Après le Mexique, premier touché, les Etats-Unis -New York en tête- ont fait face à la contamination. Avec sang-froid.
Ecoles, campus et restaurants fermés, cérémonies religieuses annulées, matchs de foot à huis clos: épicentre de la pandémie début avril, le Mexique a le triste privilège d'avoir joué les épouvantails. Handicapé par un système de santé à plusieurs vitesses engendrant des pratiques d'automédication incompatibles avec la mise en place d'une parade face au virus, le pays a paru tituber.
La réaction des autorités a donné à la mégalopole de Mexico (22 millions d'habitants) des airs de ville fantôme. Excessif? Avec le recul, certains soulignent la confusion née de l'incapacité des autorités à discerner entre les atteintes -voire les décès- dues à la grippe et les affections respiratoires usuelles qui, à Mexico, ont tué plus de 14 000 personnes en 2007.
SACRÉE FRANCE ! AVEC NOS GRANDES GUEULES ON ARRIVE MÊME A NOUS CONVAINCRE NOUS MÊME QUE NOUS AVONS UN PIED DANS LA TOMBE !
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