TOUT EST DIT

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mardi 27 janvier 2009

LE PAUVRE IDIOT

IL NE SAIT PLUS QUOI FAIRE POUR FAIRE PARLER DE LUI !
François Bayrou votera la motion de censure socialiste
Le président du MoDem l'annonce dans un entretien au journal "Le Monde" (daté 28 janvier) : il votera la motion de censure défendue mardi après-midi à l'Assemblée nationale par le Parti socialiste. "Il y a des moments et des situations où il faut dire haut et fort que ça ne va pas", justifie François Bayrou, qui ressent toutefois "des différences avec le texte déposé par le PS".
"J'ai décidé de voter la motion de censure. Au mois de décembre, j'ai proposé à plusieurs reprises le dépôt d'une censure en raison des atteintes répétées à la séparation des pouvoirs et aux principes nécessaires aux libertés publiques", explique François Bayrou dans "Le Monde". Il accuse le président de la République de "transgresser tous les jours les principes de la séparation des pouvoirs" et s'inquiète de la "multiplication des atteintes aux libertés".

"Je ne veux pas me retrouver dans un pays soumis à l'arbitraire d'un seul. On est à un tournant. Au début du quinquennat, certains pouvaient soutenir que ces entorses étaient seulement une question de style. Aujourd'hui, c'est une question de textes: on fait entrer dans la loi et dans les institutions des manquements qu'aucun républicain et aucun démocrate ne doit pouvoir accepter", déclare encore le leader centriste.

L'Assemblée nationale compte trois députés MoDem, sur 577. Le PS y défend mardi après-midi une motion de censure, qui n'a aucune chance d'être votée, pour dénoncer "l'inaction économique" du gouvernement Fillon face à la crise, mais aussi "les menaces sur les libertés individuelles".

Y'EN A MARRE !

Grèves : ce qui vous attend jeudi dans les transports
C'est un jeudi noir qui attend tous les usagers des transports en commun à Paris. À l'occasion de la journée d'action nationale "pour la défense de l'emploi, du pouvoir d'achat et des services publics ", la RATP prévoit un trafic "perturbé" pour le métro parisien et "fortement perturbé" sur la zone RATP des RER A et B. En revanche, la circulation des bus et tramways est annoncée "quasi normale".

Les centrales syndicales CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, FO, FSU, Solidaires et Unsa ont appelé au plan national à une journée d'action interprofessionnelle jeudi, mais à la RATP six syndicats appellent à la grève (CFDT, CFTC, CGT, FO, Sud et Unsa) pour défendre principalement les salaires et l'emploi. Ces prévisions seront affinées d'ici jeudi. La SNCF doit également produire dans la journée un plan de prévisions de trafic des trains.

D'après deux sondages publiés dimanche, cette mobilisation rencontre un écho favorable auprès de la population. 69 % des Français la soutiennent ou "ont de la sympathie" pour elle, selon un sondage CSA pour Le Parisien/Aujourd'hui en France , tandis que 75 % la trouvent "justifiée", selon un sondage Ifop pour Sud-Ouest .


J'APPELLE PERSONNELLEMENT À LA DÉSOBEISSANCE CIVIQUE ! FAUT IL ALLER CASSER DU GRÉVISTE COMME ON CASSE DU COMMUNISTE !!!!

CE CRÂNE EST-IL ANNOCIATEUR DE LA MORT DE NOTRE CIVILISATION ?#

samedi 24 janvier 2009

CERISE

EH connard, ne cherche pas tes économies dans le jardin, ta poufiasse de nana te les piquées pour les filer à Cerise de Groupama qui les a placées chez Madoff.

J'AIME VRAIMENT PAS



Je suis persuadé que cet homme est le seul qui permettra au pays d'évoluer; dans ses mentalités déjà, ce ne serait pas un mal !

MALHEUREUSEMENT IL Y A TOUJOURS DES CONS POUR IMAGINER CE GENRE DE "PASTICHE" HAINEUX.

vendredi 23 janvier 2009

HISTOIRE: Le Parlement, théâtre d'incidents célèbres#

VIDÉOS INA - L'histoire de l'Assemblée et du Sénat est émaillée d'altercations et d'incidents parfois spectaculaires. Petite sélection.
PAR LE FIGARO

mercredi 21 janvier 2009

Ségolène Royal: "L'équipe d'Obama nous a copiés!"

Elle ne voit pas pourquoi elle "n'assumerait pas : oui, j'ai inspiré Obama et ses équipes nous ont copiés". C'était au temps où elle était candidate à la présidence et où Barack Obama envisageait seulement de réussir à l'être. Il a envoyé une équipe à Paris étudier son site Désir d'avenir. "Chez nous ils ont enregistré les idées de 'gagnant-gagnant', de 'citoyen-expert'" Ensuite, M. Obama a adapté sa "démocratie participative" à la mode américaine, "fort différente de l'européenne". Aux Etats-Unis, tout n'est que "communautés" – ethniques, religieuses, culturelles, urbaines, même les quartiers d'habitations s'intitulent "communities". En Europe, on parlerait de collectivités, de mouvements, d'associations, de réseaux. Mais l'idée, dit-elle, lundi 19 janvier, à Washington, est la même : refonder la manière de faire de la politique, la relation entre les élites et le peuple.

Ségolène Royal est à Washington parce qu'elle a "le sens de l'histoire". Et surtout, ce moment-là, elle avait "envie de le sentir autrement que devant un écran de télévision". Soudain, on lui apporte une enveloppe. A l'intérieur, le ticket bénit. Elle ne sera ni au premier rang, ni même au vingtième. Mais elle aura été là, à 200 mètres du lieu ou Barack aura prononcé les mots d'acceptation qui en auront fait le 44e président des Etats-Unis. Elle pourra dire "j'y étais" et se moque bien des commentaires aigres-doux qu'elle pourra susciter, à gauche ou à droite, en France.

QUI RENCONTRE-T-ELLE ? ON EN SAURA PEU

Elle en est certaine, elle aura assisté à un "moment essentiel à l'échelle du siècle", à un "basculement vers le futur". Ce ne sont pas ses propres mots, dit-elle, mais ceux qui reviennent dans la bouche de tous ses interlocuteurs américains, "gens de la rue et élites". Car elle est là aussi pour travailler. Qui rencontre-t-elle ? On en saura peu. Elle n'est pas là pour parler d'elle-même ni de politique française, mais de Barack Obama. "On doit tous s'interroger : cette audace américaine doit irradier l'ensemble du monde." En réalité, en évoquant le nouveau président américain, en filigrane, elle parle d'elle.

Cette "conception nouvelle du leadership", c'est celle qu'elle aspire à imposer de son côté. Parce que "plus on écoute les gens, plus on anticipe, plus l'autorité s'affermit. Obama a théorisé cette vision". Pour preuve, clame-t-elle, il n'a pas mis fin au mouvement qu'il a généré une fois son élection acquise. Au contraire, durant les dix semaines de transition, il a ouvert le débat sur sur son site à toutes les suggestions, toutes les initiatives, "et personne n'a dit : il ne sait pas ce qu'il veut faire". Dans nos sociétés en crise, l'instauration d'"un flux relationnel continu entre le peuple, les experts et celui qui décide" ouvre la voie vers la sortie de l'impasse dans laquelle se meurt la politique. Et c'est encore plus vrai dans les phases de grandes difficultés, où seule, ajoute-t-elle, la "pédagogie de la décision" peut faire accepter les sacrifices.

La crise, elle en est convaincue, n'est pas qu'économique, mais "morale, sociale, politique et institutionnelle". Ce qui la séduit le plus, en Obama, c'est sa capacité à mobiliser dans la ferveur et, conjointement, son appel constant à la responsabilité de chacun. Sa manière d'inventer un nouveau vivre-ensemble, dit-elle. Le verbe n'est peut-être pas aussi brillant que chez le nouveau président américain, mais l'aspiration est là. C'est dans "la même démarche" qu'elle se rendra, fin janvier, au Forum social mondial de Belem (Brésil). M. Obama n'y a pas encore annoncé sa participation.


dimanche 18 janvier 2009

samedi 17 janvier 2009

BONNE NOUVELLE

Claire Chazal écrit dans le Figaro, je ne discute pas le choix rédactionnel du journal, quoique, mais au moins ceux qui la lisent n'ont pas a subir ses bégaiements télévisuels.

dimanche 11 janvier 2009

Répertoire de Perret sur les politiques

Commentary: Rachida Dati left baby at home to save career

If you think France's most famous single mother, the justice minister Rachida Dati, had a choice when she returned to work just five days after delivering her daughter Zohra by caesarean section, think again.
Pictures of the radiant mother in the Elysée forecourt, coiffed, made-up and manicured, in a severe but figure-hugging size eight black Yves Saint Laurent outfit and four inch heels, stirred debate across France.

Was the 43-year-old minister striking a blow for women's liberation or setting it back 40 years?

Could such a superwoman carry the standard for millions of working mothers, or was she shaming them into giving up hard-won advances, such as paid maternity leave and part-time employment?

Amid the clamour of competing opinions one important point can be easily overlooked: Miss Dati went back to work not from a position of strength but from a position of weakness. She feared losing her job if she decided to stay at home with her baby.

The French president, Nicolas Sarkozy, who is planning a government reshuffle next week, is a notoriously impatient boss and his justice minister's competence has been called into question.

The purpose of her stage-managed picture opportunity was to ensure that nobody could possibly have thought of her as an unfit, over-the-hill mother left pregnant by a commitment-shy (and possibly adulterous) casual boyfriend.

In French politics, weakness is the cardinal mistake; image matters above everything. And women make it by being four times tougher than everybody else.

Miss Dati, was a highly-praised adviser to Mr Sarkozy, when he was interior minister. She was also an efficient presidential campaign spokesman for him 18 months ago when he won the highest office in the land.

However, no one could pretend she has been a successful justice minister. Given the task of making sweeping reforms to get more efficiency from France's creaking judicial bureaucracy, she antagonised magistrates' and prison wardens' unions – not least when they saw her modelling a Dior chiffon dress on the cover of Paris-Match the same week that she called for more budget cuts.

She has gone through more chiefs of staff at her ministry (conveniently located next to the Ritz on Place Vendôme) than Diana, the Princess of Wales, did at Kensington Palace.

Like almost every powerful woman in high office, she is said to be mercurial and bad-tempered, a charge rarely levelled against her equally Napoleonic male counterparts in France's political elite.

All the same, few ministers would have hauled a provincial judge out of bed after midnight to explain why a young thief had been sent to prison, where he subsequently committed suicide, prompting angry headlines.

Miss Dati had no such reluctance.

And fewer ministers, perhaps, would have chosen a tête-à-tête breakfast with Prince Albert of Monaco over a long-scheduled meeting with representatives from the prison wardens' unions, an incident said to have enraged Mr Sarkozy.

Significantly, he took it upon himself to announce yet another major, and potentially unpopular, reform of the justice system last week rather than waiting for his minister to return to work.

Any other minister would have been a foregone casualty in the projected cabinet reshuffle. Once an intimate of the Sarkozy couple – she and Mr Sarkozy's previous wife Cecilia called one another "sister" – Miss Dati has fallen from grace at the Elysée. She is a bête noire of the new Madame Sarkozy, Carla Bruni.

More significantly, she is not included in the Group of Seven, the seven ministers most appreciated by the president, who gather informally with him to plan the government's next moves.

However, it should be said that neither is the prime minister, François Fillon, who is nevertheless expected to keep his job next week.

For months, Miss Dati's job was saved by who she was: the primary face of Mr Sarkozy's rainbow coalition, the first Muslim in charge of a major cabinet post.

If not quite the most popular politician in the country, she is certainly the one whose face sells the most newspapers and magazine covers.

Young people like her. Women like her. Minorities like her. The Left pulls its punches when it comes to her.

Even her well-publicised spat with Mr Sarkozy's other high-profile cabinet minority appointment, the popular Senegal-born human rights secretary, Rama Yade, has failed to make a dent in her reputation. Her rival is in hot water with Mr Sarkozy, having refused to lead the Gaullist list in the European elections, prompting the president to call her a "spoiled brat".

But all this is predicated on one essential quality: Miss Dati must at all costs look like a winner. Let her stumble but once, and the thumbs will turn down in seconds. French politics is like a gladiator's arena: woe to the vanquished.

Her pregnancy could have finished her, and she knew it.

Hence the cameras outside the maternity clinic (positively restrained, the minister's friends will tell you, compared with the former Socialist presidential candidate, Ségolène Royal, who held a photocall in the room where she had given birth to her daughter). Hence the YSL outfits and the make-up artist; hence the coy speculation, sometimes fuelled by the minister herself, about the identity of the baby's father.

The candidates include a Spanish politician, two chief executives of France's largest companies, a cabinet colleague, a television presenter and the president's brother.

Far from being a social reject, Miss Dati revelled in the celebrity spotlight. Mr Sarkozy saw his ratings plummet when he was tagged the "bling-bling president". But Miss Dati correctly assessed that making headlines, any kind of headlines, was better than fading into the background. Every newspaper article on her motherly qualities (or lack thereof), her feminism (or crass destruction of such) puts her firmly at the centre of attention.

Would you fire a woman triumphantly embodying the 21st century's contradictions?