal a déclenché l'une de ces controverses dont elle a le secret.
Si le président de la République, en visite dans les Bouches-du-Rhône, a fait savoir mardi 7 avril ne pas avoir "le temps pour la polémique", le premier ministre a invité l'ancienne candidate socialiste à l'élection présidentielle "à un peu plus de retenue et un peu plus de dignité lorsqu'elle évoque la France et ses autorités dans le monde."
Comme souvent, les responsables de l'UMP se sont relayés pour dénoncer les propos de Mme Royal. Jean-François Copé, le président du groupe à l'Assemblée nationale, les a trouvés "écoeurants", Frédéric Lefebvre, le porte parole du parti, a accusé la présidente de la région Poitou-Charentes de "ridiculiser notre pays", Nadine Morano, secrétaire d'Etat à la Famille a dénoncé un "antisarkozysme souvent hystérique".
Pour une fois, les dirigeants socialistes ont fait bloc derrière l'ancienne candidate à la présidentielle, pourtant isolée dans le parti depuis le congrès de Reims. Martine Aubry s'est dite "heureuse" des déclarations de Mme Royal et Benoît Hamon a précisé qu'il ne "voyait pas pourquoi on irait lui chercher querelle". Ségolène Royal avait pris soin d'adresser, au préalable, la copie de son discours aux principaux dirigeants socialistes, dont Martine Aubry.
Le coup d'éclat de l'ancienne candidate à l'élection présidentielle ponctue une période où elle a occupé le devant de la scène socialiste. Elle s'est rendue aux Antilles lors du conflit social de mars, puis s'est fait l'apôtre de la croissance verte dans sa région Poitou-Charentes avant de voler au secours d'entreprises en difficulté, comme Heuliez à Cerizay (Deux-Sèvres). S'en prenant durement à Nicolas Sarkozy comme à ses ministres, assurant "comprendre" certaines actions de salariés en grève - tout en "condamnant toute forme de violence" -, Mme Royal n'hésite pas à afficher une forme de radicalité.
A l'opposé, la nouvelle direction du parti socialiste - comme la première secrétaire, Martine Aubry - peine à trouver le bon angle de tir face au gouvernement. Electron-libre, l'ancienne candidate à la présidentielle n'a pas à assumer les contingences de la gestion d'un collectif, contrairement à sa rivale dont la capacité d'expression est forcément contrainte.
Bénéficiant du soutien plus ou moins contraint du PS, exposée aux tirs croisés de la droite, elle s'estime "incontournable" sans parvenir pour autant à s'imposer comme la figure de proue de la gauche. Le registre, délibérément radical, dans lequel elle inscrit son expression lui donne de la visibilité mais ne lui permet pas de combler son principal handicap d'image. Une bonne partie de l'opinion ne la trouve guère rassurante. Les derniers sondages suggèrent que, pour l'instant, l'énergie qu'elle déploie ne lui a pas permis de redresser sa cote de popularité. Dans la dernière enquête Ipsos-Le Point, celle-ci reste inchangée à 32 % alors que Martine Aubry (52 %) gagne quatre points et Dominique Strauss-Kahn onze.
Jean-Michel Normand
A Prague, le président américain a affirmé que l'entrée de la Turquie dans l'UE serait un "signal important. Nicolas Sarkozy a aussitôt réaffirmé son opposition.
Le président Nicolas Sarkozy a réaffirmé dimanche sur TF1 son hostilité à une entrée de la Turquie dans l'Union européenne, après le soutien apporté par le président américain Barack Obama à une telle adhésion.
"Je travaille main dans la main avec le président Obama, mais s'agissant de l'Union européenne, c'est aux pays membres de l'Union européenne de décider", a déclaré M. Sarkozy, interrogé sur la déclaration de son homologue, en duplex depuis Prague où il participe au sommet UE-Etats-Unis.
"J'ai toujours été opposé à cette entrée et je le reste. Je crois pouvoir dire qu'une immense majorité des Etats membres (de l'UE) est sur la position de la France", a-t-il ajouté.
"La Turquie, c'est un très grand pays allié de l'Europe et allié des Etats-Unis. Elle doit rester un partenaire privilégié, ma position n'a pas changé", a déclaré le chef de l'Etat.
M. Obama avait estimé un peu plus tôt devant les dirigeants de l'UE à Prague que l'entrée de la Turquie dans l'Union européenne "constituerait un signal important" envoyé à ce pays musulman.
Les pourparlers d'adhésion de la Turquie au bloc européen, entamés en octobre 2005, marquent actuellement le pas. Certains pays comme la France ou l'Allemagne sont opposés à la perspective de voir ce pays entrer dans l'UE et privilégient une association étroite avec lui.
Les Etats-Unis et le Royaume-Uni, en revanche, militent depuis longtemps pour une adhésion.
Vendredi et samedi, au sommet de l'Otan à Strasbourg/Kehl/Baden Baden, la Turquie s'était opposée à la nomination du Premier ministre danois, Anders Fogh Rasmussen, au poste de secrétaire général de l'Alliance avant de s'y ranger. Le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, avait indiqué samedi que ce revirement suivait le fait que le président Obama se fût porté "garant" d'un certain nombre d'engagements, qu'il n'a pas précisés.
La désignation de M. Rasmussen, "posait des problèmes à nos amis turcs, parce qu'il y avait l'histoire des terroristes kurdes avec le PKK et puis l'histoire des caricatures (de Mahomet NDLR). Mais nous nous étions déterminés à ne pas céder parce que M. Rasmussen est un homme démocratique, un homme de grande qualité", a dit M. Sarkozy.
Interrogé sur d'éventuelles concessions, il a répondu qu'il "a fallu convaincre nos amis turcs de notre fermeté. Le président Obama a joué un rôle considérable, s'est montré comme un vrai leader, et à la sortie, à l'unanimité, on a décidé que ce serait Rasmussen".
La Turquie reprochait au candidat son soutien à un journal danois qui avait publié des caricatures de Mahomet en 2005 et son refus de fermer la chaîne de télévision Roj TV, considérée par Ankara comme porte-voix des rebelles kurdes du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK).
Selon plusieurs journaux turcs, Ankara a obtenu l'assurance que Roj TV sera prochainement interdite d'émettre depuis le Danemark, que M. Rasmussen allait adresser "un message positif" sur l'affaire des caricatures, ainsi que la désignation de responsable turcs à des postes clés de l'Otan.
Obama n'a pas à dicter ou diriger la politique Européenne vis à vis de la Turquie.
La Turquie n'a jamais fait partie de l'Europe, elle est en Asie Mineure.
t je ne tomberai pas dans le piège de : OBAMA AU PLUS HAUT DES CIEUX.
Jean-Marc Ayrault - Député socialiste, Maire de Nantes, président de la communauté urbaine de Nantes Métropole, condamné le 19 décembre 1997 à 6 mois de prison avec sursis et 30 000 francs d'amende, pour "délit de favoritisme dans l'attribution d'un marché public".
Arnaud Montebourg - Ministre du Redressement Productif, président du Conseil Général de Saône-et-Loire, condamné le 23 mai 2012 par le tribunal de grande instance de Paris à 1 euro de dommages et intérêts à verser à chacun des cinq demandeurs et 3000 euros au titre des frais de justice pour "injure publique". Il a fait appel de ce jugement.
Il n'y a pas lieu de désespérer parce que comme l'a dit Margaret Thatcher : "Le socialisme ne dure que jusqu'à ce que se termine l'argent des autres"
INAPTOCRATIE : un système de gouvernement où les moins capables de gouverner sont élus par les moins capables de produire et où les autres membres de la société les moins aptes à subvenir à eux-mêmes ou à réussir, sont récompensés par des biens et des services qui ont été payés par la confiscation de la richesse et du travail d'un nombre de producteurs en diminution continuelle.
A l'école primaire des socialistes, on apprend les 4 opérations :
- L'addition des impôts Aux élections prochaines, votez pour Ali Baba. |
« Le gouvernement a un bras long et un bras court ; le long sert à prendre et arrive partout, le bras court sert à donner, mais il arrive seulement à ceux qui sont tout près. » Ignazio Silone |
Les socialistes aiment tellement les pauvres qu’ils en fabriquent
C’est moi qui maîtrise la rareté de ma parole politique, pour dire des choses intelligentes quand j’ai besoin de les dire.
— Ségolène Royal
J’étais partisan du non, mais face à la montée du non, je vote oui
— Manuel Valls
«Le “canard boiteux” n'est pas à Florange, mais à Matignon! Il n'y a ni cap, ni vision.» RACHIDA DATI
La droite et la gauche, ce n’est pas la même chose
— Pierre Mauroy
Le capitalisme, c’est l’exploitation de l’homme par l’homme. Le syndicalisme, c’est le contraire
— Henri Jeanson
Même quand je ne dis rien, cela fait du bruit
— Ségolène Royal
Stéphane Hessel à propos de Hollande:
"On n'en fera pas un Roosevelt !"
Le plus souvent, la liberté d’expression est mal comprise : chacun la revendique pour soi et pour ses amis, c’est-à-dire pour ceux dont on partage les opinions. Il s’agit de la liberté d’expression facile, qui donne lieu à un rituel de célébration inlassablement renouvelé. Mais la défense de la liberté d’expression au sens fort est plus rare. Elle devient en effet plus difficile à pratiquer dès qu’il s’agit d’exiger cette liberté pour ceux qui sont attachés à des idées très différentes, voire totalement opposées à celles que l’on chérit soi-même. C’est alors que la liberté d’expression prend toute sa signification politique : elle devient un combat pour autrui. Pour que « l’autre » puisse professer des opinions auxquelles je suis hostile.
Robert Redeker
Etre homme politique, c’est être capable de dire à l’avance ce qui va arriver demain, la semaine prochaine, le mois prochain et l’année prochaine. Et d’être capable, après, d’expliquer pourquoi rien de tout cela ne s’est produit.— Winston Churchill
Quand un politicien se touche le visage il dit la vérité, quand il se gratte l’oreille il dit la vérité, quand il lève le pouce il dit la vérité ; c’est quand il remue les lèvres qu’il ment.— Baptiste Foisy
LA VÉRITABLE "EXCEPTION FRANÇAISE": CE SONT LES MÊMES CITOYENS QUI DÉPLORENT QU'UN GOUVERNEMENT N'AIT PAS CONCRÉTISÉ DAVANTAGE DE PROJETS ET QUI, À LA PREMIÈRE VELLÉITÉ DE RÉFORME, DESCENDENT DANS LA RUE